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Cette technologie peut changer le monde!


Déchet(s) recommandé(s)

Le 21/02/2017 à 10:28, Ghosting a dit :

Pourquoi construire des routes ????

 

 

Le Hoversurf Scorpion 3 est un prototype russe utilisant un siège de moto et quatre hélices lui permettant de soulever 120 kilos à 10 mètres du sol, tout en atteignant une vitesse de pointe de 50 km/h.

 

 

Cette musique a créé des attentes chez moi qui n'ont pas été satisfaites...

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  • 6 mois plus tard...

Uber in deal with NASA to build flying taxi air control software

 

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That deal calls for Uber to be involved during phase 4 of this work, which is scheduled to begin in March 2019, NASA said.

 

Phase 1, completed in 2015, involved field tests and ongoing testing at a U.S. Federal Aviation Administration (FAA) site for drones used in agriculture, fire-fighting and pipeline monitoring, NASA has said. Phase 2 in 2016 considered long distance uses in sparsely populated regions, while Phase 3 in 2018 will test services over moderately populated areas, leading to Phase 4 testing in high-density urban areas in 2019.

Uber plans to introduce paid, intra-city flying taxi services from 2023 and is working with aviation regulators in the United States and Europe to win approvals toward that end, Holden told Reuters.

Uber would begin testing proposed four-passenger, 200-miles-per-hour (322-km-per-hour) flying taxi services across Los Angeles in 2020, its second planned test market after Dallas/Fort Worth.

https://www.reuters.com/article/us-portugal-websummit-uber/uber-in-deal-with-nasa-to-build-flying-taxi-air-control-software-idUSKBN1D81AE

 

NASA Embraces Urban Air Mobility (UAM), Calls for Market Study

 

NASA’s Aeronautics Research Mission Directorate (ARMD) conducts research based on a deliberate and well-coordinated strategic implementation plan. This plan is being expanded to include research into an area emerging so quickly there’s no page for it yet on Wikipedia.

It’s Urban Air Mobility, or UAM.  

Our definition for UAM is a safe and efficient system for air passenger and cargo transportation within an urban area, inclusive of small package delivery and other urban Unmanned Aerial Systems (UAS) services, which supports a mix of onboard/ground-piloted and increasingly autonomous operations.

Several companies, both large and small, are starting to develop the infrastructure to make UAM a reality, and they are planning to do this much sooner than you think.

 

https://www.nasa.gov/aero/nasa-embraces-urban-air-mobility

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https://www.lesechos.fr/13/10/2015/lesechos.fr/021398624191_quand-la-route-devient-centrale-photovoltaique--une-premiere-mondiale-francaise.htm

Le 1er revêtement routier photovoltaïque au monde
Wattway est une innovation française brevetée au terme de 5 années de recherche menées par Colas, un leader mondial des infrastructures de transport, et l’INES, Institut National de l’Energie Solaire. En associant les techniques de la construction routière avec celles de la production photovoltaïque, la chaussée Wattway fournit de l’électricité, énergie propre et renouvelable, tout en permettant la circulation de tout type de véhicule.

Wattway est composé de cellules insérées dans un mille-feuilles de couches successives assurant robustesse et adhérence pneu/chaussée.

 

http://www.wattwaybycolas.com/

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  • 4 mois plus tard...

La Suède inaugure une route électrifiée « unique au monde »

 

Long de deux kilomètres, ce tronçon test baptisé « eRoadArlanda » se situe sur une voie du réseau secondaire reliant un terminal fret de l’aéroport international de Stockholm Arlanda et un centre de logistique.

L’énergie est transférée grâce à un bras amovible situé sous le véhicule qui s’abaisse et entre en contact avec le rail situé au milieu de la voie de circulation.2D78A729-9D17-4232-B2F7-65E28385DD82.thumb.jpeg.345d012b7bf16b2052642d8980a77925.jpeg

 

 

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  • 3 semaines plus tard...

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 Avec les pantographes, le chargement se fera en 5 minutes, voire moins, grâce aux 370 kilowatts injectés dans les batteries. Par souci de maintenance, les autobus seront également branchés à des recharges lentes en fin de service dans les garages de la STM. Il en prendra 4 heures pour un véhicule avec ce type de recharge. Ces bus électriques auront une autonomie allant de 15 à 25 km.

