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Le sujet dont tout le monde se câlice


Déchet(s) recommandé(s)

Je pense souffrir du doigt à ressaut. Mon majeur de la main droite est raide depuis ce matin et je ne suis pas arrivé à le plier de la journée. Quelqu'un aurait une suggestion, autre que chirurgicale, à me fournir pour me défaire de ce mal?

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Et ma femelle est plus jeune que moi de neuf dodos.

Une chance qu`elle est pas sur le Depotoir elle aussi, on aurait à se farcir un autre ennuyant décompte à la "oubliez pas de me souhaiter bonne fête dans x jours!"

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Le monde ne tourne pas autour de toi. "Mâle" et "femelle" se rapporte uniquement au sexe.On se sert de ces mots pour désigner le sexe des animaux, on utilise féminin ou masculin pour celui des êtres humains.Si t'aimes ça te présenter comme un animal, c'est chill pour vous autres les truies. Et si tu préfères te faire appeller femelle plutôt que chix, c'est parce que t'es pas brillante. Tsé ce vieux dilemme des deux options, tu l'as inventé de toute pièce étant donné la multitude de mots qui peuvent être utilisés pour désigner l'être aimé.Utilises ton imagination.

Ce qui me laisse perplexe, c'est que nous utilisons le mot "male" avec fierté : je suis un vrai male, le male alpha, etc. Mais si une femme ose s'appeler femelle, alors elle se dégrade. C'est à n'y rien comprendre.

Ca me fait penser à cette chanson (a partir de 0:57) :

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Ce qui me laisse perplexe, c'est que nous utilisons le mot "male" avec fierté : je suis un vrai male, le male alpha, etc. Mais si une femme ose s'appeler femelle, alors elle se dégrade. C'est à n'y rien comprendre.

Sibole encore une vieille affaire : Don Juan VS Réputation de Saloppe.

La grande plaie de l'égalitarisme, forme sémantique ici. C'est désolant ton truc.

J'ouvre mes cuisses et il ne se passe erien.

Les respectes-tu toi les femmes qui ne se retiennent pas ?

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Ce qui me laisse perplexe, c'est que nous utilisons le mot "male" avec fierté : je suis un vrai male, le male alpha, etc. Mais si une femme ose s'appeler femelle, alors elle se dégrade. C'est à n'y rien comprendre.

C'est à n'y rien comprendre quand on manque de perspicacité. Une clé qui ouvre tous les cadenas, c'est top. Un cadenas qui se fait ouvrir par toutes les clés, moins top. Depuis la nuit des temps, les qualités de l'homme "pur" sont la force, la domination, l'assurance. Être un chef de tribu, ça implique bien des choses.

En revanche, les "qualités" féminines primaires sont celles de la soumission, de la dépendance au mâle, etc. Se qualifier de "femelle" c'est donc opérer un retour en arrière et se discriminer en s'octroyant des qualités aujourd'hui considérées désuettes et même barbares. Alors que la force et la domination sont encore recherchées chez l'homme, je doute que la soumission soit bien populaire auprès des femmes de notre époque.

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Sibole encore une vieille affaire : Don Juan VS Réputation de Saloppe.

La grande plaie de l'égalitarisme, forme sémantique ici. C'est désolant ton truc.

J'essaie toujours de ne pas tomber dans le piège de parler des gens plutôt que des idées. Je ne connais pas Armie, alors je me retiens de juger.

Est-ce à dire que tu tolèrerais l'usage du mot "femelle" si il sortait de la bouche d'une femme que tu juges respectable (qui n'a pas une réputation de salope) ?

J'ouvre mes cuisses et il ne se passe erien.

?

Les respectes-tu toi les femmes qui ne se retiennent pas ?

Je ne respecte pas les gens qui ne se respectent pas eux même.

Tu parles ici des "femmes qui ne se retiennent pas". Les femmes qui recherchent le sexe ? Oui je les respecte, absolument. Ce n'est pas parce qu'une femme recherche des relations purement sexuelles qu'elle ne se respecte pas.

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C'est à n'y rien comprendre quand on manque de perspicacité. Une clé qui ouvre tous les cadenas, c'est top. Un cadenas qui se fait ouvrir par toutes les clés, moins top. Depuis la nuit des temps, les qualités de l'homme "pur" sont la force, la domination, l'assurance. Être un chef de tribu, ça implique bien des choses.

En revanche, les "qualités" féminines primaires sont celles de la soumission, de la dépendance au mâle, etc. Se qualifier de "femelle" c'est donc opérer un retour en arrière et se discriminer en s'octroyant des qualités aujourd'hui considérées désuettes et même barbares. Alors que la force et la domination sont encore recherchées chez l'homme, je doute que la soumission soit bien populaire auprès des femmes de notre époque.

N'oublie pas le contexte de la discution. L'argument de Noob-Smoke est que les termes "mâle" et "femelle" sont dégradantes car elles servent à décrire le sexe des animaux. Or, je ne l'ai jamais vu s'offusquer de l'usage du mot "mâle".

De plus, il est question de relation lesbienne. L'argument de la domination masculine ne s'applique pas dans le contexte. Mais pour ce qui est de la différence de la perception entre ces des deux mots dans un contexte global, ton point de vue a du sens.

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J'essaie toujours de ne pas tomber dans le piège de parler des gens plutôt que des idées. Je ne connais pas Armie, alors je me retiens de juger.

Est-ce à dire que tu tolèrerais l'usage du mot "femelle" si il sortait de la bouche d'une femme que tu juges respectable (qui n'a pas une réputation de salope) ?

Je ne comprends pas cette question.

