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Kyiv (Kiev) en direct


Déchet(s) recommandé(s)

Un article est sorti aujourd'hui sur Vice News qui risque fort de vexer notre très chère @Daleko 

At the beginning of 2021, there were around 57,000 women in Ukraine’s armed forces, comprising 22.8 percent of the total, according to the ministry of defence. This figure is far higher than those of its neighbors Poland (7.5 percent) and Russia (4 percent), as well as the United States (16 percent) and Germany (12 percent). Only a handful of countries that conscript men and women on equal conditions, such as Norway and Sweden, have a comparable or higher level of female representation in their military.

[...]

“[These women] reveal that Ukrainian society will do everything to protect its freedom and sovereignty,” said Olesya Khromeychuk, the director of Ukrainian Institute London, a charity organization and center for educational activities related to Ukraine.

[...]

“Servicewomen who joined the war effort did much to challenge the traditional perceptions of gender roles prevalent in Ukraine,” said Khromeychuk. “Servicewomen started to be perceived not as women first and foremost but as professionals who chose to join the military.”

Il faudrait peut-être aller leur dire que leur place est avec les enfants, à attendre et ne rien faire ? Je veux dire, elles sont en train de tuer la culture blanche ancestrale chrétienne avec leur force faiblesse de caractère. Sûrement la faute de la culture américaine.

 

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il y a 3 minutes, Tovarichtch a dit :

e veux dire, elles sont en train de tuer la culture blanche ancestrale chrétienne avec leur force faiblesse de caractère. Sûrement la faute de la culture américaine.

Pire que ca, l'Ukraine n'a pas attendu l'invasion cis-patriarcale russe pour se radicaliser, la photo de couverture date de 2018. 

2018...Pile a la sortie du documentaire netlfix "Feminists: What they were thinking". 

Coincidence ? Je ne pense pas. 

*music de x-files*

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Il y a 7 heures, Daleko a dit :

Ça change rien au fait que les canots sont surtout remplis d’hommes qui fuient alors qu’ils sont en âge de combattre.

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il y a 6 minutes, Tovarichtch a dit :

Un article est sorti aujourd'hui sur Vice News qui risque fort de vexer notre très chère @Daleko 

Ce serait pas la première fois qu'elle est dans le champs, hein. 

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il y a 59 minutes, 1984 a dit :

Puis surtout nous en débarrasser. 

Je l'ai mis sur ignore list, c'est pas pour que tu continues à lui donner du jus et à le quoter :seriously:

C'EST TA MAROTTE OU QUOI 

Low hanging fruit.

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Tu vaux mieux que ca, Matt. Beaucoup mieux. 

Le 2022-03-03 à 16:21, Aradia a dit :

Acerbe, méchante, sarcastique, cruelle et souvent même sans coeur, mais sincère.

J'ai donne 160 dollars a un homme cis blanc quebecois a moustache mais je suis mechante parce que t'as trop prise a coeur mes insultes.

K. 

Evidement j'accepte les reproches sur comment je traite beaucoup ici mais wow, quoi, me traiter de sans coeur, c'est foutrement harsh, je crois pas avoir fait quoique ce soit pour le meriter.  Je fais le bien et je fais le mal mais le bien ils l'ont oublie. 

 

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Il y a 3 heures, Tovarichtch a dit :

Il faudrait peut-être aller leur dire que leur place est avec les enfants, à attendre et ne rien faire ? Je veux dire, elles sont en train de tuer la culture blanche ancestrale chrétienne avec leur force faiblesse de caractère. Sûrement la faute de la culture américaine.

Vous en fumez vraiment de la bonne. Trouve-moi où j'ai dit que leur place se limitait à être avec leurs enfants. L'une des premières choses que j'ai dites au sujet des Ukrainiennes dans notre conversation était  « Tu as sans doute remarqué que celles qui n’en ont pas ou qui ont quelqu'un de confiance à qui les donner sont aussi nombreuses à rester/retourner en Ukraine. »

Tu saisis vraiment pas la différence entre dire qu'il est normal d'obliger les femmes à se battre et dire qu'il est normal de leur donner l'option de ne pas le faire ? Je trouve (à l'inverse de toi) la première option scandaleuse dans une société qui fonctionne comme celles de l'Est (c'est-à-dire bien), et je trouverais tout aussi scandaleux qu'on les empêche de prendre les armes.

