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Un truc que je comprends pas


1984
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D'accord. Mais c'est quoi l'intérêt du lobby LGBT à retarder l'adolescence ?

Je pense que tu vas chercher trop loin. Des parents sont face à la souffrance de leur enfant et ils ont une solution pour temporairement limiter les dégâts. Je ne sais pas si c'est la meilleure chose à faire mais quand tu sais qu'un proche va souffrir, t'es naturellement enclin à tenter de le soulager. C'est une réponse médicale à un problème médical. Est-ce que t'as en tête un type de traitement sur ce sujet qui n'est pas à tes yeux lié au lobby LGBT ?

D'une manière générale, je vois pas pourquoi ces questions concerneraient plus la gauche que la droite, un peu comme l'écologie. 

 

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Je comprend ton point mais je ne suis pas d'accord. Parfois, même si c'Est difficile il faut passer par dessus les émotions pour avoir une vu d'ensemble tout en pensant à l'avenir. Des bloqueurs hormonaux ce n  sont pas des aspirines, cela peut avoir un impact majeur sur le développement des enfants et sur la chimie du cerveau.

Aussi, il y a plusieurs trans suicidaire pour une de ces raisons, as tu vu le tas de pillules qu'ils doivent prendre... ca débalance le cerveau  et les hormones au complet, et ceux qui sont plus pessimistes peuvent devenir ultra suicidaire, surtout quand tu t'aperçois qu'à la toute fin les hommes hétérosexuel ne s'intéressent pas à toi. Car plusieurs trans sont des homo qui ne s'acceptent pas et aussitôt qu'ils ont transitionné ils vont dire qu'ils sont hétérosexuel car comme femme, ils aiment les hommes...

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Le 2020-12-06 à 18:07, 1984 a dit :

 

C’est bel et bien une petite fille enfermée dans un corps de garçon. 

Je ne sais pas, il n'y a rien qui le prouve. Tout ce qu'on peut dire avec certitude c'est qu'elle est en détresse dans son corps. D'ailleurs, ce qu'on peut lire sur le certificat médical que tape la psy pour l'école, c'est qu'en raison de la souffrance engendrée par l'emploi des pronoms masculins, il conviendrait de dire "elle" et de la traiter comme une fille, mais il n'est dit nulle part que c'en est une, parce que c'est impossible à démontrer.

J'ai adoré le documentaire, cette famille est hyper touchante mais c'est filmé de manière très unilatérale. À aucun moment on ne demande au directeur pourquoi il a voulu lancer une enquête pour maltraitance, la mère sembler chercher un destin à son enfant pour faire sens de ce qui lui arrive (et on la comprend), la psy élimine du revers de la main l'idée que la mère, qui était très déçue d'avoir un garçon, ait pu avoir une influence quelconque alors que d'autres pédo-psy sont de l'avis contraire.

Après oui, elle ne fait de mal à personne et je ne vois pas qui ça dérange de la laisser vivre sa vie comme elle l'entend. Si l'histoire de la prof de danse est exacte (elle l'est très probablement), c'est de la maltraitance, c'est ignoble d'humilier publiquement un enfant (et qui que ce soit d'ailleurs). Elle souffre et fait face à de nombreux obstacles, peut-être que quand elle sera grande, ce sera une fille, mais là, non. Peut-être que dans 500 ans, y'aura des façons de déterminer ça hyper simplement et que ça nous semblera trivial, mais là, c'est impossible à dire.

@Woot, tu réponds pas à mes questions. Tu fais que répéter que c'est dangereux de jouer avec les hormones (et je suis d'accord), ça dit pas ce qu'il y aurait d'autre comme moyen d'atténuer la souffrance des enfants ni ce que les lobbys LGBT gagnent à pousser l'utilisation de ces médocs.

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