B~E 13 janvier 2015 Partager 13 janvier 2015 Vous arrivez à faire du bénévolat?J'essais chaque année depuis longtemps, normalement quand je termine de travailler. Mais ça ne dure jamais. Mon record est de trois mois de travail de bureau chez Amnistie Internationale, et encore là c'était pénible. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ecce Homo 13 janvier 2015 Partager 13 janvier 2015 tu as fait du bénévolat à temps plein pendant 3 mois chez Amnistie Internationale, pour un travail de bureau en plus? qu'est-ce que tu faisais exactement? s'ils te faisaient faire des tâches administratives, c'est dégueulasse sachant que leur Secrétaire générale gagnait 132 000 livres par année et qu'elle a reçu une indemnité de départ de 533 000 livres en 2011.pour ma part, les deux causes qui me tiennent beaucoup à coeur sont la situation des femmes et la scolarisation des jeunes issus de milieux défavorisés. je me cherchais un organisme implanté au Québec (et non pas qui oeuvre à tombouktou où on n'a aucune idée où va l'argent). je voulais aussi que mon travail de bénévolat en soit un de proximité physique, dans lequel j'aurais à travailler directement avec les bénéficiaires de mon "don en temps". comme ça, je m'assure d'aider sans pour autant être le larbin d'un organisme qui reçoit des millions en dons annuellement en plus de rétribuer grassement leurs cadres.j'aime beaucoup mon bénévolat. le plus dur c'est de se lever les fesses et d'y aller après une éreintante journée de travail, mais c'est satisfaisant à chaque fois. mais je n'arriverais pas à le faire sans la proximité physique avec les gens. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fred Yankee 13 janvier 2015 Partager 13 janvier 2015 J'ai fait du bénévolat quelques reprises pour la fadoq 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Janus 13 janvier 2015 Partager 13 janvier 2015 J'ai été chargé de projet pour le centre d'aide et d'action benevole de charlesbourg, mais ils ont nommé 2 autres chargés de projet pour le meme projet en se disant plus on est de fou plus on rit... au bout de quelques mois tout semblait tomber entre 2 chaises et les autres ne repondaient plus a mes tentatives de relancer le projet... avec l'arrivée de la fin de session j'ai tout laissé tombé.Je suis présentement trésorier pour la société d'histoire de Sillery et bénévole pour Canard Illimité (protection des millieux humides) 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
B~E 13 janvier 2015 Auteur Partager 13 janvier 2015 tu as fait du bénévolat à temps plein pendant 3 mois chez Amnistie Internationale, pour un travail de bureau en plus? qu'est-ce que tu faisais exactement? s'ils te faisaient faire des tâches administratives, c'est dégueulasse sachant que leur Secrétaire générale gagnait 132 000 livres par année et qu'elle a reçu une indemnité de départ de 533 000 livres en 2011.pour ma part, les deux causes qui me tiennent beaucoup à coeur sont la situation des femmes et la scolarisation des jeunes issus de milieux défavorisés. je me cherchais un organisme implanté au Québec (et non pas qui oeuvre à tombouktou où on n'a aucune idée où va l'argent). je voulais aussi que mon travail de bénévolat en soit un de proximité physique, dans lequel j'aurais à travailler directement avec les bénéficiaires de mon "don en temps". comme ça, je m'assure d'aider sans pour autant être le larbin d'un organisme qui reçoit des millions en dons annuellement en plus de rétribuer grassement leurs cadres.j'aime beaucoup mon bénévolat. le plus dur c'est de se lever les fesses et d'y aller après une éreintante journée de travail, mais c'est satisfaisant à chaque fois. mais je n'arriverais pas à le faire sans la proximité physique avec les gens.Le boulot chez AI consistait d'une pléthore de trucs mineurs; saisie et maintient de base de données, appel avez les donateurs, saisie de pétition et de donations, organisation et participation à des d’événements. Y'avait aussi beaucoup de bricolage. =DC'était pas temps plein, j'y aillait à coup de 3h-6h, 1-3 fois par semaine.Mon meilleurs souvenir c'était d'avoir fait de la sollicitation dans la rue (ce en quoi j'ai une sainte horreur) avec un mec de Clown sans frontière, qui était génial. Imagine une clown sur des échasses qui coupe la circulation