Les gens parlent comme ils veulent sauf que chez Armie, c'est bel et bien une constante, elle en est même fière. Parler d'une femme comme d'une femelle et la désignée comme telle, c'est la rabaissée, effectivement.

Je trouve ça laid c'est tout.

?

Je ne respecte pas les gens qui ne se respectent pas eux même.

Tu parles ici des "femmes qui ne se retiennent pas". Les femmes qui recherchent le sexe ? Oui je les respecte, absolument. Ce n'est pas parce qu'une femme recherche des relations purement sexuelles qu'elle ne se respecte pas.

T'as tout tordue l'idée là. J'espère que tu t'arrêtes pas au regard (bidon) qu'une femme porte sur elle-même. Qu'elle soit heureuse (sans remises en question ?) dans sa débauche ne lui enlève pas le sceau de saloppe.

Pour le ?

C'est que j'essaies d'être subtil, ça parle plus. Il se passe rien quand j'ouvre mes cuisses (sens figuré tsé invitant, disponible) parce que je suis pas une fille, je disais par rapport à toi qui fait la grave erreur de mettre les sexes sur le même pied d'égalité.

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Armie semble être une autre de ses homosexuel(le)s qui se définissent presque uniquement par leur orientation sexuelle. C'est désolant.

Je suis en total désaccord pour ce qui est de Armie. Elle parle bien plus de sa relation de couple que de son orientation en tant que telle. Tant qu'à ça, je fais pareil en parlant souvent de mon "mâle" ;) et plusieurs autres ici parlent régulièrement de leur vie de couple. Elle parle d'activités qu'elle fait avec sa blonde, that's it, sauf que ça passe moins inaperçue puisqu'elle est lesbienne.

PS- Moi aussi je trouve ça un peu réducteur le mot "femelle" même si je suis persuadée qu'Armie l'utilise avec de belles intentions. Chacun ses limites, j'appelle bien mon chum " Grosse bibitte", ce qui peut être pire, selon certains.

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Je suis en total désaccord pour ce qui est de Armie. Elle parle bien plus de sa relation de couple que de son orientation en tant que telle. Tant qu'à ça, je fais pareil en parlant souvent de mon "mâle" ;) et plusieurs autres ici parlent régulièrement de leur vie de couple. Elle parle d'activités qu'elle fait avec sa blonde, that's it, sauf que ça passe moins inaperçue puisqu'elle est lesbienne.

Ok, alors, je vais changer mon commentaire pour quelque chose de tout aussi générique qui s'applique donc mieux à son cas:

"Armie est une autre de ses pauvres filles qui pensent que sa maudite relation de couple intéresse quelqu'un à part elle."

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Je ne comprends pas cette question.

Les gens parlent comme ils veulent sauf que chez Armie, c'est bel et bien une constante, elle en est même fière. Parler d'une femme comme d'une femelle et la désignée comme telle, c'est la rabaissée, effectivement.

Je trouve ça laid c'est tout. T'as tout tordue l'idée là. J'espère que tu t'arrêtes pas au regard (bidon) qu'une femme porte sur elle-même. Qu'elle soit heureuse dans sa débauche ne lui enlève pas le sceau de saloppe.

D'accord, je comprend. Perso, j'ai déjà eu des amis avec un style de vie "particulier", alors ce genre de chose ne me dérange pas. Une relation de type dominant-dominé, c'est plutôt banal pour moi. Mais c'est très subjectif.

Pour le ?

C'est que j'essaies d'être subtil, ça parle plus. Il se passe rien quand j'ouvre mes cuisses (sens figuré tsé invitant, disponible) parce que je suis pas une fille, je disais par rapport à toi qui fait la grave erreur de mettre les sexes sur le même pied d'égalité.

Les femmes ont clairement plus de pouvoir sexuel. Mais plus une société est permissive envers la sexualité des femmes, plus l'inégalité entre les sexes (le pouvoir du sexe féminin et le désir masculin de réprimer ce pouvoir) diminue.

L'offre augmente (plus de femme qui recherchent des relations sexuelles), la demande reste constante (le nombre d'hommes désirant une relation sexuelle), le sexe devient plus accessible en général. Le sexe perd de sa valeur en tant que produit (moins de prostitution, de pornographie) et de moyen de pouvoir (vraies salopes).

Ajout : dans la mesure ou une femme qui recherche le sexe le fait en se respectant elle même.

Modifié par Thor Nadeau
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Les femmes ont clairement plus de pouvoir sexuel. Mais plus une société est permissive envers la sexualité des femmes, plus l'inégalité entre les sexes (le pouvoir du sexe féminin et le désir masculin de réprimer ce pouvoir) diminue.

L'offre augmente (plus de femme qui recherchent des relations sexuelles), la demande reste constante (le nombre d'hommes désirant une relation sexuelle), le sexe devient plus accessible en général. Le sexe perd de sa valeur en tant que produit (moins de prostitution, de pornographie) et de moyen de pouvoir (vraies salopes).

Comme si le sexe masculin devait en être réduit à tenter de réprimer le supposé pouvoir cosmique de la femme.

Wô les moteurs.

Disons que ta définition de l'inégalité des sexes me laisse pantois.

Sans compter que tes histoires simplistes d'offre et de demande sont farfelues à souhait. On dirait que tu décris un réseau de prostitution, même si tu parles plus loin de la diminution de celle-ci.

Et si je me permets de paraphraser, j'ai une immense misère à voir le lien entre l'augmentation du nombre de putes qui se donnent au premier venu (c'est ça ton "pouvoir" et ta "permissivité", right?) et la disparition de la pornographie.

Modifié par Coup de Théâtre
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