Ecce Homo 19 janvier 2017 Partager 19 janvier 2017 Pour ceux qui travaillent, comment ça se passe côté atmosphère de job ? Est-ce que vous avez ou avez déjà eu des collègues, des clients, des tâches que vous aimiez moins ou carrément pas ? Avez vous ou avez vous déjà eu des collègues de travail toxiques ? Comment dealez vous avec les conflits au travail ? J'aimerais entendre vos histoires de job ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Abereau 19 janvier 2017 Partager 19 janvier 2017 C'est pour des travaux d'école? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Insomniaque 21 janvier 2017 Partager 21 janvier 2017 Est-ce qu'il y a des tensions chez le régulateur, Ecce Homo? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nikee 21 janvier 2017 Partager 21 janvier 2017 On est tous la personne toxique de quelqu'un d'autre ; ) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
groslent 21 janvier 2017 Partager 21 janvier 2017 L'ambiance de travail dans une épicerie, j'imagine que ça compte pas pour toi. Il y avait une superviseure en particulier avec qui aucun emballeur ne souhait travailler. Elle nous appelait constamment aux caisses afin de faire des tâches non prioritaires, mais il fallait faire comme elle voulait pour ne pas avoir à subir sa voix désagréable et son comportement névrotique. À cause de son inefficacité, je ne pouvais pas finir à l'heure. Avec le temps, j'ai choisi de faire ma routine à ma façon, mais de lui donner le feedback qu'elle voulait entendre pour ne pas qu'elle s'inquiète. Question de finir à l'heure et content(s). Finalement, j'aimais travailler avec cette superviseure parce que c'était moins ennuyeux qu'avec les autres. Elle avait peur de perdre son poste et elle faisait quand même des efforts pour le garder, donc je prenais un peu ses erreurs sur le dos. Un emballeur, ça se promène partout dans l'épicerie, et ça finit par savoir des choses sur tout le monde. Il y en a du commérage, c'est pas possible comme il y en a! J'ai remarqué qu'il existait deux clans majeurs aux caisses à cause d'une chicane qui a eu lieu avant mon arrivée. Je trouvais ça plutôt amusant, surtout quand des collègues me parlaient d'autres collègues avec dédain et me racontaient des anecdotes à leur propos. Comme je ne cherchais aucun conflit, je faisais en sorte de faire croire à la personne en face de moi que je croyais comme elle, mais en évitant d'exprimer mon opinion, de façon à ce que cette opinion ne soit pas retournée contre moi plus tard. Ce qui est encore plus amusant, c'est quand la personne opposée vient me parler de la personne qui vient me parler d'elle. Encore là, je faisais croire mon accord, mais intérieurement je pouffais de rire! tl;dr: Bref, je deal les conflits avec beaucoup trop d'adaptation et un (mini) soupçon de manipulation (affirmation passive). En fait, je préviens l'arrivée des conflits et je parviens toujours à les éviter. Quand il s'agit de supérieurs comme la gérante ou le propriétaire, mon adaptation devient encore plus extrême. Cela devient culpabilisant et frustrant pour la personne en face de moi qui ne comprend pas mon comportement. c'est pour cela que j'échoue à entretenir de bonnes relations de travail et que je finis par craquer sous une pression inventée par mon esprit et un sentiment d'étrangeté par rapport aux autres. @Ecce Homo Ça ressemble à quoi ton ambiance de travail? Ton lieu de travail? Ton travail? Il doit bien y avoir des bêtes noires pour que tu nous poses à la question. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 21 janvier 2017 Partager 21 janvier 2017 Quand je travaillais dans le communautaire sous le couvert d'un programme pour un organisme qui est censé s'occuper de la charité (vente de vêtements usagés, vente de biens usagés, vente de meubles usagés) j'ai été confrontée à une supérieure despotique qui prenait cela vraiment au sérieux et qui était CHIANTE. Elle était toujours sur le dos de quelqu'un pour prodiguer son harcèlement et bien entendu à un certain moment ce fut mon tour. Je l'ai vu faire pleurer plein de femmes qui travaillaient avec moi, elle était vraiment incisive à gratter la plaie et rendre tout le monde fou. Lorsqu'elle s'en est pris à moi je n'ai pas pleuré mais j'ai fini par péter un SALE PLOMB et je l'ai traitée de mal baisée. Elle a fini par me laisser tranquille faire ma job et arrêter de me harceler. Elle s'en prenait à moi pour des détails comme par exemple: -Je devais identifier les boîtes en mettant un bout de tape et écrire dessus ce qui se trouvait dans la boîte et le tape dépassait de trois centimètres de mon écriture.... Elle m'a accusé de faire perdre de l'argent et des ressources à la "compagnie". Je fulminais. -Elle a fouillé plusieurs fois mon sac ce qui était insultant parce qu'elle me traitait ainsi implicitement de voleuse et le pire c'est qu'elle le faisait seulement avec moi. J'ai eu envie plusieurs fois de la poignarder. C'est du communautaire, on est un organisme de charité osti... On est pas dans un camp de concentration. *rage* 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Border 22 janvier 2017 Partager 22 janvier 2017 Je suis seul a mon studio donc l'ambiance es selon mon humeur. Ce qui à ces avantage comme inconvénient. Regarder la peinture sécher dans les coins ça me fait me demander que je pense me trouver des collègues juste pour avoir un peu de drama... not. Quoique j'ai une apprentie depuis quelques temps. Une petite padawan ,Ça va bien, on discute pas mal. mais la différence d'age me cogne dans le windshield par boutte ( moi: 38 elle:19) On parle tattoo et maladie mental, c'est nice mais bon. J'ai déjà travailler dans un resto où, sur 25 employer nous étions 3 hétéro... sorry pour les préjugés mais j’étais gaté en sale. Ce genre de mood là me manque pas pantoute. Je finissais par angoisser quand je voyais l'horaire parfois. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ecce Homo 24 janvier 2017 Auteur Partager 24 janvier 2017 quelqu'un se plaignait que je ne créais aucun sujet, alors voilà, j'en crée un. comme le travail est une composante très (trop) importante de ma vie et que le sujet est susceptible de rejoindre plusieurs personnes, j'étais curieuse de connaître vos expérience (pourquoi je dois justifier la création de sujets anyway ?) . pour ma part, il n'y a rien à mon travail qui ressemble à ce que Chicken ou sXe ont vécu. la difficulté repose surtout sur la gestion quotidienne du stress. comme les attentes de part et d'autre sont assez élevées, on sent que les gens vivent et gèrent leur stress différemment. comme j'oeuvre dans un milieu très encadré où les procédures sont nombreuses et rigoureuses, c'est à ce niveau où les mésententes entre collègues (notamment par rapport à comment les dossiers doivent être gérés) sont les plus susceptibles de survenir. globalement, je crois que l'ensemble de mes collègues, bien qu'imparfaits et orgueilleux (je suis moi-même loin de la perfection), sont plutôt compétents, sains d'esprit et bienveillants. bien que j'apprécierai une plus grande ouverture d'esprit de leur part (il faut se lever tôt pour critiquer certaines façons de faire), j'ai la chance de travailler avec des gens qui réussissent à passer l'éponge après une mésentente. j'ai l'impression que la proportion de comportements du type harcèlement psychologique et violence verbale augmente quand on oeuvre dans des milieux où les métiers non spécialisés sont légions (usines, "shop", magasins de détail, construction, etc). j'imagine que c'est là où un grand nombre d'individus troublés ou à la morale questionnable se tiennent. pour ma part, je n'accepterai jamais de travailler dans un milieu où mon supérieur ou mes collègues me parlent comme de la merde ou me font sentir comme tel ou un milieu empesté par le commérage. le pire milieu de travail que j'ai eu, c'était dans un centre d'appel à Toronto où j'ai travaillé quelques mois après le Bac. c'était plein de gens malheureux et visiblement désillusionnés de la vie. on se contentait de pointer in et out et il n'y avait pas de plaisir entre les deux. never again. 