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Déchet(s) recommandé(s)

Je viens d'aller voir Django, mon film de l'année.

Bon moment c'film...

Exploit réussi pour moi qui n'est pas amateur de boucherie excessive et qui décroche après un visionnement de 2h (surtout lorsque siègé à la 3ème rangée devant à partir de l'écran)...Bon d'accord c'est quand même tout près de 2h50 mais ça coule bien et tout reste homogène comme une pâte Pillsburry.

J'ai aimé la signature Morricone à la trame sonore (et sa diversité)...

Le clin d'oeil en direction de Hitchcock pour l'apparition de Tarantino en secondaire...

La véracité du personnage incarné par Samuel L. Jackson et le caractère affable du Dr. Shultz.

Maintenant...

M'faut la trame sonore version vinyle question d'la meubler convenablement entre ma copie de "Once Upon a Time in the West" et celle de "The Good, the Bad & the Ugly".

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Etant fan inconditionnelle d'Ennio Morricone, tu me donnes bien envie d'y aller en courant !

Ma femme s'est justement procurée la trame sonore hier...

Tout est bien en place...

Les sonorités très typiques.

L'audio sur la majorité des pistes (celle signées Morricone du moins) présentent une signature statique (turntables)...

La compression des morceaux, l'égalisation sonnent comme un vinyle des z'années 70 (probablement avec l'utilisation d'un émulateur)...

Les z'ingénieurs y ont même ajoutés volontairement du statique/parasytes afin d'ajouter au réalisme.

Je te la conseil fortement.

(Mon morceau favori)

Morricone étant partout à la fois...

Difficile d'en choisir qu'un seul.

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Bon moment c'film...

Exploit réussi pour moi qui n'est pas amateur de boucherie excessive et qui décroche après un visionnement de 2h (surtout lorsque siègé à la 3ème rangée devant à partir de l'écran)...Bon d'accord c'est quand même tout près de 2h50 mais ça coule bien et tout reste homogène comme une pâte Pillsburry.

J'ai bien aimé le film, mais sur ça je suis pas d'accord. Si y'a bien un réalisateur qui fait pas des films homogènes, c'est Tarantino. Ce sont des films de "scène". On retient surtout des moments et des scènes fortes et le charisme des personnages, mais c'est un peu bouillie au niveau de la cohésion de l'ensemble.

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J'arrive tout juste du visionnement de Django Unchained.

Il faut à prime abord que je précise mon amour inconditionnel pour tous les films de Quentin Tarantino y compris Jackie Brown malgré son succès mitigé.

Je tiens à souligner le formidable travail de Jamie Foxx, acteur que je connaît depuis belle lurette mais que j'ai vraiment commencé à prendre au sérieux avec son rôle dans Collateral et Any Given Sunday.

Christoph Waltz est aussi charismatique que Vince Lombardi l'a été au Football. Même son rôle dans la comédie avec Seth Rogen était délectable.

Sur l'échelle des Tarantino, Django n'est certainement pas le pire et peut-être même un des meilleurs.

Tarantino fait souvent soit des films ou les dialogues brillent, (Pulp Fiction) soit des films ou l'action brille (Kill Bill Part One).

Ici j'ai le sentiment que Tarantino a savamment dosé des scènes d'action et des scènes de dialogue. Chaque intervention de Samuel Jackson est délicieuse et hilarante. C'est vraiment de tous, l'acteur le mieux exploité par Tarantino.

Si j'avais une note à donner j'irais avec la raison et je donnerais un 9 sur 10.

À écouter mon coeur j'irais volontiers avec un 10 sur 10 ne m'étant pas ennuyé une seule minute.

Les films de Quentin Tarantino sont trop rares et chaque fois qu'un de ceux-ci prend l'affiche c'est un événement.

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Moi j'ai été déçu. D'abord il y a ce manque d'homogénéité qu'a soulevé le Commissaire quelques messages plus haut. Pendant une bonne demie-heure on nous sert un dialogue amusant et captivant, parfois un peu lent, et la seconde suivante, sans le moindre signal, on assiste à une tuerie des plus grotesques sous le rythme d'une grosse musique pop-western. À un certain moment clé, ça ressemblait à un clip de 50 Cent. On a tantôt l'impression de voir un mash-up entre deux films complètement différents. J'ai trouvé que Inglorious Basterds était mieux dosé.

Django commet toutes sortes d'atrocité et accepte l'inacceptable pour libérer sa femme tenue esclave. Ça aurait été bien qu'on présente un peu plus leur vie matrimoniale antérieure pour justifier cette aventure meurtrière, ou du moins qu'on explique davantage pourquoi c'est tant important pour lui de la retrouver, soit de sentir en lui de réelles émotions, car là j'étais très peu sympathique à leur cause, d'autant plus que le personnage apparaît plutôt vide. C'est juste un badass black au tempérament impétueux sur un cheval. Bref, j'y crois pas à cette histoire d'amour qui me rappelle étrangement celle de True Romance, un vieux film écrit par Tarantino : un homme et sa call girl tombent amoureux et, à travers leur déroute, tuent un paquet de bandits et dealent de la dope pour pouvoir vivre leur petit bonheur.