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Les problèmes de qualité de l'air en Chine sont en train de faire baisser drastiquement le coût d'acquisition des bus électriques. D'ici quelques années, ça devrait être rentable à acheter même pour les pays qui ne se préoccupent pas de l'environnement.

https://www.vox.com/energy-and-environment/2018/4/17/17239368/china-investment-solar-electric-buses-cost

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Anheuser-Busch vient de commander 800 camions hydrogène Nikola


Avec sa commande de 800 camions Nikola fonctionnant avec une pile à combustible, le brasseur américain Anheuser-Busch vient confirmer l’engouement du monde du transport pour les énergies alternatives et valider la stratégie prise par Nikola Motors.  En plus des camions Nikola, Anheuser-Busch a également commandé 40 camions Tesla, qui seront affectés sur de plus petites distance (de 500 à 800 km), alors que les camions Nikola disposent d’une autonomie plus large. Les camions Nikola 1 et Nikola 2, à cabines longues et courtes, sont en effet capables de couvrir des distances de 800 à 1 900 km avec une recharge en 20 minutes, hydrogène oblige.

Tout comme une Tesla Model S, il revendique « une accélération incroyable ». Nikola Motor compte faire le 0 à 100 km/h en charge deux fois plus vite qu'un camion diesel, c'est-à-dire en 30 s. Les moteurs électriques indépendants des six roues délivrent une puissance combinée de 2 000 ch et un couple de 5 000 Nm, respectivement quatre et deux fois ceux d'un camion conventionnel. Le mastodonte peut gravir une pente de 6 % à une vitesse de 105 km/h, du jamais vu, 50% à 100 % plus vite que les semi remorque diesel. De plus, fini les changements de vitesses, car il n’y a pas de transmission, ni différentiel, ni arbre de transmission mécanique

En 2015, Nikola Motor avait opté pour un système hybride incluant une turbine au gaz naturel, mais en 2016 la compagnie se dirige maintenant vers un système incluant une grosse batterie (320 kWh) et une pile à combustible de 200 kW alimentée à l’hydrogène. Ils ont choisi la filière hydrogène liquide et comptent le produire par électrolyse avec de l’énergie renouvelable. Pour produire l’hydrogène et le distribuer, Nikola Motor a l’intention de construire des centrales électriques solaires photovoltaïques de 100 MW pour générer l’hydrogène par électrolyse de l’eau près des centrales. L’hydrogène produit sera liquéfié à -253 °C et stocké dans des réservoirs conçus pour les basses températures.  Mais cette filière consomme 3,5 fois plus d’électricité qu’un camion électrique dont on recharge la batterie sur le réseau, ce qui se conjugue mal avec le développement durable.

En principe, très peu de gaz à effet de serre et d’émissions polluantes se retrouvent dans la chaîne de production et distribution de l’hydrogène. S'il fallait que Nikola arrive à la conclusion que la production d’hydrogène par énergie solaire et électrolyse coûte trop cher finalement, et que la compagnie décide d’utiliser du gaz naturel, ça voudrait dire qu’on aura changé un carburant fossile pour un autre. Le gaz naturel est pire que le diesel au niveau des gaz à effet de serre, lorsqu’on considère le cycle de vie des carburants.

http://roulezelectrique.com/le-tracteur-routier-electrique-a-lhydrogene-nikola-one-les-deux-cotes-de-la-medaille/

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  • 3 semaines plus tard...

La compagnie québécoise Nemaska qui a fait l’objet d’un reportage à l’émission Découverte  pour sa technologie brevetée de purification écologique  du lithium issue de la roche a enfin bouclé son financement.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1080062/lithium-quebec-gisement-nemaska-shawinigan-electrolyse-hydro-usine-gisement-tesla-batterie-electrique

https://ca.reuters.com/article/businessNews/idCAKCN1IN35C-OCABS

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  • 1 an plus tard...
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Les aéronefs électriques à décollage et atterrissage vertical (acronyme eVTOL en anglais ) vont remplacer en bonne partie les hélicoptères et devenir dans les prochaines années des objets familiers dans les airs au-dessus des centres urbains.

L’appareil eVTOL est un avion électrique à décollage et atterrissage verticaux. Il décolle comme un hélicoptère, mais vole en translation, comme un avion. Cela lui permet donc d’atterrir n’importe où, mais la grande différence avec un hélicoptère, c’est que ça ne fait pas de bruit. 

Ces petits aéronefs électriques permettront le développement de nouvelles formes de mobilité aérienne régionale: des vols entre des localités dont les distances ne sont pas actuellement viables économiquement pour des transporteurs aériens traditionnels (avions ou hélicoptères).

