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Vincent Guzzo


Déchet(s) recommandé(s)

La plupart des gens trouvent que Guzzo est un calice de cave, incluant mes parents qui ne consomment presque exclusivement que du cinéma populaire américain. Son propos est idiot et sa suffisance agaçante, peu importe les habitudes cinématographiques.

À mon avis c'est trop facile de créer une "deuxième vitesse" réservée à une élite privilégiée. Il faut se battre pour que les gars comme Guzzo cessent de niveler par le bas en imposant au public un cinéma convenu qui récupère sans cesse les mêmes recettes.

Mais bon, de toute façon le cinéma c'est rendu pour les riches.

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La plupart des gens trouvent que Guzzo est un calice de cave, incluant mes parents qui ne consomment presque exclusivement que du cinéma populaire américain. Son propos est idiot et sa suffisance agaçante, peu importe les habitudes cinématographiques.

À mon avis c'est trop facile de créer une "deuxième vitesse" réservée à une élite privilégiée. Il faut se battre pour que les gars comme Guzzo cessent de niveler par le bas en imposant au public un cinéma convenu qui récupère sans cesse les mêmes recettes.

Mais bon, de toute façon le cinéma c'est rendu pour les riches.

Faut pas se leurrer, ce n'était qu'une question de temps.

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Il faut se battre pour que les gars comme Guzzo cessent de niveler par le bas en imposant au public un cinéma convenu qui récupère sans cesse les mêmes recettes.

C'est un peu ce que je voulais souligner en laissant parler Kurosawa. Pas tant que Guzzo s'en foute, mais qu'il détruit en effet le potentiel d'ouverture sur le cinéma.

Y'a pleins de graineux qui font de l'empathie pour ce taré, qui tentent de justifier ses propos en les qualifiants de strictement "business". Si c'était strictement business, son commentaire aurait été : je fais plus d'argent avec les blockbusters. Mais en lançant ses jugements de valeur et sa philosophie de bas étage sur la généralisation des goûts du "peuple", il ne peut être qualifié que d'imbécile de premier ordre.

Je le sais qu'on est pas mal tous d'accord la dessus. Quand ce genre d'individu obtient un micro public pour tenir des propos qui condamnent la dure tâche d'ouvrir les horizons populaires du cinéma, ça me donne des crises d'urticaires.

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