@1984, ce qui est pénible avec toi, c'est que je sais ce qu'il faut dire pour te réconforter. T'as besoin d'entendre de ma part que c'est horrible que des enfants meurent, malgré le fait que j'ai déjà dit plein de fois que j'étais favorable à l'accueil des réfugiés de pays en guerre (oui, même du Moyen-Orient, avec des conditions d'assimilation s'ils veulent rester, etc.) et que dans le message même que t'as utilisé pour péter un câble, j'ai dit que les raisons de notre accueil favorable des Ukrainiens ne justifiait en rien celui qu'on réservait aux autres réfugiés.

Le fait est que quand tu penses qu'avec ton cœur, tu te fais baiser. Les grands dirigeants de ce monde se tamponnent, au mieux, de nos larmoiements, ou, au pire, les utilisent pour nous manipuler. Il est indéniable qu'une grande partie de la population estime qu'il y a un problème avec notre immigration musulmane. Forcer des gens à accepter d'autres gens qu'ils ne veulent pas accueillir ne fait qu'aggraver nos problèmes et ils seront mal accueillis (cf. les tentes). Céder aux chantages des turcs, des biélorusses et autres ne fait que signaler notre faiblesse et qu'il est possible de nous marcher dessus.

Le sujet était à la base d'expliquer pourquoi la population accueille à bras ouverts les Ukrainiens alors qu'elle veut limiter les autres. Je n'ai jamais dit qu'aucun enfant arabe ne mourait, j'ai simplement dit que la majorité des migrants qui nous viennent d'Afrique et du Moyen-Orient sont des hommes en âge de se battre (le drame de la Manche en décembre, c'était dix-sept hommes, sept femmes et trois enfants, donc, bien une majorité d'hommes). Alors soit ils viennent en fait pour des raisons économiques et pour envoyer de l'argent au pays, et ils ne sont pas réellement en danger, soit ce sont des déserteurs et/ou des gens qui abandonnent femmes et enfants, ce qui est déjà un signe de différence culturelle majeure entre eux et nous. De plus, si ce que tu appelles par « enfant », ce sont tous les mineurs, alors le un cinquième est grandement exagéré puisque se faire passer pour un mineur isolé donne un statut de protection supérieur. 

Tu te souviens peut-être que lors de la fuite catastrophique de Kaboul, l'opinion public était particulièrement émue par le sort réservé aux femmes afghanes et aussi particulièrement favorable à leur accueil en France. Toutes les guerres sont horribles mais, vu notre propre histoire, nous, Européens, il nous est plus difficile de comprendre la fuite des hommes en pleine force de l'âge que celle de gens plus fragilisés.

 

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« Trouve-moi où j'ai dit que leur place se limitait à être avec leurs enfants. »

Le 2022-03-02 à 15:24, Daleko a dit :

Heureusement, l’Ukraine comprend encore la différence de sensibilité et de capacités physiques entre l’homme et la femme. Le premier rôle de la femme est de s’occuper de ses enfants.

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Euh, tu pourrais avoir l'honnêteté de mettre la citation entière.

Le 2022-03-02 à 21:24, Daleko a dit :

Heureusement, l’Ukraine comprend encore la différence de sensibilité et de capacités physiques entre l’homme et la femme. Le premier rôle de la femme est de s’occuper de ses enfants. Tu as sans doute remarqué que celles qui n’en ont pas ou qui ont quelqu'un de confiance à qui les donner sont aussi nombreuses à rester/retourner en Ukraine. 

Ce qui implique donc qu'elles n'y sont pas limitées.

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Depuis quelques semaines, les négociations avec les Iraniens (avec la possibilité d'une levée un jour de l'embargo pétrolier) n'ont jamais fait autant de progrès. Ce n'est pas une coïncidence. En prévision d'un embargo total du pétrole et du gaz russe, les Américains vont avoir besoin de reprendre le «chemin de Ryad» afin de garantir les approvisionnements en pétrole en échange de la sécurité des pétromonarchies.

 

Des images d'un soldat ukrainien récitant un poème persan alors qu'il se mobilisait près de Kiev ont attiré l'attention des utilisateurs des médias sociaux en Iran.

Perepelitsa, qui selon le Times a vécu à Téhéran pendant un certain temps et parle un peu le persan, a décidé de réciter le poème après avoir appris qu’un photographe américain connaissait également une partie de la langue. Le poème, écrit par Hamid Mosadegh, s'intitule "Qui vous apprendra la nouvelle de ma mort?"

https://news.yahoo.com/ukrainian-soldier-recites-persian-love-194200202.html

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(modifié)

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Jesus Christ statue being taken out of Armenian Cathedral of Lviv, Ukraine, to be stored in a bunker for protection. The last time it was taken out was during WWII.

