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André Boisclair obtient une double nomination


Déchet(s) recommandé(s)

Il ne faut pas oublier les 523 nominations partisanes du PLQ qui n'ont jamais soulevé de scandale:

http://www.lapresse....-partisanes.php

Personne n'a dit que le PLQ ne l'a pas fait ou ne l'a jamais fait, mais provenant de la personne qui déchirait sa chemise sur la place publique contre les nominations du PLQ et la "gestion partisane" du partis en se vantant qu'au PQ on est blanc comme neige, je trouve ça plutôt ordinaire qu'après seulement 3 mois, tout ça semble déjà des promesses du passé.

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Quand* W00t w00t arrêtera-t-il de faire son crisse d'handicapé sur tous les threads qui traitent de politique québécoise?

On a besoin de Woot. Il nous réveille. On aime pas le cadran le matin, maisbon, on en a besoin.

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On a besoin de Woot. Il nous réveille. On aime pas le cadran le matin, maisbon, on en a besoin.

Je suis le mal nécessaire qui vous fait voir que vous n'avez pas le monopôle de la pensé. Le Dépotoir n'est qu'un microcosme politique virtuel parmi tant d'autre.

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Sérieusement, les Péquistes ont pratiquement rien fait de bon. J'appuie le sommet sur l'Éducation, mais ils ont pas plus de vision que le PLQ. Ils ont fait comme eux, du moussage politique sur les étudiants. Le PLQ en nous diabolisant, les PQ en nous crossant dans le dos. Watch out la marde qui sortira du Sommet.

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Ben, Gentilly, c'est pas mauvais. Le gel sur les frais de scolarité, cébon. La coupure pour les roitelets des universités, c'est bon, mais je l'espère, juste un début. Le hold sur le plan Nord, cébon. Les coupures dans les ministères, cébon.

Bon Boisclair, c'est pasbon, mais bon, y vont rectifier le tir, pis la tite chouette va être sauvée quand même. Elle le mérite, by the way....

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En tout cas ça ne prouve ce que Option Nationale dit depuis le début : Les Péquistes ce sont des libéraux à saveur souverainistes, un parti fait pour prendre le pouvoir et gouverner selon l'opinion public.

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Ben, Gentilly, c'est pas mauvais. Le gel sur les frais de scolarité, cébon. La coupure pour les roitelets des universités, c'est bon, mais je l'espère, juste un début. Le hold sur le plan Nord, cébon. Les coupures dans les ministères, cébon.

Bon Boisclair, c'est pasbon, mais bon, y vont rectifier le tir, pis la tite chouette va être sauvée quand même. Elle le mérite, by the way....

Les universités sont déjà sous-financées. La décision du PQ de couper 124 millions en plein milieu de l'exercice fiancer en cours est totalement irresponsable. Le gel est, lui aussi, tout aussi irresponsable. Il nous a directement menés au sous-financement des universités et au conflit monstre du printemps passé. Pour en rajouter, les péquistes ont laissé en place la bonification du programme de prêts et bourses qui devait servir à compenser la hausse des frais de scolarité. Toutes ces actions ont été prises avant le fameux Sommet sur l'éducation; comme si le PQ avait décidé de jouer toutes ses cartes avant même de s'assoir avec les acteurs du milieu.

Les universités constituent le fer de lance du développement technologique, social, intellectuel et scientifique de notre société. Les décisions populistes et irréfléchies du Parti Québécois vont dangereusement accélérer la médiocratisation de nos universités.

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Les universités sont déjà sous-financées. La décision du PQ de couper 124 millions en plein milieu de l'exercice fiancer en cours est totalement irresponsable. Le gel est, lui aussi, tout aussi irresponsable. Il nous a directement menés au sous-financement des universités et au conflit monstre du printemps passé. Pour en rajouter, les péquistes ont laissé en place la bonification du programme de prêts et bourses qui devait servir à compenser la hausse des frais de scolarité. Toutes ces actions ont été prises avant le fameux Sommet sur l'éducation; comme si le PQ avait décidé de jouer toutes ses cartes avant même de s'assoir avec les acteurs du milieu.

Les universités constituent le fer de lance du développement technologique, social, intellectuel et scientifique de notre société. Les décisions populistes et irréfléchies du Parti Québécois vont dangereusement accélérer la médiocratisation de nos universités.

Cela étant dit, j'aimerais revenir sur une chose dont tu as fait allusion à plusieurs reprises au cours des derniers mois : comme quoi la grève étudiante avait un aspect émotif. J'avais en effet cru voir un grand soulèvement nationaliste dans ce mouvement, ce qui venait d'une certaine façon flatter ma fibre indépendantiste. La situation sociale était tendue et faisait en sorte que plusieurs personnes se polarisaient d'un bord comme de l'autre. Or, on le voit présentement, force est de constater qu'il n'y a pas beaucoup d'argent en ce moment et que quand le PQ prend des décisions de taxer les riches, d'imposer de plus grandes redevances dans le secteur minier, et autres, il se bute aux réalités économiques du marché et de la province.

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. Toutes ces actions ont été prises avant le fameux Sommet sur l'éducation; comme si le PQ avait décidé de jouer toutes ses cartes avant même de s'assoir avec les acteurs du milieu.

Le sommet va déboucher sur la fermeture du réseau des Cégeps et leur fusion au réseau des Universités du Québec. Il y aura de nombreuses fermetures de facultés molles. Là on parle de milliards $ d'économie.

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Le sommet va déboucher sur la fermeture du réseau des Cégeps et leur fusion au réseau des Universités du Québec. Il y aura de nombreuses fermetures de facultés molles. Là on parle de milliards $ d'économie.

Les facultés de sciences sociales sont déjà une vache à lait pour les universités; je serais très surpris qu'elles ferment. Il en coûte 4000 $ par année pour former un étudiant universitaire en sciences humaines alors qu'il faut compter 40 000 $ par année pour former un médecin. Les universités québécoises entassent donc par centaines des étudiants de sciences sociales devant un chargé de cours qui sort à peine de la maitrise; conséquemment, ils peuvent combler un peu l'énorme manque à gagner dans la formation des médecins, dentistes, pharmaciens et vétérinaires.

Les sciences sociales c'est payant pour les universités; surtout dans le contexte québécois du sous-financement chronique.

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