Le modèle d’affaires entrevu est celui d’entreprises achetant une flotte d’appareils pour les exploiter dans un marché donné. Il faudra toutefois qu’elles aient les reins solides, puisqu’un aéronef eVTOL pourrait se vendre autour de 1,5 million de dollars.

Son aéronef électrique à décollage vertical, Jaunt Journey, pourra transporter quatre personnes pour des déplacements rapides, économiques, silencieux et sécuritaires au sein de zones urbaines et au-delà.

Un élément déterminant permettant l’avènement de ces aéronefs est l’arrivée de la 5G. « Si on devait utiliser le contrôle radar tel qu’on le connaît, ce serait impossible. L’arrivée de la 5G change la donne, car cela va permettre de gérer les communications à basse altitude. »

Si tout se déroule comme prévu, l’appareil, dans sa configuration finale, devrait être prêt au deuxième trimestre de 2023. On vise la fabrication à grande échelle pour 2024, et les premières ventes en 2026.

Selon Éric Côté, environ 125 entreprises sont actuellement dans la course dans le monde pour développer ce type d’appareil, mais Jaunt Air Mobility est la seule qui a atteint le stade du prototype et des vols d’essai avec pilote à l’intérieur.

« Le fait qu’au Québec, on a beaucoup de ressources disponibles en aéronautique est propice au développement. De plus, du côté de Transports Canada, il y a une ouverture envers la certification de cet appareil de l’avenir, c’est plus favorable qu’aux États-Unis 

https://www.google.ca/amp/s/www.yahoo.com/amphtml/lifestyle/jaunt-air-mobility-vs-joby-130002070.html

 

 

Une commune couvre son cimetière de panneaux solaires

Le maire de Saint-Joachim, Raphaël Salaün, explique que les tombes sont installées sur une zone de marais, remblayée à la fin des années 60. Chaque hiver, la pluviosité provoque des remontées d’eau par capillarité, ce qui engendre de plus en plus de réclamations des familles. « En couvrant une partie du cimetière par 8600 m2 d’ombrières photovoltaïques semi-transparentes et en récupérant l’eau de pluie dans un réservoir, le souci devrait être résolu », espère-t-il.

En outre, cette réserve d’eau pourra résoudre un autre problème : celui de l’arrosage du terrain de football pendant la saison estivale.

 

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  • 11 mois plus tard...

La France vient de légiférer pour que chaque parking de 80 voitures ou plus soit couvert de panneaux solaires

 

C'est 11 GW de nouveau solaire (comme 10 nouveaux réacteurs nucléaires) alimentant des millions de foyers - zéro nouveau terrain nécessaire

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  • 1 an plus tard...

Capter l’énergie de la pluie

Plutôt cette année, M. Wang et des collaborateurs ont publié deux études sur des panneaux solaires capables de générer de l’électricité (statique) quand il pleut, en exploitant la friction des gouttes de pluie sur les panneaux. Pour le moment, l’électricité produite est équivalente à l’énergie solaire produite par les panneaux par temps couvert. Il s’agit de dizaines de milliwatts, soit 10 000 fois moins que la production des panneaux solaires par beau temps.

 

 

 

 

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Né vers 1981, l'agrivoltaïsme a été massivement mis en œuvre au Japon à partir de 2004 et se développe depuis en Asie et en Europe.

L'un des objectifs des systèmes agrivoltaïques étant de préserver les terres agricoles.

  • Protection contre les températures extrêmes (gel ou canicule) :
  • dans les serres avec ou sans régulation de température, avec ou sans blanchiment ;
  • en plein champ avec une réduction des amplitudes de température grâce à l'ombrage en cas de fortes chaleurs ou un effet de serre en cas de gel.
  • Protection contre la grêle :
  • dans les serres fermées avec un toit ;
  • en plein champ avec des systèmes d'accroche ou le déploiement de filets de protection automatiques intégrés à la structure.
  • Réduction de la consommation en eau par une réduction de l'évapotranspiration des plantes grâce à l'ombrage des cultures.
  • Augmentation des rendements agricoles.
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  • 9 mois plus tard...

Les habitants du quartier South of Market (SoMa) à San Francisco ont récemment appris que la technologie vient avec ses petits désagréments. Chaque nuit, vers 4 heures du matin, mais également en début de soirée après les horaires de bureau, un concert de klaxons se fait entendre depuis un parking voisin sur lequel les taxis autonomes de Waymo ont élu domicile.