Modifié par BeauRouge
je sais que ça sera pas compris
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Il y a 5 heures, Oshino a dit :

The University of Chicago 2015.

 

À la suite de l' invasion russe de l'Ukraine en 2022 , Mearsheimer a déclaré que du point de vue du réalisme offensif, il évaluait la responsabilité de l'invasion en grande partie avec la géopolitique américaine provocatrice cherchant à impliquer l'Ukraine pour établir des liens plus étroits avec l'Union européenne et les États-Unis. Comme il l'a déclaré dans une interview avec The New Yorker, Mearsheimer a déclaré : "Je pense que tous les problèmes dans cette affaire ont vraiment commencé en avril 2008, au sommet de l'OTAN à Bucarest, où l'OTAN a ensuite publié une déclaration disant que l'Ukraine et la Géorgie feraient partie de l'Otan.
 

Les Russes ont dit sans équivoque à l'époque qu'ils considéraient cela comme une menace existentielle, et ils ont tracé une ligne dans le sable. Néanmoins, ce qui s'est passé avec le temps, c'est que nous avons avancé pour inclure l'Ukraine dans l'Occident pour faire de l'Ukraine un rempart occidental à la frontière de la Russie... L'élargissement de l'OTAN est au cœur de la stratégie, mais il inclut également l'élargissement de l'UE, et il inclut la transformation de l'Ukraine en une démocratie libérale pro-américaine, et, d'un point de vue russe , c'est une menace existentielle."

En septembre 2014, Mearsheimer a écrit l'article "Pourquoi la crise ukrainienne est la faute de l'Occident. Les délires libéraux qui ont provoqué Poutine", qui a été publié dans Affaires étrangères. L'essai était très critique de la politique américaine depuis la fin de la guerre froide envers la Russie.Mearsheimer a fait valoir que l'intervention russe en Crimée et en Ukraine avait été motivée par ce qu'il considérait comme les objectifs stratégiques irresponsables de l'OTAN en Europe de l'Est. Il a comparé l'expansion de l'OTAN en Europe de l'Est, dirigée par l'OTAN, et l'inclusion prévue de l'Ukraine au scénario hypothétique d'une alliance militaire chinoise en Amérique du Nord : « Imaginez l'indignation américaine si la Chine construisait une alliance militaire impressionnante et essayait d'inclure le Canada et le Mexique. ."

Mearsheimer a fait valoir que l'annexion de la Crimée par la Russie avait été alimentée par la crainte qu'elle ne perde l'accès à sa base navale de la flotte de la mer Noire à Sébastopol si l'Ukraine continuait d'avancer vers l'OTAN et l'intégration européenne. Mearsheimer a conclu que la politique américaine devrait changer pour reconnaître l'Ukraine comme un État tampon entre l'OTAN et la Russie, plutôt que de tenter d'absorber l'Ukraine dans l'OTAN. L'article de Mearsheimer a poussé Michael McFaul et Stephen Sestanovich à publier leur réponse dans le numéro de novembre/décembre 2014 de Foreign Affairs.

Certains affirment qu'il est temps de fermer la porte aux nouveaux membres, tandis que d'autres soutiennent que ce serait une grave erreur de laisser le président russe Vladimir Poutine dicter les termes de la sécurité européenne. Pourtant, une question essentielle a été omise du débat : ce que l'accueil dans l'OTAN - ou l'exclusion - signifierait pour l'Ukraine elle-même. 

Au lieu d'examiner ce qui est en jeu pour l'Ukraine, la plupart des commentaires ont porté sur les règles et principes fondateurs de l'alliance, en particulier la politique de la porte ouverte. Les pays qui ont créé l'OTAN au début de la guerre froide s'attendaient à admettre de nouveaux membres au fil du temps, ce qui a bien servi l'alliance. L'adhésion de l'Allemagne, de la Grèce et de la Turquie dans les années 1950 et de l'Espagne dans les années 1980 a renforcé l'OTAN. Après l'effondrement de l'Union soviétique, la perspective de l'adhésion à l'UE et à l'OTAN a offert aux gouvernements d'Europe de l'Est une incitation supplémentaire à créer des institutions de type occidental. 

