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SLAM : Nick Offerman VS Neil Hilborn


Déchet(s) recommandé(s)

Au début, j'ai vraiment détesté de toute mes tripes cet espècearrow-10x10.pngarrow-10x10.pngarrow-10x10.png d'énergumène qui radote une ode absurde au bacon, maintenant, je sais plus, parfois je suis capable d'en rire, il y a quand même un côté socioculturel intéressant du fait que cela puisse suscité ce genre de réaction.

C'est probablement le côté fascinant de la chose, je ne peux quand même m'empêcher de ressentir un peu d'indignation pour mes comparses slammeurs et poètes dont on peut voir la pronfondeur de la recherche à travers leurs textes, ce dont manque assurémentarrow-10x10.pngarrow-10x10.png celui de Nick Offerman.

Je sais pas si on peut comparer ça au mouvement pop art à la Andyarrow-10x10.pngarrow-10x10.pngarrow-10x10.png Warhol qu'il y a eu dansarrow-10x10.png les art visuels à l'époque mais à la sauce slam-poetry parce que le gars est quand même un comédien et les gens sont pas mal crampé à la fin du vidéo.

Disons que c'est a des années lumières des Odes Élémentaires (Odes to common things) de Pablo Neruda, dansarrow-10x10.pngarrow-10x10.png cette optique, une ode au bacon, m'aurait fort probablement paru délectable et m'aurait laissé un effet complètement différent.

Après avoir vu ça, j'ai peur qu'à cause du manque de profondeur et du côté ma foi très absurde du "message", s'il y en a un et même si le but était peut-être juste de faire rire ( je n'ai pas fait de recherche approfondie), la population en général associe les slammeurs, poètes et artistes de la scène, plus à ce type de slam/poésie.

Bref, ce dont on se moque dansarrow-10x10.png des émissions comme par exemple Parks and Recreations ou encore It's always Sunny in Philadelphia, et qu'ils aient donc une vision erroné de ce que c'est réellement. Parce que bienarrow-10x10.pngarrow-10x10.png malheureusement il semblerait qu'il ai encore certains stigmates lié à ce genre si on voit ce que la culture populaire en fait.

Pourtant il y a des bijoux, comme Neil Hilborn avec son slam sur L'OCD ( Obsessive compulsive disorderarrow-10x10.pngarrow-10x10.png), qui a été visionné des millions de fois sur youtube, qui je suppose fait aussi partie de la culture dite "populaire" désormais. Il devrait avoir une pagearrow-10x10.png et un article à lui seul sur ce site. J'ai été touché au-delà de toute compréhension humaine en l'écoutant raconter son histoire et en utilisant la force créatrice des motsarrow-10x10.png comme catharsis, pour libérer et dompter tout à la fois cette bête en lui.

Vous arrow-10x10.pngqu'en pensez-vous ?

Vidéo de Nick Offerman:

Vidéo de Neil Hilborn:

Modifié par Josie819
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Le slam est un concept qui m'echappe. Du monde qui s'ecoute parler en s'autoproclamant ''artistes'' / rappeur sans instru / rappeur sans flow.

J'ai jamais compris pourquoi on nous cassait les pieds avec Grand Corps Malade...

''Slam fourre-tout '' qui a commencé avec des rappeurs manqués sans instru et sans flow, puis des soirées poésies bobo qui se veulent punchées, et recementde plus en plus dans la drama comme avec ta deuxieme video.

J'ai rien à dire contre le dernier volet, mais arrêtons d'en faire un art ou je ne sais quoi... Du monde qui parle et se vide le coeur en chialant, ca ne merite pas qu'on appelle ca ''du slam''.

J'hais le slam.

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Au début, j'ai vraiment détesté de toute mes tripes cet espècearrow-10x10.pngarrow-10x10.pngarrow-10x10.png d'énergumène qui radote une ode absurde au bacon, maintenant, je sais plus, parfois je suis capable d'en rire, il y a quand même un côté socioculturel intéressant du fait que cela puisse suscité ce genre de réaction.

C'est probablement le côté fascinant de la chose, je ne peux quand même m'empêcher de ressentir un peu d'indignation pour mes comparses slammeurs et poètes dont on peut voir la pronfondeur de la recherche à travers leurs textes, ce dont manque assurémentarrow-10x10.pngarrow-10x10.png celui de Nick Offerman.

