Daleko 24 novembre 2019 Partager 24 novembre 2019 J'existe alors je crée des sujets. Je répondrai demain ou autre, parce que hein, vous avez compris. Ils vous viennent d'où vos goûts musicaux ? Vos parents avaient bons goûts ou ils aimaient Michel Fugain ? Ca a été comment en grandissant, et pis maintenant ? Vous croyez que c'est quoi qui vous a formé ? Vous jugiez/jugez beaucoup les gens sur leurs goûts musicaux ? 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
groslent 24 novembre 2019 Partager 24 novembre 2019 Ma soeur la plus âgée m'a donné The downward spiral de NIN pour mes 13 ans. Quand j'allais chez elle, j'étais accueilli avec du Joy Divison, du Indochine, The Cure, The pixies, New Order etc. Un de ses exs m'a fait découvrir Kraftwerk, VNV nation, Front 242, Frontline Assembly, Covenant, etc. quand j'avais 10-11 ans. Mon autre soeur se faisait des piercings avec des épingles à couche dans sa chambre avec les Sex pistols, PIL, Siouxie and the banshees, etc. dans le tapis. Mon frère m'a entre autres fait découvrir Tool et Infected Mushroom, je me souvient avoir beaucoup écouté le CD mp3 d'Apocalyptica qu'il m'avait fait quand j'étais en 2ème année. Mon père mettait du Jean-Michel Jarre pour les longues heures de route en famille. Je considère avoir reçu une belle éducation musicale. Révélation Ma mère écoute parfois du Michel Fugain. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Abellajewishterror 25 novembre 2019 Partager 25 novembre 2019 Ma mère chantait du Céline Dion et mon père écoutait du butt-rock comme du Creed et du Nickelback. Quand il m'a acheté un lecteur MP3 pour ma fète de 10-11 ans, j'ai pris quelques albums/chansons sur sa grosse bibliothèque virtuelle. Ça a commencé là j'imagine. Mon premier CD acheté était London Calling. J'ai aussi acheté pas mal de CD de NIN quand j'avais cet âge. Le dépotoir, notamment Synotte, m'a mené à écouter du stock genre Talking Heads et à lentement ouvrir mes horizons musicaux. Sinon, je jouais du métal avec mes amis. Mon gros déclic s'est fait quand j'ai eu Guitar Hero 3, puis Rock Band. Tu découvres un band qui t'amène à chercher des trucs similaires et ça finit en arborescence. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bubble owl 25 novembre 2019 Partager 25 novembre 2019 (modifié) La première musique que je me souviens est à 8 ans. J'écoutais le CD "the eminem show" et du D-Devil. C'était ma soeur qui avait ces CD. Mon père lui écoutait du Ac/dc, pantera, metallica, iron maiden, ect. Je me souviens qu'il écoutait la chanson walk de pantera sur son sub dans son char. Après vers 11 ans j'ai accroché à slipknot à cause de la chanson wait and bleed que l'ami à ma soeur avait téléchargé sur limewire. À 14 ans j'ai commencé à écouter juste du hiphop, du reggea mais aussi du mononc serge. Maintenant j'écoute de tout. Modifié 25 novembre 2019 par Cheese Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gamin 25 novembre 2019 Partager 25 novembre 2019 Mes plus loins souvenirs musicaux sont: - À quatre-cinq-six ans, moi qui secoue mer et monde pour que ma tante remette le CD de la soundtrack de Wayne's World pour que je puisse jammer sur Bohemian Rhapsody. Elle joue de la guitare, je lui redemande sans cesse de rejouer "Un musicien parmi tant d'autres" d'Harmonium. - Dès l'âge quatre-cinq-six ans, ma mère qui fait du ménage en écoutant l'album Breakfast in America de Supertramp et beaucoup de Loreena McKennitt (chanteuse celtique). - Vers l'âge de cinq-six ans, ma cousine un peu plus vieille (elle avait quatorze ans à l'époque) en mode full émo 80's qui chante sur du Nothing Compares 2 U - Vers sept ans, en 1996, j'ai des posters des Backstreet Boys et Spice Girls dans ma chambre. Mon oncle m'apprend l'intro de Nothing Else Matters de Metallica à la guitare. - 1997, j'ai huit ans, je passe à travers nombreuses cassettes de mes parents afin de les copier sur mon mixtape personnel, pour que je puisse les écouter dans mon tout nouveau walkman jaune auto-rewind. Je me souviens d'Hotel California. On a un piano en bois de rose dans la maison, un de mes oncles m'apprend "Il faudra leur dire" de Francis Cabrel. - Même année, mes parents gagnent un lecteur de MINICD, outil à la fine pointe de la technologie, en même temps qu'une paire de billet pour la première du nouveau film d'Adam Sandler, Le Chanteur de Noce, ainsi que sa soundtrack. La chanson "Do You Really Want To Hurt Me" de Culture Club est à jamais ancré dans ma tête. - 1999, environs neuf-dix ans, je suis dans la voiture avec mes parents et The Real Slim Shady passe à la radio. Je suis captivé. Je ne comprend rien - et pendant longtemps je passerai à travers beaucoup