Malgré tout, il est peu probable que les arguments en faveur d'une ouverture permanente de la porte de l'adhésion à tous, sous prétexte que cette approche a bien fonctionné par le passé, convainquent ceux qui pensent que la paix est désormais en jeu. Après tout, l'alliance a déjà fait une exception célèbre à cette politique, parce qu'elle pensait que cela renforcerait la sécurité européenne. En 1955, les puissances victorieuses de la Seconde Guerre mondiale - la France, l'Union soviétique, le Royaume-Uni et les États-Unis - ont signé un traité garantissant la neutralité permanente de l'Autriche. Aujourd'hui, ceux qui veulent empêcher l'Ukraine d'adhérer à l'OTAN se demandent pourquoi, si cet accord a fait preuve d'un esprit d'État créatif pendant la guerre froide en 1955, un tel accord est hors de portée en 2022.

La question de savoir si l'Ukraine remplit les conditions d'adhésion est un autre aspect du débat qui divise, même si personne ne prétend que ce soit le cas. Le président américain Joe Biden et d'autres dirigeants occidentaux déclarent régulièrement qu'en ne parvenant pas à vaincre la corruption systémique, Kiev n'a pas rempli les critères qui en feraient un candidat crédible. Certains membres de l'alliance doutent que l'Ukraine puisse un jour remplir les conditions d'adhésion - et laissent entendre qu'ils ne voteront jamais pour l'admettre. Cette façon d'aborder la question ne fait que renforcer la détermination des partisans d'une interdiction explicite et permanente d'exclure l'Ukraine. Si la guerre peut être évitée simplement en acceptant de ne pas faire quelque chose que personne ne veut vraiment ou ne prévoit de faire de toute façon, demandent-ils, alors pourquoi ne pas accepter ?

Dans le débat sur l'éventuelle adhésion de l'Ukraine à l'OTAN, aucun des deux camps ne prend plus l'autre au sérieux. Ceux qui défendent la politique de la porte ouverte donnent à leurs détracteurs l'impression d'être les défenseurs d'un principe dénué de sens, et non de résoudre des problèmes diplomatiques sérieux. Quant à ceux qui sont favorables à une interdiction permanente, ils passent pour des complices de l'impérialisme russe. Chaque camp prétend que l'autre menace la paix et la sécurité de l'Europe.

Les deux camps ont peut-être raison. Mais pour comprendre pourquoi, il faut un autre débat, qui porte sur ce que signifierait pour l'Ukraine son admission dans l'OTAN ou son exclusion permanente. Une résolution définitive de son statut - dans un sens ou dans l'autre - ferait en fait beaucoup plus de mal que de bien au pays. Elle aggraverait les divisions internes de l'Ukraine, compromettrait sa stabilité et maintiendrait la région dans son ensemble en crise. Un effort sérieux pour promouvoir la sécurité européenne doit se concentrer non seulement sur la manière de satisfaire les grandes puissances, mais aussi sur la manière de maintenir la cohésion du pays qu'elles se disputent avec tant de véhémence. Les propositions qui ignorent l'Ukraine elle-même ne peuvent pas renforcer la sécurité européenne.  
 

Pourtant, ni l'ambiguïté verbale ni le soutien univoque ne produiront à eux seuls une politique efficace et durable envers l'Ukraine. Cela nécessite des discussions plus ouvertes, honnêtes et directes sur les raisons pour lesquelles le pays n'est pas un bon candidat à l'adhésion à l'OTAN ou à la neutralité imposée à l'autrichienne. Une telle approche aurait trois résultats importants et éclairants.

Le premier concerne la façon dont les États-Unis et leurs alliés pensent la sécurité européenne. Une Europe pacifique – « entière et libre » comme l'a décrite le président George H. W. Bush en 1989 – dépend tout autant de la stabilité des petits États que de l'accord des grandes puissances. Un accord qui exacerbe la division au sein de l'Ukraine - avec ses plus de 40 millions d'habitants, qui n'est pas un petit État du tout - compromet la sécurité de toute l'Europe. L'argument le plus puissant contre une sphère d'influence russe qui couvre l'Ukraine n'est pas qu'elle serait immorale mais qu'elle serait déstabilisante.