J'ai aimé que Tarantino parvienne à remplir son film de personnages racistes sans qu'on sente du racisme.

Une scène en particulier m'a rappelé Reservoir Dogs : lorsque Django est suspendu par les deux pieds. Son tortionnaire veut lui couper quelque chose...

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Si vous n'avez pas vu ce film, ne lisez pas ce message.

J'étais sur mon cellulaire et j'ai cru qu'il s'agissait de Django .J'allais en profiter pour revoir quelques scènes et poster mon opinion sur le film.

Je vais tout de même le faire, au risque de manquer de précision dans quelques détails.

Je l'ai vu le 26 et j'ai trouvé que c'était un film très divertissant, malgré plusieurs faiblesses. Même si Inglorious semble plus solide en terme de construction, de rythme, etc., j'aime mieux Django. Il est sans aucun doute plus un collage, mais dans ce cas il est nécessaire de rappeler que la forme est le contenu. L'exploitation movie - type de film qu'il prend comme archétype pour articuler ce recit - est pauvre en terme de cohérence au montage, et il faut savoir que parfois on saute des scènes, on dit au lieu de montrer - voir la scène où un texte en blanc défile rapidement sur l'écran, pour marque une ellipse, etc. Les manières de couper dans le budget, ici et là, pour mettre le sensationnalisme et les scènes d'action sont multiples dans ce type de film. Ces mécanismes sont pauvres et ne sauraient être plus déplaisants pour le spectateur averti. Dans le contexte de Django, si on connaît un peu ce qu'est l'exploitation movie (voir Mandingo, Drum, par exemple) on peut voir comment les clins-d'oeil servent doublement le discours : il s'agit, après tout, d'un film qui aura causé une certaine polémique chez les plus conservateurs. "C'est raciste! Le portrait qu'ils font des noirs est exagéré. Ils disent nigger à tour de bras!". Voilà un peu d'exploitation dans un pastiche d'exploitation movie. Puis il fait dans les codes du western aussi, mais ça, tout le monde le sait.

Les faiblesses pour moi paraissent de manière évidente dans quelques lieux du film, dont quelques scènes clé et surtout, mémorables pour la plupart des gens avec qui j'ai pu parler. Je peux les compter sur une main, mais elles sont si grandes qu'à chaque fois, le film semble se balancer sur une corde raide sur laquelle, à chaque fois, il passe très proche de tomber. La scène des hood (qui rappelle le KKK), si bien elle est drôle, pour moi elle s'éternisait et on aurait cru que le réalisateur était quelqu'un qui essayait de faire du Tarantino. Après ça, la scène où le nègre - au sens d'esclave - se fait manger par des chiens. Par la scène en elle-même, mais les remords du Dr. King Shultz, qui viennent longtemps après cette scène, cassent le rythme du film par un effet de flash-back cheap qui n'a aucune conséquence sur le film étant donné qu'il meurt quelques instants plus tard. Il est clair que l'esthétique du film mise sur le fait de briser les rythmes et les attentes. C'est ça qui cause le drôle et certainement, une partie de l'effet Tarantino. C'est réussi à plusieurs reprises, par exemple dans le fait-même que le Dr Shultz soit un dentiste. Ou la première instance où l'on entend de la musique plus moderne (hip-hop ou rap), cassent ce mécanisme d'attentes vis-à-vis le monde proposé, se plaçant à la limite du vraisemblable. Créant ainsi un effet de contre-point, on est rapidement amusés et satisfaits par ce que l'on voit. Mais dans les scènes que j'ai nommé plus tôt, l'effet ne fonctionne pas. Dans la scène du KKK, le problème est sans doute le saut en arrière. Le film stagne : on voit leur attaque, puis on revient à la préparation pour s'éterniser sur des dialogues qui ne font pas avancer le film, mais le placent dans un domaine de l'attente. C'est comique, mais le compromis (grande attente) pour ce que l'on reçoit (un peu de drôle) n'est pas très satisfaisant. Même chose pour l'autre scène que j'ai nommé.

De plus, le cameo de Tarantino, sans blague, est d'un ridicule sans égal. L'accent qu'il emprunte en devient presque parodique et détonne grandement avec le reste des performances. En tant qu'acteur, il n'était certainement pas au niveau attendu. On se réjouit en le voyant exploser. On dirait qu'il peut se permettre ceci, sans déranger la plupart des spectateurs, car Tarantino est Tarantino. Les réactions en salle, lors des scènes que j'ai nommé, sont positives. Mais pour le spectateur qui cherche plus loin qu'un film stylisé, qui n'est pas un fan perdu du cinéaste, il est difficile de lui pardonner ces écarts.

