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Quand la fidélité devient un luxe !


Déchet(s) recommandé(s)

Je n'ai pas l'habitude de venir déblatérer mes états d'âmes sur les Internet. Je l'ai fait pendant quelques années à mon adolescence, mais depuis plusieurs années, je gère très bien mon état psychologique et je ne ressens pas le besoin de le partager avec le monde entier. Voilà que depuis quelques semaines, je tarde d'écrire ce billet, quand l'envie me prend, je me rends jusqu'à mon ordinateur et, hop, j'en ai plus envie.

Voilà, je suis célibataire depuis deux années, j'étais dans une relation pendant cinq années avant ça! Depuis, j'ai réalisé que la beauté n'était pas l'élément essentiel de la drague, le charme m'a donné de maintes occasions de connaître de nombreuses femmes. Le hic, c'est que je semble attirer les demoiselles en couple. Tellement, que j'en viens à me demander si la fidélité c'est un truc de con! Je n'aime pas les idiotes, alors, je n'aime pas parler avec elles. J'en suis venu à une conclusion pendant un instant: j'ai envie de quelque chose qui a un potentiel d'avenir à moyen terme, d'être comme elle, elles ont envie d'être libre, comme moi.

Trois femmes se sont fortement intéressés à moi depuis l'hiver, l'une a cocufié son copain pour la 4e fois, j'en suis tombé amoureux, ce fût complètement stupide, elle s'est joué de moi, et j'ai mordu comme jamais je ne l'avais fait avant. La page est tournée, bref, mes deuils ne sont jamais très longs. La seconde, je l'ai rencontré à l'université et sans jamais lui avoir parlé, j'avais vraiment envie de la connaître davantage, ce fût facile finalement. La troisième, la plus brillante de la gang, a décidé de laisser son copain avant de me "dater".

Je n'ai jamais été infidèle, pas que j'en ai jamais eu envie, mais je trouvais cela irrespectueux pour mon ancienne copine. Je savais que j'allais l'aimer le lendemain, je savais qu'elle était tout ce qui comptait et qu'une autre femme dans mon lit n'allait rien changer à mes sentiments. Par-contre, j'avais la notion de respect qui me disait que ça lui ferait de la peine et qu'elle ne serait pas prête à accepter ce genre de pensés.

Depuis deux ans, je vois tout le monde coucher avec tout le monde, chum pas chum, blonde pas blonde, saoul, pas saoul.

C'est ce qu'on appelle la vie universitaire ou bien la réalité d'aujourd'hui ?

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Appelle-moi Fred, on en parlera autour d'une bière. ;) M'a t'expliquer comment j'ai pu réussir à en parler à ma blonde avec le temps de ce genre de trucs là.

AJOUT: Oui oui, en parle IRL ça serait plaisant, me semble que ça fait un bout que je t'ai croisé. (Fin de l'école?)

Reste que beaucoup vivent ce genre de situation, moi y compris. Mon jeu est juste plus ouvert, disons. Le "tout le monde couche avec tout le monde" est selon moi à relativiser. Certaines personnes vont avoir ce genre de comportement une seule fois et arrêter, d'autres vont le poursuivre. Reste à savoir pourquoi les gens cherchent à "tromper" aussi. Envies physionomique? Thrill? Manque de connexion au lit avec le chum/blonde actuel/le? Plein de facteurs peuvent s'imposer.

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De mon coté, je voyais beaucoup ce phénomène il y a environ 5-6 ans, dans mon jeune temps et ça me désolait énormément! Ton post me fait prendre conscience qu'à l'approche de la trentaine, tout ça s'est réellement calmé. On dirait que les gens assument davantage leur relation de couple ou leur célibat, il y a beaucoup moins de niaisage. Gardez espoir!

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J'ai lu le premier message de Fred Yankee en diagonale. Ce que j'ai à dire est plus judicieux et intéressant.

Ce qui attire les femmes, c'est la liberté, et certains hommes l'incarnent plus que d'autres. L'amour est restrictif par nature, alors la clé est de donner le plus de liberté possible dans la relation tout en demeurant dans les limites du convenable. C'est ridicule de présupposer que tout le monde triche tout le monde. Je comprends un peu les femmes d'aller voir ailleurs ou de mettre le pied sur une pente savonneuse si elles se mettent en couple avec un chien de poche ou un jaloux.

Je pense qu'il vaut mieux essayer de changer sa façon de voir l'amour, il faut juste mieux aimer que ce qui nous habite d'un premier réflexe. Combattre le désir de posséder l'autre.

Le meilleur moyen d'y arriver, c'est de satisfaire exactement, et j'insiste là-dessus, exactement les attentes affectives de l'autre, sans trop en faire, comme il nous arrive souvent en entrant dans une nouvelle relation. Puis avec le free time qui nous est donné, avancer les projets personnels avant d'entreprendre tout ce qui est étiqueté comme projet de couple. Parce qu'après tout, la raison de vivre de chaque individu doit être de chercher à s'améliorer constamment; devenir un meilleur homme ou une meilleure femme – et de devenir meilleur, c'est un travail qui se fait en solo, quoi qu'on en dise.