Une plus grande honnêteté à propos de l'Ukraine et de l'OTAN peut également aider les gouvernements occidentaux à parler de manière plus constructive à Poutine. Un refus de régler définitivement la question de l'adhésion à l'alliance le frustrera. Toujours prêt à s'offenser, il n'aime peut-être même pas entendre dire que l'une des raisons d'une position ni-in-ni-out sur l'adhésion de l'Ukraine est de limiter l'ingérence et la malveillance russes. Mais Poutine peut, s'il le souhaite, trouver également un certain réconfort dans une compréhension occidentale des divisions de l'Ukraine qui, au moins en partie, chevauche la sienne. Poutine continuerait à nier que ce pays divisé mérite le respect ; Les gouvernements occidentaux devraient continuer à insister sur le fait qu'il a besoin de soutien. Mais ils parleraient enfin de la même chose. Laissons Moscou et Washington se disputer pour savoir quelles idées peuvent le mieux assurer la sécurité et la stabilité.

Enfin, des discussions honnêtes sur l'adhésion à l'OTAN peuvent améliorer les discussions avec les dirigeants ukrainiens. Ils savent aussi – et devraient entendre leurs amis – que les divisions du pays sont sa plus grande vulnérabilité. Pour s'intégrer dans les institutions occidentales, l'Ukraine doit mieux s'intégrer. Les gouvernements occidentaux devraient proposer d'aider l'Ukraine à atteindre cet objectif grâce à un soutien économique, politique et même militaire accru. Mais la véritable unité nationale - probablement une entreprise générationnelle - doit être le propre projet de l'Ukraine. Rien d'autre ne peut mettre les autres objectifs du pays à portée de main.

WWW.JSTOR.ORG

 

 

 

EN.M.WIKIPEDIA.ORG

 

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La guerre pourrait nous mener à ces 5 scénarios

1. La chute de Poutine 

2. Le conflit s’étend dans d’autres pays 

3. La soumission 

4. Longue guerre en Ukraine 

5. La confrontation nucléaire 

 

La Russie en train de «réaliser le coût réel de la guerre»

Au tout début de la guerre [les Russes] insistaient sur une domination totale. Ils ne s'attendaient pas à une aussi forte résistance de l'Ukraine», a déclaré M. Podolyak.

«Ils commencent seulement à réaliser le coût réel de la guerre. Et nous commençons maintenant à avoir des négociations constructives», a ajouté le responsable, qui a participé aux deux premières sessions de négociations entre la Russie et l'Ukraine à la frontière de la Biélorussie.

Une troisième session de pourparlers doit avoir lieu lundi, selon la délégation ukrainienne.

Les Russes «ont perdu de très importantes quantités d'équipement et de personnel. Des sanctions comme on n'en a jamais vu détruisent leur économie. Leur pays est hors la loi sur la scène internationale et leur propagande ne fonctionne pas.

 

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Moi aussi je peux chier des copier-coller :

1) Depuis 2014 - des lois anti-discrimination ont été adoptées après la destitution de Viktor Ianoukovytch - l'ancien Président - qui était pro-russe / comme on dit, une marionnette de Putin.

«Article 24 of the Constitution of Ukraine prohibits any restriction of rights on the grounds of race, skin colour, religious beliefs, language and other characteristics. Ukraine’s Criminal Code also contains Articles punishing manifestations of racism and aggressive nationalism. In general, however, anti-racist and anti-Nazi legislation is underdeveloped.
The law provides a full ban on propaganda and distribution of fascist and Nazi ideology, as well as “identifies a list of prohibited terms, mottos and slogans” and “resists the existing practice of justification of Nazism and Nazi criminals and their collaborators”.
»


https://civic-nation.org/czech_republic/government/legislation/anti-discrimination_legislation/


2) À propos du néo-nazisme dont Putin utilise comme argument, que tu accueilles :

Lors de l'élection présidentielle ukrainienne de 2014 et des élections législatives ukrainiennes de 2014 , les candidats de Svoboda (le parti néo-naziste) n'ont pas atteint le seuil électoral pour gagner.

Le parti a remporté six sièges de circonscription lors des élections législatives de 2014 et a obtenu 4,71 % des votes sur les listes électorales nationales.

Lors de l'élection présidentielle de 2014, le leader de Svoboda , Oleh Tyahnybok , a obtenu 1,16 % des voix. Le leader du secteur droit, Dmytro Yarosh , a obtenu 0,7 % des voix lors de l'élection présidentielle de 2014, et a été élu au parlement lors des élections législatives de 2014 en tant que candidat du secteur droit en remportant une circonscription uninominale .

Le porte-parole du secteur droit, Boryslav Bereza , en tant que candidat indépendant, a également remporté un siège et une circonscription.

