Aperçu d'un best-seller signé Drox

[xdrox]

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Modifié 26 juillet 2015 par xdrox

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J'ai bandé dur

[Latourette]

Y'a du Mailloux là-dedans.

[Aradia]

Wtf, maudite agace.

[xdrox]

Perfectionniste, éternellement insatisfait.

Il y a un timer sur l'édition de post pour le groupe des Légendaires. Passé x nombre d'heures le message devient définitif et je ne peux vivre avec l'idée de laisser une version brouillon d'un texte en perpétuelle évolution.

[RBC]

Si tu me cites je veux des royautés. Je ne rigole pas.

[Un invité de Justin]

Il revisitait le mythe d'Œdipe à sa manière. Le narrateur de l'histoire observait une vieille dame en chaise roulante accompagnée de ce qu'il déduisait être son fils et en juger par son faciès béat il avait fait sa toilette quelques heures auparavant.

Modifié 26 juillet 2015 par Rococo pas Rocco

[Lux]

Perfectionniste, éternellement insatisfait.

Il y a un timer sur l'édition de post pour le groupe des Légendaires. Passé x nombre d'heures le message devient définitif et je ne peux vivre avec l'idée de laisser une version brouillon d'un texte en perpétuelle évolution.

Je sens là poindre une influence de l'inénarrable HSW.

Après le Doc. Mailloux (qui rependra d'ailleurs l'antenne), on peut constater que tu t'inspires des plus grands.

[xdrox]

Je crois redevenir malade. Des heures ininterrompues de rédaction, correction et alteration de cet ignoble récit qui fait tout juste encore à peine deux chapitres. Des nuits écourtées. Un appétit qui se fait attendre.

La dernière fois qu'une telle fièvre m'a emporté, c'était lors de la création du forum.

Citation

Enregistrez-vous sur mon nouveau forum pour le lire!

Le lecteur sera plusieurs fois nargué par le narrateur qui se rend en fait, et on ne le devinera pas avant d'y être, à un premier rendez-vous aux soins de psychiatrie légale.

[Shell VVV-Power]

Dommage que ça sent la blague, surtout le deux chapitres qui demandent autant pour sortir du ventre de Drox.

Parce que le matériaux est là:

Des drames (et des vrai; parfois ordinaires, parfois odieux, parfois mortels).

Une platée d'humour à toute les sauces (certaines parfois moins ragoutantes que d'autres).

Une histoire riche et complexe recelant d'autres histoires sortis de la plumes de milliers d'anonymes.

Du sexe, des scandales, des magouilles. Mais aussi de la profondeur, de l'authenticité, quelque chose qui insuffle une âme à la pâte.

Le dépotoir est vivant et on est sa levure. Quand ce sera la fin, je veux un morceau.

[Chicken of the infinite]

J'aurais aimé lire.

J'arrive ici et il n'y a rien. Moi déçue.. Moi déçue.

[xdrox]

Ce n'était que le brouillon d'une idée.

[xdrox]

Tenant compte de ce qui a été rapporté par Rococo, je me sens à l'aise de partager cet extrait (obsolète dans quelques heures).

Petite mise en contexte : dans les lignes précédentes, le narrateur nous fait la méprisante description d'un étranger curieusement comblé de joie. Il présente en fait les pièces d'un puzzle que le lecteur est invité à assembler. Un peu de la même manière qu'un procureur déclamerait une à une les preuves d'un crime.

Puis :

Scusez-moi encore, je deviens un peu parano...

Autant fermer le sujet.

Modifié 5 septembre 2015 par xdrox

[xdrox]

!!! EN PRIMEUR POUR LE DÉPOTOIR !!!

La première ligne du cinquième acte.

Là-bas, sur le banc, regardez : un autre infortuné de la vie.

[Abereau]

You won't get out whit this!

[Jason Frost]

Y'avait tu un sticker du DEPOTOIR.CA sur ton banc de nomade Drox?

[xdrox]

EXTRAIT INÉDIT!

De l'acte 2.

Bon, d'accord, je dois ici l'avouer : ma condescendance à votre égard est un peu forcée.

[Alf]

iiiirrrrkkkkkk

[Lux]

Je trouve ce feuilleton plus palpitant, bien que plus parcellaire et fragmentaire, qu'OPOR et Du whisky dans la révolte.

À quand la prochaine partie Drox ?

[xdrox]

Trois mois plus tard, ce récit continue de m'envahir. J'entame l'acte 12.

Par ses situations burlesques, il se rapproche parfois du vaudeville. Les dialogues sont particulièrement colorés.

L'action se déroule en temps réel sous les yeux du lecteur. L'écriture exige d'ailleurs de tenir compte de cette réalité : vous existez dans l'environnement. En quelque sorte, l'expérience est « immersive ».

Mon plus grand défi a été de rendre attachant ce narrateur antipathique que l'on découvre vulnérable.

Mais la véritable vedette est le très excentrique « docteur » qui entreprendra de guérir sa misanthropie avant sa prochaine comparution prévue pour... le lendemain.