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Comment aborder le viol.


Déchet(s) recommandé(s)

Tu proposes quoi dans ce cas.

D'arrêter de chercher.

C'est parce que vous croyez au "sérieux" qu'on vous propose des gens qui y travaillent. Un psychologue ou un psychiatre n'est pas quelqu'un qui connais la vie, mais quelqu'un qui la critique.

Consulter une psychologue quand ça va mal c'est l'équivalent de lire l'interview d'un contrebassiste quand on a envie d'écouter du Jazz.

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lol: "calme toi un peu" en baisse de reputation anonyme. Dois-je porter plainte pour qu'on me reconnaisse un droit de victime? Agression anonyme? Expérience personnelle et tutti quanti?

*Sortir de sa vie avant que d'y rester*

Dantes, la disqualification par le "tu dois être gelée", on dirait du tova. T'as le droit d'avoir plus envie de parler sans me prendre pour un pot de vin.

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OK. Ta meilleure amie débarque chez toi les vêtements en lambeaux, elle ne répond rien quand tu lui demandes ce qui lui arrive et est visiblement en état de choc. Et toutes aides professionnelles est à exclure parsque c'est une bande ce sales cons.

Parfait. Alors, on fait quoi là? On la laisse couler? On la laisse se jeter du haut d'un pont, ou s'ouvrir les veines dans quelques heures. Ou on lui dit simplement: "C'est pas grave ma vieille, dans quelques jours tu n'y penseras même plus". Ça, ça lui faire du bien. Right?

Ben cé ben d'valeur, mais cé pas ça pentoute qui va l'aider. On va commencer par l'hosto et on verra pour la suite. Mais je resterai surement pas là à attendre que le pire arrive.

CRISS QUE NON! Et pensez en c'que vous voudrez, j'la regarderai pas CREVER sans rien faire.

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Je connais personnellement plusieurs personnes dont une très proche qui ont été victime d'abus. Certaines ont consulté, d'autres non. Je ne connais pas toutes les histoires en détails, mais celles qui ont consulté on sont beaucoup mieux aujourd'hui, dont une assez particulièrement. Et de façon générale, de presque tous ceux qui ont consulté pour quelque problème que ce soit, ou juste pour aller mieux, j'ai eu de bons commentaires.

Pour ce qui est du sujet lui-même, je ne sais trop quoi dire, puisque pour ma part c'est un peu un sujet tabou avec cette personne proche qui a vécu des abus. Déjà l'avouer c'était pas facile, mais aller plus loin l'est encore moins. Est-ce que vivre avec c'est mieux?

Bref je n'ose pas plus aborder le sujet à nouveau car je crois que c'est à la personne de décider ce qu'elle doit faire, mais ça ne m'a même pas abordé l'esprit de lui proposer de consulter, ne sachant trop quoi dire quand c'était la première personne qui me disait ça et qui me faisait réaliser que "hé oui, ça arrive pas juste aux autres ça...". Et puis, consulter est un sujet plutôt tabou dans la société, alors pour une personne qui vit ça et qui est déjà émotionnellement vulnérable de l'avouer, est que ça enverrait un message qu'on la laisse tomber? Qu'est n'est pas bonne à rien pour régler ça tout seul? Bref, elle doit être prête réellement.

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