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Concernant Trump


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"J'ai participé à ma première manifestation antifasciste à l'adolescence, à la fin des années 70 ou peut-être au tout début des années 80. (...) Bien que le fascisme semblait à la hausse à ce moment-là, l'extrême-droite britannique était sur le point de décliner fortement. La culture des jeunes devenait de plus en plus métissée, en grande partie grâce à la musique. Les styles musicaux de la Grande-Bretagne urbaine des années 1970 - le punk rock blanc et le reggae noir - fusionnaient dans des styles typiquement britanniques de reggae et de ska, personnifiés par des groupes mixtes comme UB40 et The Specials. Des festivals antiracistes gratuits et de grande envergure ont eu lieu sous la bannière Rock Against Racism, dans le but d'apaiser les tensions dans les communautés mélangées d’une classe ouvrière qui avait subi le poids de l'immigration de masse en provenance des Antilles. Trois décennies après l'arrivée du premier grand navire, l'Empire Windrush, et deux décennies après les émeutes raciales de l'ouest londonien qui ont conduit à la fondation du carnaval de Notting Hill, les jeunes noirs et blancs de Londres commençaient enfin à se rapprocher les uns des autres.


La stratégie de groupes comme Rock Against Racism, et des efforts ultérieurs comme Kick Racism Out of Football, consistaient à vider l'extrême droite de tout soutien en s'impliquant aussi auprès des jeunes de la classe ouvrière blanche qui étaient confrontés à beaucoup des mêmes problèmes que les jeunes noirs et asiatiques : chômage, logements médiocres et manque d'opportunités. Il était entendu que le fascisme grandit au sein de communautés divisées et que la solution était de fédérer les gens. Bien que nous étions, dans le mouvement antifasciste, prêts à utiliser un certain niveau de force pour empêcher l'extrême-droite de manifester dans les zones multiraciales, nous éprouvions aussi de l'empathie envers les problèmes rencontrés par les jeunes blancs qui pouvaient être attirés par cette extrême-droite. Comme me l’a exprimé un homme noir dans la cinquantaine, enfant de la «génération Windrush» : nous ne devons pas sous-estimer l’effet traumatisant de l’immigration de masse pour les communautés préexistantes. Certaines communautés britanniques pauvres (dont beaucoup étaient déjà bien mélangées) ont dû faire face à un vaste et rapide changement social en très peu de temps. Imputer systématiquement au «racisme» tous les problèmes en résultant revient à mal appréhender la nature de la situation. Il était donc pertinent que l'activité antifasciste se concentre sur les liens entre des communautés en difficulté. (...)
Puis au cours des dernières années, le mouvement antifasciste a refait surface sous le nom d'Antifa. J'avais vu ce mot tagué sur des murs en Italie dans les années 1990. Cette abréviation de «antifasciste» peut fonctionner en italien mais apparaît maladroit en anglais. Ce nouveau groupement, tout en empruntant une partie du langage antiraciste et antifasciste de l'ancien mouvement, était fondamentalement différent en pratique. Au cours des 30 dernières années, la gauche s'était embourgeoisée. L'ancien mouvement, ancré dans les lieux de travail et les bidonvilles, comprenait les problèmes qui provoquaient des tensions raciales. Mais Antifa avait été incubé dans la nouvelle gauche, majoritairement blanche, majoritairement bourgeoise, issue des cendres de l'ancien mouvement travailliste. Cette nouvelle gauche post-progressiste ne comprenant pas la vieille politique unificatrice de classe, elle est devenue obsédée par la race et le sexe. Pour eux, le racisme n’était plus quelque chose de concret qui entraîne des tensions et des violences communautaires. Ils croyaient au «racisme systémique», une sorte de brouillard magique qui flotte dans l'air et «opprime les gens de couleur» à chaque seconde de chaque jour. En l'absence de toute violence raciale grave (aux États-Unis ou en Grande-Bretagne), les nouveaux antiracistes ont désespérément cherché de nouveaux exemples de «racisme» à attaquer.
Ce nouvel antiracisme n'est pas seulement différent de l'ancien antiracisme. Il est fondamentalement raciste. Là où nous avons cherché à nous unir, ils cherchent à séparer. Là où nous nous sommes efforcés de dépasser la division raciale, ils ont délibérément divisé les personnes par race. Là où nous recherchions avant tout l'unité, ils insistent sur le fait que le monde est divisé en «blancs», oppresseurs, et «personnes de couleur» victimes. La nouvelle gauche antiraciste se considère comme le sauveur des bruns opprimés, même si ceux-ci ne veulent pas être sauvés. Antifa a rencontré des problèmes similaires. Ils semblent manquer d'une compréhension de base de ce qu'est le fascisme, et de comment le combattre. Ce qui leur manque dans l'analyse, ils le compensent par la volonté de frapper des gens et de verrouiller le débat. Selon leur raisonnement simpliste, le fascisme est vraiment mauvais ; la violence est donc justifiée contre le fascisme ; et donc s'ils décident de qualifier quelqu'un de fasciste, alors ils ont le droit moral d'attaquer cette personne. Il ne leur vient pas à l’esprit que la réduction au silence du débat politique est le fondement d’un véritable comportement fasciste, ou que leurs violentes attaques contre la liberté d’expression justifient le même comportement de la part de l’extrême droite. (…)