Je sais pas si on peut comparer ça au mouvement pop art à la Andyarrow-10x10.pngarrow-10x10.pngarrow-10x10.png Warhol qu'il y a eu dansarrow-10x10.png les art visuels à l'époque mais à la sauce slam-poetry parce que le gars est quand même un comédien et les gens sont pas mal crampé à la fin du vidéo.

Disons que c'est a des années lumières des Odes Élémentaires (Odes to common things) de Pablo Neruda, dansarrow-10x10.pngarrow-10x10.png cette optique, une ode au bacon, m'aurait fort probablement paru délectable et m'aurait laissé un effet complètement différent.

Après avoir vu ça, j'ai peur qu'à cause du manque de profondeur et du côté ma foi très absurde du "message", s'il y en a un et même si le but était peut-être juste de faire rire ( je n'ai pas fait de recherche approfondie), la population en général associe les slammeurs, poètes et artistes de la scène, plus à ce type de slam/poésie.

Bref, ce dont on se moque dansarrow-10x10.png des émissions comme par exemple Parks and Recreations ou encore It's always Sunny in Philadelphia, et qu'ils aient donc une vision erroné de ce que c'est réellement. Parce que bienarrow-10x10.pngarrow-10x10.png malheureusement il semblerait qu'il ai encore certains stigmates lié à ce genre si on voit ce que la culture populaire en fait.

Pourtant il y a des bijoux, comme Neil Hilborn avec son slam sur L'OCD ( Obsessive compulsive disorderarrow-10x10.pngarrow-10x10.png), qui a été visionné des millions de fois sur youtube, qui je suppose fait aussi partie de la culture dite "populaire" désormais. Il devrait avoir une pagearrow-10x10.png et un article à lui seul sur ce site. J'ai été touché au-delà de toute compréhension humaine en l'écoutant raconter son histoire et en utilisant la force créatrice des motsarrow-10x10.png comme catharsis, pour libérer et dompter tout à la fois cette bête en lui.

Vous arrow-10x10.pngqu'en pensez-vous ?

Vidéo de Nick Offerman:

Vidéo de Neil Hilborn:

Un autre câlisse qui me pique mes idées...

Voici ce qui jaillit de ma plume en 2009 :

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(modifié)

Le slam est un concept qui m'echappe. Du monde qui s'ecoute parler en s'autoproclamant ''artistes'' / rappeur sans instru / rappeur sans flow.

J'ai jamais compris pourquoi on nous cassait les pieds avec Grand Corps Malade...

''Slam fourre-tout '' qui a commencé avec des rappeurs manqués sans instru et sans flow, puis des soirées poésies bobo qui se veulent punchées, et recementde plus en plus dans la drama comme avec ta deuxieme video.

J'ai rien à dire contre le dernier volet, mais arrêtons d'en faire un art ou je ne sais quoi... Du monde qui parle et se vide le coeur en chialant, ca ne merite pas qu'on appelle ca ''du slam''.

J'hais le slam.

Le fait que tu déteste le slam n'aide pas vraiment ta cause, il y a du bon "slam", mais dans certains cas , je trouve que c'est juste une autre forme de poésie en fait. J'étais comme toi au début, je suis pas une grande fan, mais le mec du 2ième vidéo m'a vraiment touché. Je crois que c'est plus du "Spoken word" qu'autre chose, mais ça vaut quand même sont pesant d'or. Et pour en faire un art, je connais personnellement Guy Perrault, qui vit dans ma région et a gagné la 2ième place au championat international de slam en france , je me souviens plus quelle année exactement, mais il pourrait peut-être te faire changer d'idée sur "l'art de la chose", c'est comique, bien pensé et intelligent :

Les slammeurs ne sont pas tous des Grand corps malade, faut pas tous les mettre dans le même chapeau!

C'est une branche différente de la poésie mais une branche bien vivante néamoins.

Mais je dois dire que , comme Michel Pleau l'a dis: À notre époque, les poètes montent beaucoup sur scène et lisent sous la lumière des projecteurs. C’est une bonne chose. Mais je demeure convaincu que l’expérience la plus profonde de la poésie se vit d’abord, en solitaire et en silence, avec un livre dans les mains.

Le lecteur et le poète sont, pour moi, une seule et même personne. Je ne peux envisager le lecteur comme un spectateur qui ne serait là que pour applaudir. Par l’écriture, le poète ne fait que la moitié du chemin. Le lecteur fait l’autre moitié et complète le poème.