Le peuple ukrainien s'était prononcé en 2014 - ils ont votés de manière démocratique à deux reprises, Viktor Ianoukovytch (2014), et ensuite Volodymyr Zelensky (2019) - deux présidents qui sont contre la discrimination.

En gros, Putin s'adhère à des demandes non-fondées (des faits fabriqués).

En d'autres mots, il n'est pas une personne qui s'adhère aux protocoles d'une négociations basées sur la bonne foi.

Personnellement, et je crois que toute personne logique, sait qu'il ne faut jamais négocié à partir d'un point de départ qui est à la base viciée.

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Washington serait prêt à mettre fin à l'embargo sur le pétrole vénézuélien pour qu'un éventuel embargo sur le pétrole russe ne provoque pas un gigantesque choc pétrolier.

 

Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a déclaré dimanche que les États-Unis et l’Union européenne discutaient « très activement » de la possibilité d’interdire les importations de pétrole en réponse à l’invasion de l’Ukraine.

 

Même si le pétrole est, en théorie, exempté pour l’instant de sanctions, les exportations russes ne trouvent plus preneur, Shell étant l’un des seuls à s’y être risqué cette semaine.

 

« Arrêtez d’acheter du pétrole russe », a plaidé dimanche, sur la chaîne CNN, le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kouleba, en réaction à l’acquisition par Shell de 100 000 tonnes de pétrole russe.

https://www.lapresse.ca/affaires/marches/2022-03-06/a-140-dollars-le-baril-de-brent-pres-d-un-record-absolu.php

La major pétrolière Shell a cherché à défendre sa décision d'acheter une cargaison de pétrole à prix très réduit à la Russie, affirmant qu'elle engagerait les bénéfices dans un fonds dédié à l'aide humanitaire à l'Ukraine.

 

Vendredi, Shell a acheté 100 000 tonnes métriques de brut phare de l'Oural à la Russie. Il aurait été acheté avec une remise record, de nombreuses entreprises évitant le pétrole russe en raison de l'invasion non provoquée de son voisin par Moscou. L'achat n'a violé aucune sanction occidentale.

https://www.google.com/amp/s/www.cnbc.com/amp/2022/03/06/shell-defends-decision-to-buy-discounted-oil-from-russia.html

Shell a déclaré samedi que:

"Nous continuerons à choisir des alternatives au pétrole russe dans la mesure du possible, mais cela ne peut pas se faire du jour au lendemain en raison de l'importance de la Russie dans l'approvisionnement mondial", a déclaré la société dans le communiqué.

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La Roumanie montrée du doigt par Moscou

La Russie a de son côté appelé l'Union européenne et l'Organisation du traité de l'Atlantique nordOTAN à ne pas envoyer en Ukraine des systèmes d'armes de pointe. Le Kremlin a aussi mis en garde dimanche les pays voisins de l'Ukraine contre l'accueil d'avions de combat qui seraient ensuite utilisés contre les forces de Moscou.

Moscou accuse la Roumanie, un pays membre de l'Organisation du traité de l'Atlantique nordOTAN, d'avoir autorisé de tels atterrissages. Presque toute l'aviation du régime de Kiev apte au combat a été détruite. Mais nous savons de source sûre que des appareils ukrainiens se sont envolés vers la Roumanie et dans d'autres pays voisins, a déclaré le porte-parole du ministère russe de la Défense, Igor Konachenkov.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1866971/embargo-petrole-russie-aide-ukraine-avions

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La Russie recrute des mercenaires syriens ayant l’expérience de la guérilla urbaine pour combattre en Ukraine, a rapporté dimanche le Wall Street Journal, citant des responsables américains.

En 10 jours de combats, la Russie contrôle environ 10 % de l'Ukraine. Est-ce que dans 90 jours (début juin), la guerre sera terminé ? Les russes sont-ils prêts à sacrifier 20-80k soldats supplémentaires ?

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Aujourd'hui, le discours du président Russe a changé. Désormais, la dénazification et la démilitarisation ne sont plus à l'ordre du jour dans les négociations. Désormais, il s'agit seulement de :

  • Reconnaître l'annexion de la Crimée comme appartenant à la Russie
  • Reconnaître les deux républiques séparatistes à l'Est du pays
  • Mettre un premier ministre décidé par le Kremlin
  • Cesser toute résistance armée et adopter une position neutre / non-alignement face à l'OTAN et l'Union Européenne

Si l'Ukraine remplie toutes ces exigences, il y aura alors la paix dans le pays. Parole de Russe !

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