Fait intéressant, Antifa ignore la montée actuelle du nationalisme raciste noir. Lorsque Louis Farrakhan de la Nation of Islam a récemment qualifié les Juifs de «termites», il n'y a eu aucune manifestation antifa à l'extérieur des temples de NoI. Le NoI est sans aucun doute une organisation raciste et Farrakhan est parmi les voix racistes les plus influentes aux États-Unis. Mais dans le monde de la politique identitaire, les Noirs doivent être considérés comme des victimes incapables de prendre leurs propres décisions, plutôt que comme des individus autonomes. Cela révèle la vision raciste du monde de la gauche antifasciste, qui considère les «personnes de couleur» non pas comme des égales, mais comme des victimes opprimées qui ont besoin d'un sauveur blanc. De la sorte, la gauche antiraciste commence à ressembler aux suprémacistes blancs de l'époque coloniale."

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"Le concept de « privilège blanc » a été popularisé par Peggy McIntosh grâce à son article publié en 1989 à Harvard et intitulé « Le privilège blanc : déballer le paquetage invisible ». Le texte se présente comme une chronique personnelle et empirique détaillant les vingt-six fois où sa couleur de peau semble lui avoir ouvert des portes dans la vie. Extraordinairement influent, le document est responsable de la prolifération d'une théorie du privilège et de son application à la lettre dans divers mouvements sociaux et autres salles de cours universitaires. (…)
 
Peggy McIntosh est donc issue de l'élite aristocratique américaine, et n'en a jamais quitté le confort douillet. Lorsqu'elle liste les bénéfices empiriques de sa couleur de peau, elle confond tout simplement le privilège racial avec les avantages financiers dont elle a eu la chance de jouir depuis la naissance. (...)
 
 
Depuis dix ans, ce dogme est sorti avec fracas des couloirs universitaires pour rejoindre le débat public dominant. Et on ne cesse de nous rappeler que remettre cette notion d'une manière ou d'une autre en question est fondamentalement et intrinsèquement raciste."
 
Certains progressistes américains parlent de « privilège blanc » pour expliquer les inégalités ethniques. Le concept, cependant, souffre de biais fondamentaux.
 
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Je me demande.

Existe-t-il un seul pays sur terre qui soit absolument inclusif et ouvert, où un immigrant ne parlant pas la langue courante et se refusant de l'apprendre peut aspirer à vivre la même vie que ceux qui en sont natifs? Je peux être « privilégié » ici, mais je ne m'attendrais pas à l'être au Japon ou en Inde, et ne m'offenserais pas d'y voir une majorité écrasante de japonais ou d'indiens dans les commerces comme à la télé. Nos privilèges sont bien relatifs en réalité.

Tout comme je ne trouverais pas « raciste » l'absence de blancs pouvant me représenter dans les médias locaux.

L'on semble prendre pour du « racisme systémique » ce qui n'est que plates réalités démographiques.

Je me demande juste.