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Aradia 24 janvier 2017 Partager 24 janvier 2017 À mon travail, c'est vraiment cool. On a une belle équipe. On vit quand-même des frictions, mais ça fini pas s'arranger. Oui, parfois certaines personnes ne fitent pas vraiment dans l'équipe, mais on vit avec. Y'a le dude qui tripe sur la religion de Thor et qui est dans les soldats d'Odin. Il arrive régulièrement en retard, il fait les coins ronds. Le genre de personne que si tu lui donne pas des directives claires, ça sera au mieux mal fait, au pire pas fait du tout. Celui-là, on peut pas le blairer, mais on fait avec parce que le boss le mets pas dehors. Il est vraiment bizarre et insupportable selon moi et la plupart des filles de soir, parce que les filles de jour travaillent jamais avec mais le trouvent un peu space pareil. Il peut être sympathique parfois, mais ça fini là. Je gère la situation en lui donnant mes directives et en restant loin de lui le plus souvent possible. Quand ça roule je le vois pas, et comme quand je travaille avec ça roule toujours, ben c'est assez facile à gérer. Une fille est une ancienne employée que le boss a repris plusieurs mois plus tard. Je me méfie d'elle parce que je veux pas qu'elle finisse par me voler mes shifts (lol). Et aussi parce qu'elle est réputée pour pas balancer, mais de la façon que le système est fait, ses erreurs sont des erreurs que je vais payer si elle occupe un certain poste alors il faut se guetter. Sinon elle est plutôt agréable comme personne. Elle fait juste un shift par semaine, et elle a une autre job, donc pas trop de quoi s'inquiéter pour le moment. En plus, je travaille pas dans le poste qui est problématique par rapport à son porte donc je suis safe pour le moment. Une autre fille travaille là depuis 2-3 ans. Avant elle partait et revenait à cause de sa job de matelot et à cause de ça, j'ai eu des meilleurs shifts qu'elle, et ça la frustre, c'est sûr. On se "chicane" souvent sur des détails parce qu'elle travaille mal et bien en même temps. Elle va servir dans ma section, etc, et on m'a dit que si je la confronte pas, je vais me faire manger la laine sur le dos. Une autre à qui personne fait confiance. Même le boss m'a déjà dit qu'il lui fait pas confiance, c'est tout dire. Bref, elle a des tendances crosseuse un peu, alors il faut s'en méfier. Elle balance pas souvent et emporte les autres dans ses erreurs. La plupart du temps je m'entends bien avec mais je me méfie toujours parce que c'est quand même mon salaire qui est en jeu. Sinon, j'ai un patron extraordinaire, il sort avec une des employées de jour qui est vraiment une amour, sauf qu'elle est folle (<3). Si j'oublie personne, y'a 7 barmaids de jour, 7 barmaids de soir, 1 busboy, 1 gérant, 1 directeur, 1 comptable, 2 DJs et je peux dire que je m'entends super bien avec tout le monde, sauf les personne mentionnées ci-haut. On a une super belle complicité, et pour vrai je me sens chanceuse d'avoir une si belle ambiance de travail dans ce milieu qui est parfois ingrat et difficile. Pas l'intention de partir avant la fin de mes études. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Milie Vanilli 25 janvier 2017 Partager 25 janvier 2017 De mon côté, je passe par toutes sortes d'émotions face à mon milieu de travail. Sans donner trop de détails, je travaille pour une entreprise privée qui a beaucoup d'employés. J'ai un travail de bureau style 9 à 5, qui demande beaucoup d'habiletés au niveau relationnel ( ce n'est pas directement lié au service social que j'ai étudié mais c'est plutôt important de connaître les maladies mentales et avoir des pistes d'interventions, on travaille au téléphone avec des clients vulnérables). Nous sommes environ 70 juste sur mon département, principalement des femmes. J'adore mon boulot, c'est valorisant et je sens qu'on apprécie vraiment mon travail, j'ai des possibilités d'avancement intéressantes à moyen terme et de très bonnes conditions de travail. Les journées passent vite mais je réussis à décrocher le soir pour avoir une belle qualité de vie, sans aucun stress ou presque. Les filles/femmes/madames avec qui je travaille sont super gentilles avec moi. Je m'entends bien avec tout le monde, je me sens très appréciée, les gens rient de mes blagues, s'intéressent à ma vie, j'ai une belle collaboration avec eux pour des dossiers communs. Ma boss est à l'écoute et sollicite souvent mon opinion professionnelle, etc... J'ai même parfois des muffins ou du chocolat sur mon bureau de mes collègues haha! MAIS...... C'est difficile d'avoir une conversation qui sort du "small talk" superficiel ( en même temps, on peut pas toujours jaser deep au bureau, je comprends ça). Les gens ont beaucoup beaucoup, BEAUCOUP de préjugés envers tout ce qui existe ( gauchissss, péquisssses, artisssss pis toute) et adorent le crier haut et fort toute la journée. Ça parle beaucoup du fait qu'ils/elles paient des taxes... Bref, la mentalité qu'on associe à Québec. Je n'ai aucun problème avec les opinions différentes des miennes, mais c'est le ton toujours fâché et blasé qui m'énerve. J'entends aussi beaucoup de propos racistes, sexistes, homophobes, islamophobes ( mais ils disent TAMOULS) , anti-trans, anti-vélos, anti-transport en commun, anti-féministe. Vous savez, le FAMEUX " Moi, j'suis vraiment pas raciste, MAIS les ostis de *****, pas capable!". Je les remets souvent à leur place pour ça. Genre : " ah ouin, Sylvie, c'Est quoi être raciste, d'abord?" . Mais ça passe généralement bien, avec humour. J'ai plusieurs collègues qui font, ça, mais y'en a une près de mon bureau (c'est à aire ouverte) qui chiale vraiment sur TOUT, du matin au soir. Je dois tellement lui taper sur les nerfs avec ma joie de vivre haha! Elle vient toujours me déranger pour se plaindre de d'autres collègues ( sans jamais lui refléter directement ses insatisfactions alors que je l'ai super bien conseillée sur la manière de le faire pour régler les affaires), chialer sur la garderie de sa fille, la prof de son fils, la météo, le courriel de la secrétaire pour nous aviser de déposer un document ailleurs, sur Trudeau, sur le gars en avant d'elle sur l'autoroute, sur les cyclistes, blablabla. C'est lourd. Au début, y'a 4 ans, les gens me faisaient chier parce que tous mes lunchs sont vegan, j'ai eu droit à des commentaires vraiment caves. Avec le temps, elles me posent beaucoup plus de questions et me demandent des recettes mais ça a été vraiment plate à endurer. Mais aujourd'hui, je sens une belle ouverture de leur part pour ça et le fait que je ne veux pas d'enfants, etc. Bref, j'aime vraiment ma job. La clientèle au téléphone est pas mal agréable en général. Au niveau personnel, j'apprécie mes collègues mais je suis souvent en tabarnak quand j'entends de la marde. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skankerboy 28 janvier 2017 Partager 28 janvier 2017 Ça fait 3-4 ans que je travaille dans l'affichage et l'impression grand format. Je travaille en se moment pour une petite compagnie avec des grandes aspiration. C'est un environnement très stimulant et remplis de défi, donner vie au projet des gens est vraiment cool. On est une petite équipe (moins de 10 personnes), mais c'est vraiment l'fun. Notre nouvelle environnement de travail: 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Иди и смотри 28 janvier 2017 Partager 28 janvier 2017 Le 2017-01-24 à 14:49, Aradia a dit : À mon travail, c'est vraiment cool. On a une belle équipe. On vit quand-même des frictions, mais ça fini pas s'arranger. Oui, parfois certaines personnes ne fitent pas vraiment dans l'équipe, mais on vit avec. Y'a le dude qui tripe sur la religion de Thor et qui est dans les soldats d'Odin. Il arrive régulièrement en retard, il fait les coins ronds. Le genre de personne que si tu lui donne pas des directives claires, ça sera au mieux mal fait, au pire pas fait du tout. Celui-là, on peut pas le blairer, mais on fait avec parce que le boss le mets pas dehors. Il est vraiment bizarre et insupportable selon moi et la plupart des filles de soir, parce que les filles de jour travaillent jamais avec mais le trouvent un peu space pareil. Il peut être sympathique parfois, mais ça fini là. Je gère la situation en lui donnant mes directives et en restant loin de lui le plus souvent possible. Quand ça roule je le vois pas, et comme quand je travaille avec ça roule toujours, ben c'est assez facile à gérer. Une fille est une ancienne employée que le boss a repris plusieurs mois plus tard. Je me méfie d'elle parce que je veux pas qu'elle finisse par me voler mes shifts (lol). Et aussi parce qu'elle est réputée pour pas balancer, mais de la façon que le système est fait, ses erreurs sont des erreurs que je vais payer si elle occupe un certain poste alors il faut se guetter. Sinon elle est plutôt agréable comme personne. Elle fait juste un shift par semaine, et elle a une autre job, donc pas trop de quoi s'inquiéter pour le moment. En plus, je travaille pas dans le poste qui est problématique par rapport à son porte donc je suis safe pour le moment. Une autre fille travaille là depuis 2-3 ans. Avant elle partait et revenait à cause de sa job de matelot et à cause de ça, j'ai eu des meilleurs shifts qu'elle, et ça la frustre, c'est sûr. On se "chicane" souvent sur des détails parce qu'elle travaille mal et bien en même temps. Elle va servir dans ma section, etc, et on m'a dit que si je la confronte pas, je vais me faire manger la laine sur le dos. Une autre à qui personne fait confiance. Même le boss m'a déjà dit qu'il lui fait pas confiance, c'est tout dire. Bref, elle a des tendances crosseuse un peu, alors il faut s'en méfier. Elle balance pas souvent et emporte les autres dans ses erreurs. La plupart du temps je m'entends bien avec mais je me méfie toujours parce que c'est quand même mon salaire qui est en jeu. Sinon, j'ai un patron extraordinaire, il sort avec une des employées de jour qui est vraiment une amour, sauf qu'elle est folle (<3). Si j'oublie personne, y'a 7 barmaids de jour, 7 barmaids de soir, 1 busboy, 1 gérant, 1 directeur, 1 comptable, 2 DJs et je peux dire que je m'entends super bien avec tout le monde, sauf les personne mentionnées ci-haut. On a une super belle complicité, et pour vrai je me sens chanceuse d'avoir une si belle ambiance de travail dans ce milieu qui est parfois ingrat et difficile. Pas l'intention de partir avant la fin de mes études. Tellement cool que t'arrives à spotter au moins 4 personnes pour les blasteré WTF. du monde que tu ne trust pas .... un gars d'extreme droite. Un boss qui sort avec le staff. Calisse de belle equipe gagnante. Le 2017-01-24 à 11:47, Ecce Homo a dit : quelqu'un se plaignait que je ne créais aucun sujet, alors voilà, j'en crée un. comme le travail est une composante très (trop) importante de ma vie et que le sujet est susceptible de rejoindre plusieurs personnes, j'étais curieuse de connaître vos expérience (pourquoi je dois justifier la création de sujets anyway ?) . pour ma part, il n'y a rien à mon travail qui ressemble à ce que Chicken ou sXe ont vécu. la difficulté repose