en pleine Place des arts, pour traverser la rue en courant pour venir te "sensibilisé" l'autre bord de la rue. Et les gens adoraient, c'était un pro.J'ai arrêté parce que je me sentait inutile. La vie de bureau était bien sympathique et les employés l'étaient aussi, mais le contact avec les gens, "voir" directement le résultat de mon implication, ça me manquait pour me motiver et soutenir ma discipline.Franchement, j'aimerais mieux faire des p'tit sandwichs pis faire du service à l’accueille Bonneau.tu as fait du bénévolat à temps plein pendant 3 mois chez Amnistie Internationale, pour un travail de bureau en plus? qu'est-ce que tu faisais exactement? s'ils te faisaient faire des tâches administratives, c'est dégueulasse sachant que leur Secrétaire générale gagnait 132 000 livres par année et qu'elle a reçu une indemnité de départ de 533 000 livres en 2011.J'peux pas dire pour l'indemnité de départ, mais 130 000 livres par année pour gérer une organisation de ce calibre, ça me parait comme bien peu. Les gens au bureau me racontaient qu'ils acceptaient chez AI une réduction de 20-30% sur leur salaire pour une travail équivalent ailleurs dans la société.E: si quelqu'un connait une place où ils recherchent un bénévole, j'suis dispo. J'ai bien du temps libre cette saison. ;p Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
NewYorker 14 janvier 2015 Partager 14 janvier 2015 Je fesais du bénévolat pour le Centre de Bénévolat et Moisson Laval mais j'ai dû arrêter pour me consacrer au démarrage de mon entreprise. Je suis aussi supposé de faire un petit 4h par mois au centre d'Écoute de Laval mais ils ne m'appellent jamais. J'en ai aussi fait brièvement à l'Eco quartier. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ecce Homo 14 janvier 2015 Partager 14 janvier 2015 J'peux pas dire pour l'indemnité de départ, mais 130 000 livres par année pour gérer une organisation de ce calibre, ça me parait comme bien peu. Les gens au bureau me racontaient qu'ils acceptaient chez AI une réduction de 20-30% sur leur salaire pour une travail équivalent ailleurs dans la société.E: si quelqu'un connait une place où ils recherchent un bénévole, j'suis dispo. J'ai bien du temps libre cette saison. ;ptout dépend du poste occupé. c'est sûr que faire quelque chose que tu aimes pour une cause que tu trouves noble, ça a une valeur non négligeable sur le marché du travail. par exemple, ça doit être très valorisant de travailler dans un dossier Amnistie Internationale dans lequel tu es chargé de faire de la pression auprès d'un gouvernement étranger pour libérer un prisonnier polique et qu'il finit par être libéré. je serais super contente de faire de la pression sur l'Arabie Saoudite, ce pays misogyne du câlisse.ce que je déplore (et je ne parle pas d'Aministie Internationale car je ne connais pas assez l'organisme), c'est que certains organismes (souvent les grosses OBNL) ont des pratiques de financement qui sont carrément calqués sur un modèle entrepreneurial (on mandate des firmes pour faire du marketing, on mandate des entreprises pour faire les récoltes de dons, on offre aux hauts gestionnaires des salaires et avantages se rapprochant du secteur privé, etc). dans cette situation, le rapport don/impact ou implication/impact est très dilué à cause qu'il faut nourir la grosse machine.j'ai un ami qui a travaillé comme canvasseur (ceux qui te gossent à la sortie du metro) et qui, aujourd'hui, m'affirme que les grosses OBNL pour qui il récoltait de l'argent te racontent de la bullshit. par exemple, PLAN engage un contractant, Public Outreach (une entreprise privée à but lucratif) qui, à son tour, engage des salariés pour récolter des dons. ces salariés gagnent un salaire de misère en plus d'être à pression (objectifs à atteindre sinon on te fout dehors). il n'y a aucun moyen de confirmer la véracité des statistiques présentées aux donateurs, ni pour eux d'avoir une mainmise sur les projets. sans compter les risques de fraude élevés (au sein des OBNL autant que lors de la réalisation des projets).je préfère donner mon temps et mon argent aux petits organisme qui ont un impact de proximité facilement observables. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Koala 15 janvier 2015 Partager 15 janvier 2015 Ecce Homo, je suis entièrement d'accord avec toi. J'ai fait du bénévolat pendant plusieurs années dans mon milieu (bibliothèque municipale, centre d'hébergement pour personnes âgées, accompagnement d'étudiants handicapés quand j'étais au secondaire... Je trouve cela beaucoup plus valorisant de voir le sourire des gens que j'aide et l'impact direct de mes actions au quotidien. J'aime m'impliquer dans mon milieu, pas auprès d'organismes ou de causes que je sens trop loin de moi. Depuis que j'habite à Montréal, je fais mon "bénévolat" en actions concrètes de ma propre initiative et non pas auprès d'un organisme. Pendant un été complet, à tous les samedis, je faisais avec mes amis une centaine de sandwiches qu'on distribuait aux itinérants du centre-ville avec des bouteilles d'eau. L'hiver, je distribue du chocolat chaud et des repas aux itinérants pendant les grands froids et les tempêtes de neige. Ce n'est pas du bénévolat "officiel" auprès d'un organisme, mais j'essaie de faire une différence avec des petites actions au quotidien. 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Abereau 15 janvier 2015 Partager 15 janvier 2015 Ecce Homo, je suis entièrement d'accord avec toi.J'ai fait du bénévolat pendant plusieurs années dans mon milieu (bibliothèque municipale, centre d'hébergement pour personnes âgées, accompagnement d'étudiants handicapés quand j'étais au secondaire... Je trouve cela beaucoup plus valorisant de voir le sourire des gens que j'aide et l'impact direct de mes actions au quotidien. J'aime m'impliquer dans mon milieu, pas auprès d'organismes ou de causes que je sens trop loin de moi.Depuis que j'habite à Montréal, je fais mon "bénévolat" en actions concrètes de ma propre initiative et non pas auprès d'un organisme. Pendant un été complet, à tous les samedis, je faisais avec mes amis une centaine de sandwiches qu'on distribuait aux itinérants du centre-ville avec des bouteilles d'eau. L'hiver, je distribue du chocolat chaud et des repas aux itinérants pendant les grands froids et les tempêtes de neige. Ce n'est pas du bénévolat "officiel" auprès d'un organisme, mais j'essaie de faire une différence avec des petites actions au quotidien.La semaine dernière j'ai poussé 4 automobilles et aidé deux cyclistes en détresse. C'était l'une des rares semaines de ma vie où je suis pas rentré directement chez moi après le boulot. (À part lundi, je suis sorti les autres jours)J'ai l'intention de faire ça plus souvent. Tout à l'heure par exemple, j'aidait le camelot du quotidien Métro positionné à la station Sauvé à ramasser les exemplaires qu'il avait malencontreusement échapé sur la chaussé. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Janus 15 janvier 2015 Partager 15 janvier 2015 J'ai aussi envie de m'impliquer plus "concretement". J'ai un ami qui est intervenant pour la croix rouge et ce serait une facon pour moi de me rapprocher de cet objectif. J'ai toujours voulu etre pompier volontraire (maintenant pompier temps partiel), mais si tu ne vis pas en région c'est pas facile. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fred Yankee 15 janvier 2015 Partager 15 janvier 2015 La semaine dernière j'ai poussé 4 automobilles et aidé deux cyclistes en détresse. C'était l'une des rares semaines de ma vie où je suis pas rentré directement chez moi après le boulot. (À part lundi, je suis sorti les autres jours) J'ai l'intention de faire ça plus souvent. Tout à l'heure par exemple, j'aidait le camelot du quotidien Métro positionné à la station Sauvé à ramasser les exemplaires qu'il avait malencontreusement échapé sur la chaussé. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Aradia 19 janvier 2015 Partager 19 janvier 2015 J'ai toujours fait du bénévolat, sauf que disons que depuis quelques années, j'ai moins de temps à consacrer à cette activité, avec les études, le travail, mais je trouve le moyen d'en faire un peu quand même.Quand j'étais ado, j'ai été dans les club Octogones (Optimistes Junior), j'ai été dans Amnistie Internationale, et j'ai fait du bénévolat pour plusieurs festivals locaux dont un pendant presque 10 années consécutives.Depuis que je suis à Québec, mon réseau social est plus mince donc je fais moins de bénévolat. Beaucoup moins. J'ai été bénévole pour le festival des bières une année, pis sinon, à part donner du sang, je fais rien.J'ai voulu m'impliquer dans mon association étudiante, mais j'endure pas le genre de personnes qui se tient dans ça. J'ai été responsable et bénévole dans un bar étudiant universitaire pendant 2 sessions. C'était cool, mais l'AESS s'en est mêlé, pis tout à chié. On était "indépendant" avant, mais là, fallait leur demander la permission pour tout. Bref, on a déserté. Il faudrait que je me trouve une "cause" qui me tient à coeur, et que je trouve du temps... parce que j'ai déjà pas beaucoup de temps à consacrer à mes amis, je veux pas me surcharger non plus. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Purosangue 8 mars 2015 Partager 8 mars 2015 C'était obligatoire pour un cours en secondaire 5 ou du moins ça comptait pour 20%. J'ai tenu la caisse pour un organisme qui vend des cossins usagés pour quelques weekend. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Neoraf 8 mars 2015 Partager 8 mars 2015 J'adore le concept. J'adore l'idée. Le bénévolat est l'exemple parfait de dévouement pour le bien commun. Malheureusement, je n'ai pas le temps. Je fais en moyenne 60 à 70 heures par au DND par semaine. Mais si on tient compte des nombreuses heures non-payées que je ne réclame pas aux contribuables, alors oui je fais du bénévolat. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
B~E 8 mars 2015 Auteur Partager 8 mars 2015 J'ai commencé à travailler à la clinique mobile de Médecin du Monde, plus un projet de bureau. D'ici à ce que je me trouve un boulot, probablement pour la fin de la session. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Иди и смотри 9 mars 2015 Partager 9 mars 2015 Quand j'étais petit, nous vivions à côté d'un couple de veterinaire. La dame me laissait tout le temps chiller là-bas... Il y avait des chatons et des bédés des Tintin. Nous avions acces à sa cours via la notre et j'allais chiller avec les chatons sans qu'ils soient là/que la clinique soit ouverte en passant par derriere.[une fois je suis resté tout un dimanche embarré à l'interieur, pas le fun. J'ai écris un texte plein de fautes (j'étais en CP) et l'ai passé sous la porte en esperant que les enculés de chatons l'emmene à ma genitrice. Ce qu'ils n'ont jamais pris la peine de faire...]Bref, j'étais toujours planqué là-bas, je préparais des plaquette de fioles pour des prises de sang etc... La madame était une big shot de la croix rouge francaise et j'ai fait une ou plusieurs collecte de denrée alimentaire avec elle pour des pays d'ex yougoslavie, je crois...Plus grand vers mes 11 - 12 ans, j'ai parti une collecte pour l'organisme 1 bouchon 1 sourire.(à l'epoque construisaient un orphelinat en Madagascar, entre autre) Ma mère m'a un peu aidé... On a fait plein de boites que j'ai posé partout dans ma ville(ecole, bibli, plein de commercants) et j'allais les vider constement. Je croulais sous les bouchons, des sacs et des sacs poubelles plein à craqué de bouchons. En plus à cette époque on vivait dans un HLM... On a du charger le citroen berlingo familiale deux fois à ras bord pour l'emmener à un point de collecte dans la grande ville. Ca marchait bien... On a recu le feu vert pour venir au Canada et j'ai legué cette responsabilité à mon ancien directeur d'école.Sinon, plus recement j'ai fait des journées par ci par là....Une à donner des coups de mains à une espece de garderie familiale avec du monde cabossé par la vie.Une au Centre de Tri Moisson Montreal.Une à l'esti d'acceuil bonneau... parlons-en. Des pseudos benevoles pas vraiment tolerant envers les sdf et qui viennent ici principalement pour des deductions d'impots. On a servi des patates et des hot dog. aucun rab. Priere de masse obligatoire au début du repas. Et quand les SDF étaient partis ils ont sorti des buffet sur roulettes avec plein de bouffe digne d'un buffet à volonté de laval(en un peu moins gros) et des pseudos benevoles (que je n'avais pas vu sur le plancher de tout le services) sont sortis de nulle part à toute vitesse pour se bourrer la panse....triste farce.Sinon j'ai envie / je pense souvent à distribuer de la bouffe, genre de la soupe etc... mais j'ai pas trop le temps, ni ce qu'il faut. Faudrait qu'un jour je le fasse. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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