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il y a 32 minutes, xdrox a dit :

Je me demande juste.

Au Japon; Si tu n'es pas né au Japon, d'un père japonais et d'une mère japonaise, tous deux nés au Japon, tu seras un gaijin (étranger) jusqu'à ta mort (ainsi que toute ta descendance) même si tu passes toute ta vie et meurt au Japon. Ils peuvent finir par t'accepter; Si tu parles, lis et écris parfaitement le japonais et adopte toutes leurs coutumes et usages pour devenir un "bon japonais". Mais, malgré tous tes efforts pour t'intégrer, tu resteras pour toujours un gaijin. Et, bien entendu; Il n'y a pas de gaijin dans la hiérarchie japonaise. Ça n'existe tout simplement pas. Le Japon est l'exemple extrême, mais ça ressemble pas mal à ça dans toute l'Asie. Appelez ça comme vous voudrez, c'est juste, comme ça that's all.

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il y a une heure, TheCrow a dit :

Au Japon; Si tu n'es pas né au Japon, d'un père japonais et d'une mère japonaise, tous deux nés au Japon, tu seras un gaijin (étranger) jusqu'à ta mort (ainsi que toute ta descendance) même si tu passes toute ta vie et meurt au Japon. Ils peuvent finir par t'accepter; Si tu parles, lis et écris parfaitement le japonais et adopte toutes leurs coutumes et usages pour devenir un "bon japonais". Mais, malgré tous tes efforts pour t'intégrer, tu resteras pour toujours un gaijin. Et, bien entendu; Il n'y a pas de gaijin dans la hiérarchie japonaise. Ça n'existe tout simplement pas. Le Japon est l'exemple extrême, mais ça ressemble pas mal à ça dans toute l'Asie. Appelez ça comme vous voudrez, c'est juste, comme ça that's all.

Le Japon est en effet un TRÈS BEL exemple de racisme systémique ;)

La différence entre ici et là-bas, c'est que c'est assez upfront comme position. Ceci dit, la société japonaise est somme toute assez homogène. Les minorités n'ont pas de poids démographique. Et bon, ce n'est pas parce que c'est pire ailleurs qu'il faut se conforter là-dedans. Trudeau avait un bon point cette semaine en disant qu'il ne fallait pas juger les États-Unis, mais plutôt se concentrer sur ce que NOUS pouvons faire de mieux (on s'entend que le racisme au Canada et le racisme aux États-Unis, c'est deux mondes).

Aux États-Unis, tout dépendant des États, ça peut être TRÈS diversifié (https://en.wikipedia.org/wiki/Demographics_of_the_United_States#Race_and_ethnicity). La population blanche représente 73% et est en constant déclin. Les États-Unis, comme le Canada, sont des terres d'immigration. De plus, les fondements de ces pays réposent sur des notions d'équalité et de liberté... pour tous! Bref, contrairement au Japon, nos sociétés se veulent inclusives de par leurs constitutions. 

Or, dans les faits, ça ne se passe pas toujours comme ça. Est-ce que les gens sont fondamentalement racistes ou même racistes volontairement? Dans la plupart des cas, non. Il y a cependant plusieurs comportements pernicieux que nous adoptons malheureusement tous à un moment ou à un autre. C'est ça le racisme systémique. Ce n'est pas un système volontairement érigé pour mettre les minorités sous la botte des blancs - on n'est pas dans l'Allemagne nazie. Ce sont une série de comportements racistes que nous adoptons souvent sans nous en rendre compte - on est tous coupables de cela. Lorsque ces comportements sont adoptés par des employeurs, des policiers, des professeurs, c'est là que l'on voit des injustices. C'est la somme de ces mauvais réflexes qui créent un climat dangereux.

T'sais, le sentiment d'appartenance est un besoin humain. Alors, on se tient en "clan". Ces clans sont tout d'abord ta famille, ton quartier, ton village, ta province, ton pays, etc. Bref, les gens qui te "ressemblent" et avec qui tu as de quoi en commun. On va naturellement plus vers les gens qui nous ressemblent, c'est plus sécurisant. Il est donc facile de tomber dans les amalgames et les préjugés lorsque confronté à d'autres réalités culturelles (et oui, ça va des deux bords, beaucoup de minorités ont des préjugés sur la majorité). 