La scène où Django prend le fouet et punit l'homme blanc est délicieuse. Ainsi que la première scène d'action à Candyland, où il finit par se rendre et redevenir esclave... pour se libérer une dernière fois et se confirmer en tant que Django Freeman.

Les dialogues sont toujours inventifs et amusants, c'est une des caractéristiques qui fait en sorte qu'un film de Tarantino soit un film de Tarantino. C'est certainement pas son plus grand film, mais il est tout de même un objet intéressant. Pour moi, tout l'intérêt réside dans le fait qu'il se place dans la continuité d'Inglorious, dans un genre de cycle tarantinien qui se caractérise par l'utilisation du cinéma pour changer l'histoire. Les personnages soumis, esclaves ou victimes dans l'Histoire avec un grand H se font ici protagonistes d'une nouvelle histoire où la vengeance est de mise. Alors que j'ai toujours aimé Tarantino en me demandant "Ouais, mais ça parle de quoi? Ça parle de cinéma, ouais... mais à part ça, ça a rien à dire!", il entame dans sa carrière un nouveau chemin qu'il aura proposé en premier dans Inglorious et confirmé avec Django. Populaire et populiste - toujours - Tarantino commence à infuser son oeuvre d'un sens qui, pour moi, va de pair avec ses ambitions stylistiques. Toujours dans l'exagération et dans le contre-point, baser ses récits sur des faits historiques renouvelle le spectre sur lequel cet auteur se place.

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La lutte Mandaigne ou Mandingo Fighting est une invention de Tarantino.

''One of the movie's major quick-call-the-fact-checker moments is a brutal scene involving "Mandingo Fighting." A gambling pastime of the wicked plantation owner Calvin Candie (Leonardo DiCaprio), the sequence boils down to a wrestling match to the death, with two slaves punching, kicking, and slamming each other until there's a victor. The sequence prompted historians to speak up about the troubling sport.David Blight, the director of Yale’s center for the study of slavery, explained to Slate that sending slaves to fight didn't make monetary sense. Edna Greene Medford, chairperson of the history department of Howard University, told NextMovie that after years of studying slavery, the Civil War, and Reconstruction, she had never encountered anything resembling "Mandingo Fighting." Knowing these facts only plays to Tarantino's intentions with the scenes: they may not factually true, but they feel like they could be in the frightening world of the Antebellum South.

Tarantino's inclusion of the wrestling match is likely born from his enjoyment of the 1975 blaxploitation filmMandingo, which he cites the book Quentin Tarantino: Interviews as one of his favorites. Tarantino shaped a career out of paying homage to the films he deems classics, using them as seeds for his own wild concoctions rather than spoofing them sloppily.''

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TABARNAAAAACK !

Je m'attendais à quelque chose de bon, sachant qui réalisait le film, mais je m'attendais pas à ÇA ! Ce film-là est un chef-d'oeuvre, les mots me manquent. Tout, TOUT est excellentissime : les acteurs (bon, ok, je l'ai vu en VF, mais les répliques étaient quand même bien tranchantes), la musique, les magnifiques décors, et que dire des effets spéciaux pendant les scènes d'action? Je sais que c'est Tarantino, et on le reconnait bien pendant la grosse scène de fusillade à la fin, mais bordel ! On est loin du sang horriblement mal fait de Walking Dead, ce que c'est beau. Tarantino sait rendre le sang presque poétique, c'est...le travail d'un maître.

Mon seul regret est que mon père, grand fan de westerns, soit pas venu avec moi pour le voir, il aurait capoté, surtout qu'il est pas allé au cinéma depuis le Retour du Roi. J'ai hâte au blu-ray pour corriger ça.

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TABARNAAAAACK !

Je m'attendais à quelque chose de bon, sachant qui réalisait le film, mais je m'attendais pas à ÇA ! Ce film-là est un chef-d'oeuvre, les mots me manquent. Tout, TOUT est excellentissime : les acteurs (bon, ok, je l'ai vu en VF, mais les répliques étaient quand même bien tranchantes), la musique, les magnifiques décors, et que dire des effets spéciaux pendant les scènes d'action? Je sais que c'est Tarantino, et on le reconnait bien pendant la grosse scène de fusillade à la fin, mais bordel ! On est loin du sang horriblement mal fait de Walking Dead, ce que c'est beau. Tarantino sait rendre le sang presque poétique, c'est...le travail d'un maître.

Mon seul regret est que mon père, grand fan de westerns, soit pas venu avec moi pour le voir, il aurait capoté, surtout qu'il est pas allé au cinéma depuis le Retour du Roi. J'ai hâte au blu-ray pour corriger ça.

Lol ?

La musique rap avait aucun rapport (garder la musique western classique aurait été un meilleur move), les effets spéciaux étaient OK mais de voir le sang pisser de partout enlevait pas mal la crédibilité des scènes (mais bon c'est typique Tarantino). Certaines cut étaient aussi louches.

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