Enfin, si on se trouve avec quelqu'un qui est un peu trop ou trop peu demandant affectivement pour soi, il ne faut pas perdre son temps d'avantage. Faut prendre le large et en chercher un ou une autre qui sera plus calibré(e) à nos flux et reflux.

Personne de sensé ne veut tenter le diable et courir le risque de se faire quitter par quelqu'un qui pense comme ça.

Voilà, je vous ai donné la clé pour ne plus être minable en amour: servez-vous-en.

...psst! ce que je t'apprends là, c'est recherché et remarquable comme tout ce qui porte mon nom, c'est ce que j'utilise dans la vie de tous les jours – c'est mon eau. Adopte-la, mets-t'en un peu partout pour attirer l'excellence.

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La psychologue clinicienne Meg Jay a un message fort pour les jeunes dans la vingtaine : contrairement à ce qu'on croit généralement, la vingtaine n'est pas une décennie à négliger. Dans cette conférence stimulante, Mme Jay explique que même si le mariage, le travail et les enfants arrivent plus tard dans la vie, ça ne signifie pas que ça ne se joue pas maintenant. Elle donne 3 conseils aux jeunes dans la vingtaine sur la manière d'assumer l'âge adulte durant la décennie décisive de leur vie.

Aucune idée comment mettre le embed du vidéo, mais le vidéo est .

J'ai souvent entendu parler qu'il faut expérimenter lorsqu'on est jeune, que c'est le temps, que nous n'avons pas autant d'obligation que si l'on était père/mère de famille de 2 enfants avec la maison à payer et le chien à promener 3 fois par jour. Je trouve que cette réflexion manque profondément de génie à elle seule. C'était comme si nos expérience n'avaient, pour la plupart, aucune répercussion sur notre futur.

C'est durant la vingtaine que l'on expérimente généralement notre première relation sérieuse d'au moins 2 ans, passé l'euphorie du début. C'est aussi durant cette période qu'on se demande si on est fait pour être seul ou en couple. Ça dépendra de l'ego et de l'estime de soi qui auront été développé préalablement. Mais, ça dépendra aussi du type d'expérimentation dans les relations que le diable vous tentera (on va dire).

Préservez bien vos valeurs si vous voulez qu'elles vous suivent durant le mariage. Le simple fait de tromper votre chum/blonde qu'une seule fois peut sembler 10 fois plus intense que l'on croit. Votre mémoire fera le travail. Se déculpabiliser, à l'inverse, vous donne la magnifique habitude d'avoir moins de stress à gérer. Parce que, anyway, y'a déjà assez de stress comme ço dans vie, yo.

Projetez-vous dans le futur et travaillez sur vos actions au lieu de faire la girouette avec vos expérimentations temporaires et nuisibles.

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Les gens intelligents sont bons pour justifier leur infidelité et leur manque de chevalerie

suck mon dick spirituel

Haha ça me fait penser qu'un gars m'a déjà dit : " Bah tsé c'est normal d'être infidèle, tsé les animaux fourrent plus qu'une seule femelle dans leur vie".

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Haha ça me fait penser qu'un gars m'a déjà dit : " Bah tsé c'est normal d'être infidèle, tsé les animaux fourrent plus qu'une seule femelle dans leur vie".

Un article intéressant:

http://www.scienceshumaines.com/la-monogamie-est-elle-naturelle_fr_21607.html

L’identité sexuelle de l’Homme se construit dans un référentiel culturel et économique. En quelques années, les femmes norvégiennes prenaient leur indépendance économique, dans le même temps, elles devenaient plus proches des hommes dans leur comportement sexuel et leur jugement sur la sexualité. Par ailleurs, l’éducation a un impact significatif sur le comportement sexuel des individus. Une enquête réalisée au milieu des années 1970 aux États-Unis a montré que plus les garçons et plus encore les filles avaient reçu un niveau d’éducation élevé plus ils commençaient tardivement leur sexualité.

La question de savoir si l’espèce humaine est monogame ou polygyne ne se pose ainsi pas en des termes naturalistes. À ce titre, l’amélioration, plus ou moins constante, de la condition économique des femmes au sein des sociétés occidentales les rend irrémédiablement autonomes. Elle en fait, à part égale avec les hommes, les acteurs de la vie en couple. Déculpabilisées vis-à-vis du plaisir sexuel, elles se révèlent autant capables que les hommes de privilégier la fidélité ou la diversité dans les rapports amoureux.

Ce qui installe progressivement l’espèce humaine dans une monogamie sérielle, ponctuée d’unions et de séparations initiées équitablement par chaque sexe, sorte de compromis entre l’avantage économique d’une vie à deux et la tentation, plus ou moins forte selon les individus, d’exacerber son plaisir dans la nouveauté…

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