Bref, c'est un fait social complexe et déconstruire les vieux réflexes, ça prend du temps et beaucoup d'efforts. Ce n'est pas demain la veille qu'on va sortir de ce "système". C'est moins pire aujourd'hui que ce l'était il y a 40 ans et il faut continuer le combat pour que ça continue de s'améliorer. Il n'y a pas de recette miracle, c'est juste ça que c'est. Les événements des dernières semaines ne sont qu'une autre étape et une autre preuve comme quoi c'est encore d'actualité. 

On peut voir ça pour ce que c'est ou on peut virer paranoaïque et imaginer des hordes de minorités qui veulent TELLEMENT annihiler l'homme blanc et détruire "notre" culture. Le "us vs them", des deux côtés, est une grosse partie du problème. 

T'sais, l'ennemi d'autrefois, c'était l'immigrant italian, portuguais ou irlandais. Puis ça a été les gens d'Europe de l'est. Puis les Arabes, etc. Dès qu'un nouveau groupe intègre un endroit, il y a des tensions, on se braque contre lui, etc. Ils finissent par s'intégrer et passer inaperçu, pour la plupart. L'histoire des Noirs américains est juste beaucoup plus complexe. Et bon, tous les groupes nommés sont blancs, plus faciles d'oublier la différence après deux générations... pourtant, au début du XXe siècle, les maudits irlandais catholiques... ils vont tellement scraper nos beaux US of A!

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Il y a 15 heures, Nostradaw00t a dit :

Si vous n'êtes pas d'accord avec elle, c'est que vous êtes surement raciste, sexiste et misogyne, fermé vos yeule et écoutez cette femme de couleur. C'est votre façon de penser, donc soyez cohérent avec vous même : Une femme noire = la vérité incarnée.

[VIdéo de Candace Owens]

La meilleure façon de faire du gros cash quand t'es une femme ou une minorité c'est de vendre ton âme à la droite pour faire du identity politics crissement scripté sur des shows TV/Web de droite. Si c'est pas une gimmick, c'est un problème grave de QI son affaire.

 

Ah et regarde les caves applaudir parce qu'elle confirme ce qu'ils pensent pi elle est noire, ça doit donc être vrai, enfin une source crédible!

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il y a 18 minutes, Lokimor a dit :

La meilleure façon de faire du gros cash quand t'es une femme ou une minorité c'est de vendre ton âme à la droite pour faire du identity politics crissement scripté sur des shows TV/Web de droite. Si c'est pas une gimmick, c'est un problème grave de QI son affaire.

 

Ah et regarde les caves applaudir parce qu'elle confirme ce qu'ils pensent pi elle est noire, ça doit donc être vrai, enfin une source crédible!

Tu est raciste sexiste et misogyne, c'est une femme de couleur tu dois l'écouter peut importe ce qu'elle dit.

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il y a 3 minutes, Nostradaw00t a dit :

Tu est raciste sexiste et misogyne, c'est une femme de couleur tu dois l'écouter peut importe ce qu'elle dit.

S'cuse, on est tu encore en 2016 quand les SJW c'était un sujet chaud?

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il y a 6 minutes, Nostradaw00t a dit :

Tu est raciste sexiste et misogyne, c'est une femme de couleur tu dois l'écouter peut importe ce qu'elle dit.

Said no one ever.

À part le monde comme toi qui font des sophismes.

Mais c'est beau on a compris que c'est trop complexe pour toi et que tu comprends pas. Tu peux recommencer à parler de porn et de baby métal, c'est plus à ta portée.

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il y a 39 minutes, Aradia a dit :

Said no one ever.

À part le monde comme toi qui font des sophismes.

Mais c'est beau on a compris que c'est trop complexe pour toi et que tu comprends pas. Tu peux recommencer à parler de porn et de baby métal, c'est plus à ta portée.

Je crois qu'il devrait se contenter d'essayer d'écrire son nom en lettres attachées. C'pas mal ça son niveau d'éducation...