d'adulte pour qu'il me traduise et m'explique qu'est-ce que c'est qu'un putain de mince ombragé - mais la musique est tellement intéressante que je ne décroche pas. J'économise un gros 20$ (à l'époque tu pouvais acheter une maison avec 20$) et, le nouvel album n'étant pas encore sortit, j'achète Slim Shady LP dans un magasin de brocante: mon premier achat de CD. - 2002, vers doux-treize ans, dans une nouvelle école du secondaire, un nouvel ami me demande si j'écoute du métal. Je ne connais pas ça. Il me fait écouté System of a Down et Slipknot. - L'année suivante, 2003, à quatorze ans, le même ami me fait écouter quelque chose qu'il vient de découvrir: Children of Bodom. On décide d'économiser notre argent afin de chacun s'acheter une guitare et de former un band. - Même année, mes parents apprennent mes plans d'apprendre la musique et me donne l'ancien clavier de ma cousine 80's emo. J'achète pour la première fois plusieurs CD d'un coup: Meteora de Linkin Park, Golden Age of Grotesque de Marilyn Manson, et Break Syndical des Cowboys Fringant. À ma fête, mon père finance le restant de ma guitare. Le restant est une cascade de découverte, après Children of Bodom d'autres amis métalleux me font découvrir Moonsorrow et Finntroll. Vers l'âge de quinze-seize ans, en 2005, j'entre en contact avec le compositeur principal de Moonsorrow/Finntroll, Henri Sorvali, et il me fait découvrir Diablo Swing Orchestra. Durant la même période des amis me font découvrir Tom Waits, Les Claypool et Mike Patton. De là s'ouvre un monde entier de centaines de groupes et artistes aussi variés et diffèrent les uns des autres. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
e028182 25 novembre 2019 Partager 25 novembre 2019 J"aime beaucoup harmonium, Daniel Bélanger, l'album deux cents nuits à l'heure, beau dommage et même les BB. Je suis pas mal sûr que ce n'est pas objectif, mais dû à mon enfance. Je connais personne en dehors du Québec qui aime ça. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gamin 25 novembre 2019 Partager 25 novembre 2019 il y a une heure, e028182 a dit : Je connais personne en dehors du Québec qui aime ça. Harmonium a du cred sur la scène prog international, surtout envers les fans un peu plus vieux qui ont vécu les 70's. Eux et Maneige. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Daleko 26 novembre 2019 Auteur Partager 26 novembre 2019 S’il y a un truc que mon père a bien fait, c’est mon éducation musicale, côté musique populaire, rock, blues. Il m’a toujours traîné à ses répèts, me forçait à chanter avec son groupe, etc. Il me faisait écouter un extrait musical (de mes musiques de petite fille à moi, vous connaissez sans doute pas : Dorothée, Hélène, etc.) et je pouvais pas partir tant que j’avais pas retrouvé les notes sur le clavier. Il m’a aussi fait commencer les cours de piano et de solfège. Après, j’ai découvert la radio. On a cette chaîne qui passe les gros tubes : NRJ. Je passais tout mon temps à attendre une chanson connue pour pouvoir l’enregistrer sur cassette. J’aimais bien Britney, Larousso et je me battais dans la cour de récré parce que "c’est moi qui fait Baby Spice", k. ? J'ai fini par me mettre à des choses un peu plus évoluée parce les gens cools de ma classe écoutaient ça et que je voulais en être : Aretha Franklin, Manu Chao, Fugazi, c’était assez varié et bon. Je progressais bien au piano et on commençait à parler de m’envoyer dans un meilleur conservatoire. Mes parents étaient contre parce que c’était trop loin et mon père voulait m’éloigner du classique, parce qu’il trouvait que je me transformais en petite princesse prétentieuse (oups…). Il m’a poussé à faire de la batterie et c’était vraiment super cool, ça m’a ouvert sur un monde de gens moins coincés, mon prof était hyper relax et gentil, il m’emmenait voir plein de master class. C’est aussi mon père qui m’a offert ma première basse et mon premier violon. Après, quand j’ai commencé mes études en classique dans le supérieur, je leur en ai beaucoup voulu de ne pas mieux m’avoir éduqué sur la musique savante, alors que je passais 7 h par jour sur mon piano, etc. C'était vraiment un handicap. J’ai lu des tonnes de livres sur l’histoire de la musique classique et quelques personnes m’ont aidé à me cultiver, IRL ou sur Internet (@Lux, GloG). J’écoute presque plus que du classique. Pas que je n’aime pas le reste mais il y a tant à apprendre et j’ai si peu de temps… Après, j'entends la musique bien violente de mon mec et j'aime bien cinq minutes, mais très vite, j'ai mal au crâne et envie de l'assassiner. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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