--- 21 décembre 2020 Partager 21 décembre 2020 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
1984 22 décembre 2020 Partager 22 décembre 2020 Donne nous envie de la regarder au moins. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Daleko 22 décembre 2020 Partager 22 décembre 2020 Merci Professeur. Je m'étais pas sentie aussi sale depuis Punch and Judy. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Purosangue 22 décembre 2020 Partager 22 décembre 2020 Antonin Artaud 2.0 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Daleko 22 décembre 2020 Partager 22 décembre 2020 C'était un infâme connard Antonin Artaud ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Purosangue 22 décembre 2020 Partager 22 décembre 2020 il y a 29 minutes, Daleko a dit : C'était un infâme connard Antonin Artaud ? Un infâme cruel Inventeur du concept de « théâtre de la cruauté » dans Le Théâtre et son double, Artaud a tenté de transformer radicalement la littérature et surtout le théâtre. S'il n'y est pas parvenu de son vivant, il a certainement influencé les générations de l'après Mai 68, en particulier le théâtre américain, et les situationnistes de la fin des années 1960 qui se réclamaient de son esprit révolutionnaire. Derrière « cruauté » il faut entendre « souffrance d'exister » et non une cruauté envers autrui. L'acteur doit brûler sur les planches comme un supplicié sur son bûcher. Selon Artaud, le théâtre doit retrouver sa dimension sacrée, métaphysique et porter le spectateur jusqu'à la transe. Artaud y disait entre autres : « Je me suis rendu compte que l'heure est passée de réunir des gens dans un amphithéâtre même pour leur dire des vérités et qu'avec la société et son public, il n'y a pas d'autre langage que celui des bombes, des mitrailleuses et tout ce qui s'ensuit. Toute sa vie, il a lutté contre des douleurs physiques, diagnostiquées comme issues de syphilis héréditaire, avec des médicaments, des drogues. Cette omniprésence de la douleur influe sur ses relations comme sur sa création. Il subit aussi des séries d'électrochocs lors d'internements successifs, et il passe les dernières années de sa vie dans des hôpitaux psychiatriques Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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