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Il y a 8 heures, MattIsGoD a dit :

Bref, c'est un fait social complexe et déconstruire les vieux réflexes, ça prend du temps et beaucoup d'efforts. Ce n'est pas demain la veille qu'on va sortir de ce "système". C'est moins pire aujourd'hui que ce l'était il y a 40 ans et il faut continuer le combat pour que ça continue de s'améliorer. Il n'y a pas de recette miracle, c'est juste ça que c'est. Les événements des dernières semaines ne sont qu'une autre étape et une autre preuve comme quoi c'est encore d'actualité. 

Pourquoi absolument déconstruire,  pourquoi mener le «combat» contre nous-même et notre propre société, pourquoi vouloir absolument tout détruire pour vouloir «sortir de systeme» ? Pour laisser la place à quoi??

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Pourquoi tu t'opposes si t'as jamais compris ou cherché à comprendre les motivation de la gauche progressiste ? 

Définitivement, le temps que tu passes à t'informer et débattre sur internet est inversement proportionnel aux enseignements que tu en retires.

Le problème c'est pas que tu sois conservateur ou de droite, c'est que t'as aucune notion conceptuelle et tu comprends rien de ce qu'on te dis depuis 10 ans. Ton Jeff Plante bandé sur Trump a au moins l'air de maîtriser la base pour entretenir un dialogue qui dépasse la vulgaire citation anecdotique.

T'es pas de taille, inscris toi à l'université au lieu de basher dessus.

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il y a 6 minutes, Ecce Homo a dit :

Pourquoi tu t'opposes si t'as jamais compris ou cherché à comprendre les motivation de la gauche progressiste ? 

Je comprend tres bien les motivations et les idées qui se cachent derrière la gauche progressiste.

il y a 7 minutes, Ecce Homo a dit :

Définitivement, le temps que tu passes à t'informer et débattre sur internet est inversement proportionnel aux enseignements que tu en tires.

Tu vois il est ici le problème ce n'est pas parce que je n'adhere pas à une idéologie ou une philosophie que je suis plus «mal» que toi ou mois renseigné. Il est possible  que mes valeurs et ma perception du réel soit différent de la tienne.

 

il y a 10 minutes, Ecce Homo a dit :

Le problème c'est pas que tu sois conservateur ou de droite, c'est que t'as aucune notion conceptuelle et tu comprends rien de ce qu'on te dis depuis 10 ans.

Ce n'est pas parce que je n'adehere pas que je ne comprend pas. Je comprend tres bien votre vision de la vie. je sais que'elles sont vos rêves et vos espoirs, mais je n'y adhère tout simplement pas. Je n'ai pas une vision deconstructiviste du monde.

 

il y a 12 minutes, Ecce Homo a dit :

T'es pas de taille, inscris toi à l'université au lieu de basher dessus.

À en voir le résulta avec toi et certaines personnes ici, je ne suis pas certain que c'est une bonne chose.

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Tu dis comprendre, mais à chaque fois où tu essaies de l'expliquer, tu tombes dans les amalgames réducteurs et tu fesses à 100 pieds à côté de la track.

Il est clair que tu n'y comprends rien. Mais c'est ok, on est habitué.

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il y a 8 minutes, Nostradaw00t a dit :

Je comprend tres bien les motivations et les idées qui se cachent derrière la gauche progressiste.

Décris donc ces motivations et idées parce que tu as posé la question tantôt comme si t'avais aucune idée de quoi il s'agit.

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Le problème majeur est que je viens tanné d'écrire des pavés pour me faire répondre en un ligne que je suis cave et que je n'ai rien compris..sans aucune explication.  Meme si j'écrivais un long texte de 6000 mots bien construit et structuré sur les idées du progressisme et de la gauche moderne, on me répondrait que je suis un cave qui n'a rien compris.. comme les longs textes que j'ai écrit dans cette discussion. Donc je vais continuer a écrire des one liner pas rapport, c'est mieux que de perde mon temps avec des gens qui préfèrent vivre seul au sommet. 