San Francisco semble être le site d'expérimentation des taxis sans chauffeur et enregistre par conséquent les accidents de parcours de ce nouveau service. Les véhicules de Cruise, filiale de General Motors et concurrent de Waymo, avaient fait l'objet d'une enquête à la suite d'accidents dans lesquels ils étaient impliqués. Ces taxis autonomes ont aussi soulevé des critiques en Chine, où leur extrême prudence est montrée du doigt pour expliquer les embouteillages à Wuhan.

Après des tests initiés en conditions réelles dans la ville californienne en août 2021, Waymo, filiale de Google dédiée aux voitures sans conducteur, opère en tant que service commercial à San Francisco depuis mars 2022. Le service est désormais accessible de la même manière qu'un VTC, depuis une application mobile.

Il va donc falloir qu'une équipe de développeurs de Mountain View se penche sur ce problème: faire en sorte que les voitures autonomes se reconnaissent entre elles et s'envoient des notifications polies en Bluetooth, «regarde quand tu recules!», «j'avais vu cette place en premier». Elles pourront réserver le clairon assourdissant de leur klaxon pour les humains qui, eux, ne comprennent que ça.

 

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Waymo vient de passer le cap des 100 000 courses payantes par semaine avec ses robots-taxis, des véhicules sans chauffeur à leur bord. La filiale de Google, qui a effectué cette annonce mardi soir, démontre qu’elle est sans conteste la numéro un des voitures autonomes non seulement aux Etats-Unis, mais aussi en Occident. 

La croissance est indéniablement rapide: en mai, Waymo annonçait 50 000 courses payantes par semaine en Californie (à San Francisco et Los Angeles) et en Arizona, à Phoenix. Et le 26 juillet dernier, Waymo revendiquait un total de plus de deux millions de courses payantes.

Les chiffres sont en progression pour deux raisons. D’abord, une hausse du nombre des véhicules sur les routes. La société n’a jamais dit combien sont en circulation – ils sont a priori plusieurs centaines, NBC évoquant le chiffre de 700 taxis en février. Le 19 août, la société dévoilait ses taxis de la sixième génération, avec plusieurs améliorations. Au niveau des capteurs, la voiture intègre désormais 13 caméras, quatre lidars, six radars et un ensemble de récepteurs audio externes. Grâce à eux, le système est capable de «voir» les alentours sur 500 mètres, selon la société, même «dans des conditions de chaleur extrême, de brouillard, de pluie et de grêle».

Ensuite, Waymo étend les zones couvertes. Fin juin, l’entreprise décidait de ne plus réserver ses courses à une sélection de voyageurs à San Francisco, rendant ses véhicules accessibles à tout le monde. Depuis l’été 2023, Waymo avait rendu son service payant à une poignée de testeurs, et 300 000 personnes s’étaient inscrites sur liste d’attente. Désormais, chaque habitant de San Francisco peut utiliser ces taxis, à toute heure du jour et de la nuit. Ce sont actuellement, pour la plupart, des véhicules de la marque Jaguar.

Petit à petit, les zones couvertes s’étendent. Au début de ce mois, Waymo annonçait la disponibilité de ses véhicules dans de nouveaux quartiers de San Francisco et de Los Angeles. Aujourd’hui, 142 kilomètres carrés sont couverts dans la première ville, 205 dans la seconde et 816 en Arizona. A titre de comparaison, les robots-taxis du chinois Baidu sont déployés dans environ 3000 km² de la ville de Wuhan.

 

Avec une topographie simple, des rues droites et une météo stable, Phoenix est un terrain facile pour les robots-taxis. A l’inverse, San Francisco «offre une densité énorme en termes de piétons, de cyclistes, de vélos électriques, de scooters, de collines», en plus du brouillard, affirmait récemment à Bloomberg, Chris Ludwick, un directeur de produit de Waymo.

Le défi semble pour l’heure en parti relevé: des véhicules de Waymo n’ont été jusqu’à présent impliqués que dans des incidents mineurs, au contraire de son concurrent Cruise (détenu par General Motors), qui avait stoppé ses opérations après un accident mortel. Mais on est encore loin d’un déploiement de masse. «Il y a eu un fort engouement dans les années 2010, admettait Chris Ludwick. Puis une déception quand les gens disaient que ces véhicules autonomes viendraient en 2014, par exemple, et que cela n’a pas été le cas».

https://www.letemps.ch/cyber/plus-de-100-000-courses-payantes-par-semaine-aux-etats-unis-les-robots-taxis-se-multiplient-sur-les-routes

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