surtout sur la gestion quotidienne du stress. comme les attentes de part et d'autre sont assez élevées, on sent que les gens vivent et gèrent leur stress différemment. comme j'oeuvre dans un milieu très encadré où les procédures sont nombreuses et rigoureuses, c'est à ce niveau où les mésententes entre collègues (notamment par rapport à comment les dossiers doivent être gérés) sont les plus susceptibles de survenir. globalement, je crois que l'ensemble de mes collègues, bien qu'imparfaits et orgueilleux (je suis moi-même loin de la perfection), sont plutôt compétents, sains d'esprit et bienveillants. bien que j'apprécierai une plus grande ouverture d'esprit de leur part (il faut se lever tôt pour critiquer certaines façons de faire), j'ai la chance de travailler avec des gens qui réussissent à passer l'éponge après une mésentente. j'ai l'impression que la proportion de comportements du type harcèlement psychologique et violence verbale augmente quand on oeuvre dans des milieux où les métiers non spécialisés sont légions (usines, "shop", magasins de détail, construction, etc). j'imagine que c'est là où un grand nombre d'individus troublés ou à la morale questionnable se tiennent. pour ma part, je n'accepterai jamais de travailler dans un milieu où mon supérieur ou mes collègues me parlent comme de la merde ou me font sentir comme tel ou un milieu empesté par le commérage. le pire milieu de travail que j'ai eu, c'était dans un centre d'appel à Toronto où j'ai travaillé quelques mois après le Bac. c'était plein de gens malheureux et visiblement désillusionnés de la vie. on se contentait de pointer in et out et il n'y avait pas de plaisir entre les deux. never again. Ouin... Je comprend l'idée. Je loue ma chambre à 480 pour pas etre pris avec un BS qui ne sait pas vivre. Mais le fait est que je travaille dans un des cadres ''non specialisé'' un restaurant. Reste que je suis avec du beau monde. Plus beau que moi en fait. Parfois ca me rend fou à quel point je sens que j'ai pas rapport dans tout ce monde chouette. Je me demande s'ils savent que je suis pas comme eux.... Pas de projets en dehors de la job a part finir mon restant de poulet froid et boire minimalement 2 litres de bieres. J'ai souvent l'impression de mentir a tout le monde. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
groslent 29 janvier 2017 Partager 29 janvier 2017 Il y a 5 heures, ƒ Ǿ ǖ ℓ Д ® ↁ a dit : Tellement cool que t'arrives à spotter au moins 4 personnes pour les blasteré WTF. du monde que tu ne trust pas .... un gars d'extreme droite. Un boss qui sort avec le staff. Calisse de belle equipe gagnante. Ouin... Je comprend l'idée. Je loue ma chambre à 480 pour pas etre pris avec un BS qui ne sait pas vivre. Mais le fait est que je travaille dans un des cadres ''non specialisé'' un restaurant. Reste que je suis avec du beau monde. Plus beau que moi en fait. Parfois ca me rend fou à quel point je sens que j'ai pas rapport dans tout ce monde chouette. Je me demande s'ils savent que je suis pas comme eux.... Pas de projets en dehors de la job a part finir mon restant de poulet froid et boire minimalement 2 litres de bieres. J'ai souvent l'impression de mentir a tout le monde. En fait, tu caches à tout le monde ta supériorité. Ce sont eux qui ont encore l'innocence de croire en des projets. Toi t'as tout compris, t'as abandonné les illusions. Encore mieux, tu as l'humilité de vouloir dissimuler toute ta richesse. Eux autres aussi ont des vies toutes croches. Eux aussi ils le cachent. Pendant que tu te soûles, une personne chouette que tu côtoie est entrain d'engouffrer des doubles cheese et de boire du vin en carton en se demandant s'ils va pouvoir dissimuler encore longtemps son imposture. Y'en a un autre qui saigne du nez à force de sniffer d'la coke sur le cul d'une vieille sale sèche. Y'en a un qui est entrain de chier une diarrhée liquide dans une toilette qui déborde de pus. Bon, peut-être pas non plus, mais faut bien délirer un peu, rire des autres et de soi-même c'est sain. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Aradia 29 janvier 2017 Partager 29 janvier 2017 Il y a 19 heures, ƒ Ǿ ǖ ℓ Д ® ↁ a dit : Tellement cool que t'arrives à spotter au moins 4 personnes pour les blasteré WTF. du monde que tu ne trust pas .... un gars d'extreme droite. Un boss qui sort avec le staff. Calisse de belle equipe gagnante. Ouin... Je comprend l'idée. Je loue ma chambre à 480 pour pas etre pris avec un BS qui ne sait pas vivre. Mais le fait est que je travaille dans un des cadres ''non specialisé'' un restaurant. Reste que je suis avec du beau monde. Plus beau que moi en fait. Parfois ca me rend fou à quel point je sens que j'ai pas rapport dans tout ce monde chouette. Je me demande s'ils savent que je suis pas comme eux.... Pas de projets en dehors de la job a part finir mon restant de poulet froid et boire minimalement 2 litres de bieres. J'ai souvent l'impression de mentir a tout le monde. Arrête. 3 personnes sur presque 20 c'est rien, lol. Tu remarqueras que j'ai blasté personne, j'ai juste dit les points négatifs et les positifs. Pis folle dans le cas présent, c'est des mots d'amour, pis que le boss sa blonde soit une employée, ça me dérange pas une crisse de seconde, ça a même pas rapport. Whatever. Je travaille dans un bar. Les pas fiables y sont généralement légion alors potentiellement 2 sur 14, je me sens choyée. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Insomniaque 30 janvier 2017 Partager 30 janvier 2017 Ça fait maintenant 1 an que je suis à Québec. Nouvelle ville, nouvel emploi. J'en suis déjà à mon second employeur. Mes collègues sont bien sympathiques, mais pas mal vanille. Les gens sont moins extravertis ici, du moins en discutions. Les plus "marginaux" au regard sont certainement les moins vocaux. Sinon tout le monde est respectueux. Mais je dois tout même préciser que ce côté respectueux ne rapproche pas les âmes : il y a une grande distance entre moi et mes collègues. Je suis celui qui dois foncer pour faire des liens. C'est nouveau pour moi, à Montréal tout le monde me semble plus propice à jaser, partager, rigoler. Je m'y fais, mais ça me rend inconfortable. M'enfin, cette différence est en quelque sorte rafraichissante, elle me pousse à me remettre en question. Et je me rends compte que je suis un peu professionnellement coincé à mon travail : ma spécialité n'est pas si courante à Québec, tout le monde qui y boss semblent se connaitre. Avoir une grande yeule comme moi, c'est contre-productif : trop en dire, c'est maintenant possible. C'est limité. Ça explique peut-être les personnalités plus secrètes de mes collègues. De plus, il y a aussi beaucoup de cynisme et je me rends compte que je commence à être contaminé. D'un autre côté, ayant beaucoup plus d'énergie que mes collègues, je tends à recevoir les tâches les plus complexes et portant des enjeux majeurs. Je me sens parfois pas assez compétent pour de telles charges. Considérant que les gardes-fous de technocratiques ne font pas leur job, j'ai parfois peur de ce que je fais. Je me fais de la formation à mes frais, ce qui me coute des milliers, juste pour acquérir des connaissances qui vont me réconforter. Ceci m'amène des stress considérables. Je pense fréquemment retourner à Montréal, où je me sentirais moins limité dans mes options. TLDR : L'ambiance est ben plate, ben plastique et ça me stress. Pis too bad les fautes, il est tard. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Abereau 2 février 2017 Partager 2 février 2017 Es-tu encore imsomniaque avec tout ça? C'est une vraie question. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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