Je représente l'ouvrier de classe moyenne que vous voulez défendre en passant, et c'est pour cette  raison que la gauche est rendu bourgeoise. Elle défendait l’ouvrier jusqu'au jours ou la gauche a la QS s'est  aperçu que la grande majorité des ouvrier sont de droite conservatrice et  capitaliste aiment les pick up, et ils veulent un bungalow avec un piscine et regarder netflix. L'ouvrier moyen ne veut pas vivre dans un hlm multi-ethnique avec l'omniprésence de l'état qui sert de nouveau clergé.

 

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Ben c'est ça, continue de te complaire dans la médiocrité. Avec un niveau pareil, tu n'arriveras jamais à te faire respecter dans les 18 tribunes que tu fréquentes, je suis sûre que tu vis une médisance semblable au sein de ta petite clique conservatrice. Tu comprends même pas les idées de ton propre camp, esti. En passant, même ton Jeff Plante s'est offert une éducation, c'est pas comme si ça n'existait pas des domaines du savoir où pullulent les petits droitistes: économie, gestion, sciences pures. Fais toi donc plaisir en 2020. c'est pas parce que ton portefeuille est vide que ta rhétorique doit mourir de faim.

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il y a une heure, Ecce Homo a dit :

Ben c'est ça, continue de te complaire dans la médiocrité.

Et pourquoi ça ne serait pas toi la médiocre? Et je me fait respecter par les gens avec qui je discute ne t'en fait pas.. 

 

 

il y a une heure, Ecce Homo a dit :

Tu comprends même pas les idées de ton propre camp, esti.

En quoi je ne comprend pas les idées de mon propres camps... Ostie...

 

il y a une heure, Ecce Homo a dit :

En passant, même ton Jeff Plante s'est offert une éducation, c'est pas comme si ça n'existait pas des domaines du savoir où pullulent les petits droitistes: économie, gestion, sciences pures.

Tu ne me connais même pas et tu te permet de me juger... Tu vois ici je ne juge personne sur sa personne, et sur sa supposé éducation. Je connais des gens super instruit qui sont fous raide comme AJ Fortin...Et des gens moins instruit qui ont une expérience de vie et des idées plus qu'intéressante, et je ne parle pas de ceux qui ont été a l'école de la vie...Il ya des gars comme Yann Rosdy qui sont autodidacte et qui peux torcher intellectuellement tout le monde sur le dep, mais qui ne sait même pas comment setupé un micro...

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Il y a 11 heures, MattIsGoD a dit :

Or, dans les faits, ça ne se passe pas toujours comme ça. Est-ce que les gens sont fondamentalement racistes ou même racistes volontairement? Dans la plupart des cas, non. Il y a cependant plusieurs comportements pernicieux que nous adoptons malheureusement tous à un moment ou à un autre. C'est ça le racisme systémique. Ce n'est pas un système volontairement érigé pour mettre les minorités sous la botte des blancs - on n'est pas dans l'Allemagne nazie. Ce sont une série de comportements racistes que nous adoptons souvent sans nous en rendre compte - on est tous coupables de cela. Lorsque ces comportements sont adoptés par des employeurs, des policiers, des professeurs, c'est là que l'on voit des injustices. C'est la somme de ces mauvais réflexes qui créent un climat dangereux.

Donc le monde entier, incluant tout les êtres humains de toute culture, ethnie et religion est raciste... Un moment donné c'est peut être juste un réflexe humain, instinctif et naturel, une sorte de barrière naturel qui s'est établie avec les millénaire, et ce n'est pas du racisme systémique. Peut-être que comme bein de gens de gauche tu essayes de combattre une partie de la nature humaine, ce qui est animal en nous, toi inclut.

Cette réaction vient d'un passé et d'un instinct tres lointain et qui a refait surface avec le coronavitrus, la maladie qui vient d'ailleurs. Le fait que l'humanité ne soit pas homogène  peut provoquer des catastrophes sanitaires et/ou sociale en se mélangeant trop en affaiblissant les frontières territoriales. Ainsi, le capitalisme international et le mondialisme économique vient peut être te toucher a quelque-chose d’inattendue avec le coronavirus, alors que celui-ci a démontré notre dépendance a la chine, ce que trump essaie tant bien que mal de combattre..

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