Eternal Sunshine of the Spotless mind.

[Cheval]

J'ai regarder Eternal Sunshine of the spotless mind ce dimanche après une nuit neigeuse de kétamine.

Saint-Gabriel et tout les anges!

Il est clair et précis que le scénariste était un consommateur sensible à la salvia et/ou à la kétamine.

Pour avoir aussi bien saisi ce sentiment d'incertitude factuels du corps il faut, à mon sens, avoir goûté à un de ces produits.

Qu'en pensez-vous?

Pour ma part, ce genre de malaise est fréquent lors de la consommation de kétamine et de salvia. La plupart du temps il est le premier but de l'exercice, y trouvant un plaisir malaise à mettre mon être dans l'incertitude.

Le topic est plus pour parler de ce sentiment que pour parler du film, le sujet à alors ça place en ces lieux saints.

Modifié 17 septembre 2009 par Lion
Correction du titre

[Lux]

,,,

[Wavebird]

Le scénariste en question c'est Charlie Kaufman.

Je peux dire sans trop me compromettre qu'il doit être un fervent utilisateur de substabces illicites. Regardez seulement Being John Malkovich ou Adaptation (films qu'il a scénarisés) et vous verrez. Son seul film en tant que réalisateur, Synecdoche New-York, est réellement mystifiant à regarder même à jeun. Tout ça entre dans une démarche de recherche artistique autour du rêve et des concepts d'identité et d'existence, c'est on ne peut plus dans la veine des expériences hallucinogènes, particulièrement sur ce qu'on dit de la Salvia et des drogues délirantes.

[John Lucifer]

Je vais aller gratter mon scrabble