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La magie de Lux, le plus grand éboueur de tous les temps


Déchet(s) recommandé(s)

Exorciste.

  1. 6. Marie-Jehane et la peur de la victoire

L’Épouvantail : Tenez. Je suppose que vous savez lire...

Homme de main (s’emparant agressivement du billet). Hey c’est une blague ou quoi ?!

L’Épouvantail : Mais pas du tout, ce n’est pas une blague, je vous assure. C’est le mot de la peur. De la peur de la victoire. De la victoire certaine. De l’ÉPOUVANTAIL !!!

Et maintenant que vous avez compris comment je m’y prends pour truquer un match, nous allons passez à la phase 2.

Homme de main (tremblant de peur) : Non…non… allez vous-en !!!

Batman la série animé : ép.24 - Le maître de l’épouvante

Avec elle. la solitude n’est plus qu’un état passager, une transition. Elle impose sa distance, sa suffisance, son propre mercure, sa récurrence. Le principe de plaisir enduit et lubrifié; comme exalté, voilà pourquoi il est si difficile d’y renoncer une fois ses tentacules bien disposées, elle s’intègre en nous structure et divise notre vie. L’envers de médaille : tout sentiment un tant soit peu élevé se mute en crainte innommable, physiologiquement éreintante, du sport sans lever le petit doigt, l’index seulement sollicité. Un monde bien hermétique se défile et se redessine à l’infini, de notre prison se révèle un royaume et l’accès au plus Beau de notre cerveau. C’est l’Empire des sens.

Bientôt le repos. Bientôt l’enfouissement des émotions, mais bientôt l’hécatombe, la renégociation perpétuelle, le vrai et le faux qui se confondent.

Bientôt la paranoïa, bientôt Narcisse qui étouffe. Avalé par une anxiété sans objet : cette absence de définition lui conférant une puissance inaliénable. La balle papillonne dans notre camp; à nous de voir ses sautillements et à mesurer son champ d’inaction. Paradoxalement, elle nous remplit d’amour, mais d’un amour exclusif, sans considération, et qui n’est vécu que pour nous et par nous sinon quelques alter egos. Un peur déraisonnée de l’autre, cet oppresseur fictif, l’hypersensibilité à vif qui s’inscrit maintenant dans une réalité parallèle : l’autre authentique, niée, oubliée, mais bientôt nous nous briserons contre elle. Avec l’estime démesuré d’un démiurge momentané et une confiance engloutie par un jugement trop aiguisé et péremptoire.

Bientôt la distillerie du contre-courage.

Bientôt la peur de la victoire.

Bientôt les réminiscences de cet univers oublié au milieu duquel on mettra tant de temps à planter notre drapeau blanc.

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On veut le retour de l'avatar de Capitaine Star.

Bonne idée.

J'ai pensé rechanger mon nick pour Lux histoire de clore en beauté ma conquête du dépotoir.

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Je pense que t'as manqué mon sujet : "Mon coeur est un cour à scrap".

Genèse :

J'ai écrit ça d'un seul jet ou presque sur une table de ping-pong d'une unité psychiatrique.

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Mais t'arrêteras-tu au dépotoir? Dans ta quête de puissance? Est-ce que tu ne vises pas a conquérir d'autres terres? A agrandir ton bassin de fidèles?

Après tout, être une légende du dépotoir, pour toi, lux, c'est se contenter de briller pour, quoi, 50 personnes au plus?

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Mais t'arrêteras-tu au dépotoir? Dans ta quête de puissance? Est-ce que tu ne vises pas a conquérir d'autres terres? A agrandir ton bassin de fidèles?

Après tout, être une légende du dépotoir, pour toi, lux, c'est se contenter de briller pour, quoi, 50 personnes au plus?

Je vais aller réaliser mon rêve : travailler dans une mine de qqch.

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Pourquoi charbon ? C'est salissant.

Parce que je l'ai dit ici:

Depuis que le gouvernement fédéral a contraint Lux à travailler à temps plein dans une mine de charbon, il faut avouer que ce n'est plus tout à fait la même chose ici.

Mais surtout pour garder ta belle peau intacte. Les cochons et les dames très riches font pareil - s'enduire de misère (i.e. boue) pour contrer les ravages du temps précieux sur l'épiderme. Et rien ne fait plus miséreux que le charbon.

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Whatever_*

Nous sommes pas dans cette vie ni Charlie Chaplin ni H.P Lovecraft.

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J'en déduis qu'il n'est plus nécessaire de se faire bien baiser pour avoir une belle peau mais de posséder des actions dans une mine de charbon.

C'est noté.

Je n'ai pas parlé d'actions. Pense prolétaire. Il faut avoir les deux mains dedans, piocher comme un dingue, faire un travail ingrat pour un salaire de crève-faim. La honte est si grande et la crasse prend racine assez que le corps entier mue.

Et enfin, la peau étant ce qu'elle est, le miroir de l'âme, tu te doutes bien que de se faire baiser par un chef n'est pas seulement bénéfique que pour l'extérieur.

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Je n'ai pas parlé d'actions. Pense prolétaire. Il faut avoir les deux mains dedans, piocher comme un dingue, faire un travail ingrat pour un salaire de crève-faim. La honte est si grande et la crasse prend racine assez que le corps entier mue.

Et enfin, la peau étant ce qu'elle est, le miroir de l'âme, tu te doutes bien que de se faire baiser par un chef n'est pas seulement bénéfique que pour l'extérieur.

Surtout si c'est par un chef, ouais.

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Cette accumulation d'intervenants médiocres permet à la fois de faire vivre le mythe lux mais aussi de te faire un bisou : j'ai fêté mes 25 ans au milieu d'une myriade de cons aussi. C'était long. Amitiés mon lux.

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