Ces quelques phrase représentent ma véritable pensée là-dessus, j'encourage tout de même les slammeurs et poètes qui montent sur scène pour se faire connaître et j'apprécie allez les voir, mais pour moi je ne me sentirai jamais aussi près du poète, qu'à distance, un recueil à la main, ironiquement.

Un autre câlisse qui me pique mes idées...

Voici ce qui jaillit de ma plume en 2009 :

http://www.depotoir....n/page__hl__ode

Eh oh, je n'ai pas accès à la Fosse Sceptique! Aussi, c'est pas comme si j'étais ramoneuse professionnelle et que je ratissais le dépotoir de fond en comble pour être au courant de tout ce qui s'y passe eh! Pardonne mon ignorance ?

Modifié par Josie819
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Le fait que tu déteste le slam n'aide pas vraiment ta cause, il y a du bon "slam", mais dans certains cas , je trouve que c'est juste une autre forme de poésie en fait. J'étais comme toi au début, je suis pas une grande fan, mais le mec du 2ième vidéo m'a vraiment touché. Je crois que c'est plus du "Spoken word" qu'autre chose, mais ça vaut quand même sont pesant d'or. Et pour en faire un art, je connais personnellement Guy Perrault, qui vit dans ma région et a gagné la 2ième place au championat international de slam en france , je me souviens plus quelle année exactement, mais il pourrait peut-être te faire changer d'idée sur "l'art de la chose", c'est comique, bien pensé et intelligent :

Les slammeurs ne sont pas tous des Grand corps malade, faut pas tous les mettre dans le même chapeau!

C'est une branche différente de la poésie mais une branche bien vivante néamoins.

Mais je dois dire que , comme Michel Pleau l'a dis: À notre époque, les poètes montent beaucoup sur scène et lisent sous la lumière des projecteurs. C’est une bonne chose. Mais je demeure convaincu que l’expérience la plus profonde de la poésie se vit d’abord, en solitaire et en silence, avec un livre dans les mains.

Le lecteur et le poète sont, pour moi, une seule et même personne. Je ne peux envisager le lecteur comme un spectateur qui ne serait là que pour applaudir. Par l’écriture, le poète ne fait que la moitié du chemin. Le lecteur fait l’autre moitié et complète le poème.

Ces quelques phrase représentent ma véritable pensée là-dessus, j'encourage tout de même les slammeurs et poètes qui montent sur scène pour se faire connaître et j'apprécie allez les voir, mais pour moi je ne me sentirai jamais aussi près du poète, qu'à distance, un recueil à la main, ironiquement.

Eh oh, je n'ai pas accès à la Fosse Sceptique! Aussi, c'est pas comme si j'étais ramoneuse professionnelle et que je ratissais le dépotoir de fond en comble pour être au courant de tout ce qui s'y passe eh! Pardonne mon ignorance ?

Vous êtes pardonnée.

Voici une capture d'écran fraîchement réalisée :

gxGFJ.jpg

Modifié par Otello
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@ƒ Ǿ ǖ ℓ Д ® ↁ : J'oubliais, si tu déteste le slam, pour quelqu'un qui le déteste, alors, je me demande comment tu peux savoir ce qu'est supposé être du "bon slam", surtout quand tu dis ceci: Du monde qui parle et se vide le coeur en chialant, ca ne merite pas qu'on appelle ca ''du slam''.

Je sens comme une divergence dans ton propos en disant que ça ne "mérite" pas d'être appellé slam, tu laisses la porte ouverte à quelque chose qui pourrait peut-être mérité d'être appellé slam, voir du bon slam, et dans ce cas, je serais curieuse d'avoir ton opinion.

Otello: Il y aurait quand même moyen de faire quelque chose avec ça si tu le voulais vraiment en changant le titre par exemple, mais j'avoue que c'est plutôt merdique!

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quotearrow-10x10.png name='ƒ Ǿ ǖ ℓ Д ® ↁ' timestamp='1437161118' post='541082']

C'etait dans le sensarrow-10x10.png que SLAM = PAS BON. ''Du monde qui parle et se vide le coeur en chialant'', je ne vois pas cette pratique comme mauvaise, au contraire.

Ce pourquoi je trouve ca degueulasse d'appeler ca du slam, c'est un peu reducteur et malpoli... À mon avis.

[ quotearrow-10x10.png]

Que considérerais-tu comme étant du bon slam ?

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