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Monorail TrensQuebec


Déchet(s) recommandé(s)

Allez pas voir une conférence du gars. Faites juste lire. C'est génial, économique, horaire souple, résiste à l'hiver, peut passer sous les points... C'est vraiment un projet sublime. Avec ça, tu pourrais être à Québec et aller à l'uni à Montréal chaque jour. Toutefois, criss que le gars est plate.

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Je sais pas si c'est dans le vidéo, mais un des GROS avantage du TRENSquébec versus le TGV, c'est qu'un TGV a une limite de 0,5 degré de dénivellations alors que le TRENSquébec peut se faire fitter partout même sur des structures déjà faite (comme un pont).

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Il faut porter attention à ce qui n'est pas dit dans la vidéo.

Avez-vous déjà remarqué qu'il n'y a pas de lignes électriques le long des autoroutes? C'est pour une bonne raison: les embruns salins en hiver causent des pannes à répétition. Remarquez le long du Métropolitain dans ville d'Anjou. Les têtes de poteaux y ont été coupées et le 25 kv enfoui. Il y avait trop de pannes dûes aux embruns. Seule la basse tension demeure. Elle résiste mieux au sel d'autoroute pulvérisé.

L'alimentation électrique des nacelles n'est pas abordée. Comment se fera-t-elle? Comme un métro? Et le verglas alors? Et la neige sur les rails d'alimentation? Et l'oxydation du rail soumis aux intempéries?

Et la corrosion? Avez-vous remarqué à quoi ressemble le pont de Québec?

Et aux destinations, qu'en sera-t-il des embouteillages de nacelles? Le modèle de l'automobile est éloquent à ce propos. Il n'y a des embouteillages sur la 20 et sur la 40 qu'à ses extrémités soit Québec et Montréal. Ce sera la même chose pour les nacelles. Il te faudra une heure pour te rendre de Québec à Longueuil et une autre heure pour te rendre de Longueuil à Montréal.

Vous voyez? C'est le péril de l'innovation. Quand tu innoves tu te cognes le nez sur tout plein de nouveaux problèmes, souvent imprévus. Dites-vous bien que le Diable ne se cache pas dans ce que je viens de décrire, mais bien dans tout ce à quoi je n'ai pas pensé. Je suis allergique à l'innovation. J'aime mieux que d'autres s'y brûlent. Mieux vaut être le deuxième que le premier dans un domaine technique.

Ceci dit, c'est un beau concept pour toutes les raisons amenées dans la vidéo!

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Et aux destinations, qu'en sera-t-il des embouteillages de nacelles? Le modèle de l'automobile est éloquent à ce propos. Il n'y a des embouteillages sur la 20 et sur la 40 qu'à ses extrémités soit Québec et Montréal. Ce sera la même chose pour les nacelles. Il te faudra une heure pour te rendre de Québec à Longueuil et une autre heure pour te rendre de Longueuil à Montréal.

Pas nécessairement...

Une nacelle qui part au X minutes de Montréal/Québec & Québec/Montréal .

Sur un deuxième circuit, tu as Montréal / Longueuil & Longueuil / Montréal à un intervalle X.

Ça ne créé pas "d'embouteillage" de nacelles.

Oui, cela créé une période d'attente lorsqu'on débarque d'un circuit pour embarquer sur un autre, mais c'est la même

chose qu'un système de métro ou d'autobus à ce niveau.

Non ?

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Le système d'autobus et de métro repose sur une limitation de l'offre qui rend tout embouteillage impossible. Il en découle des autobus tellement bondés qu'ils n'arrêtent plus à certains arrêts aux heures de pointes. Les gens s'empilent littéralement comme des sardines dans les autobus et dans le métro parce que l'offre est insuffisante.

Si les nacelles sont séparées par metttons 500 mètres en vitesse de croisière, elles devront se rapprocher à mesure qu'elles ralentiront pour arrêter. Près des destinations, elles avanceront à temps partiel quand celles des extrémités embarqueront et débarqueront leurs passagers.

En fait, le système des aéroports est le modèle qui correspond le mieux. Tu tournes en rond sur plusieurs étages de holding patterns avant d'atterrir. Ces attentes peuvent durer jusqu'à une heure.

Entre Montréal et Québec, de seuil de porte à seuil de porte, le transport aérien est plus «lent» que l'automobile.Entre Rivière-du-Loup et Tadoussac (Baie Sainte Catherine) on peut traverser le fleuve en moins d'une heure, grâce à un traversier qui fait la navette à temps plein. Mais l'embarquement et le débarquement font en sorte que faire le trajet Chicoutimi - Québec - Rivière-du-Loup en auto prend le même temps et coûte le même prix en essence que le 50$ de prix du passage. C'est juste beaucoup plus agréable en bateau.

Remarque que je ne dis pas que le concept n'est pas bon. Je dis qu'il est prometteur mais que je ne suis pas aussi convaincu que le narrateur de la vidéo de promotion. Je ne sais simplement pas si c'est viable ou non. En fait, je ne sais même pas s'il y a un marché suffisant pour le rendre viable. Au surplus, c'est un concept innovateur qui n'est donc forcément pas encore techniquement au point. Enfin, la vidéo passe sous silence les infrastructures d'accueil des passagers et des nacelles qui devront être des cours de triages et des gares souterraines si le système pénètre les périmètres urbains. Ces infrastructures pourraient se révéler plus coûteuses à elles seules, que le reste du réseau.

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C'est bien, mais c'est pas comme si...le train Québec-Montréal ou Montréal-Québec débordait.

Au prix que ça coute aussi. Avec une automobile moindrement économique ça coute moins cher aller retour avec ton auto que l'aller simple en train. Du moins la dernière fois j'avais regardé il y a de ça environ 3 ans.

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Le système d'autobus et de métro repose sur une limitation de l'offre qui rend tout embouteillage impossible. Il en découle des autobus tellement bondés qu'ils n'arrêtent plus à certains arrêts aux heures de pointes. Les gens s'empilent littéralement comme des sardines dans les autobus et dans le métro parce que l'offre est insuffisante.

Si les nacelles sont séparées par metttons 500 mètres en vitesse de croisière, elles devront se rapprocher à mesure qu'elles ralentiront pour arrêter. Près des destinations, elles avanceront à temps partiel quand celles des extrémités embarqueront et débarqueront leurs passagers.

En fait, le système des aéroports est le modèle qui correspond le mieux. Tu tournes en rond sur plusieurs étages de holding patterns avant d'atterrir. Ces attentes peuvent durer jusqu'à une heure.

Entre Montréal et Québec, de seuil de porte à seuil de porte, le transport aérien est plus «lent» que l'automobile.Entre Rivière-du-Loup et Tadoussac (Baie Sainte Catherine) on peut traverser le fleuve en moins d'une heure, grâce à un traversier qui fait la navette à temps plein. Mais l'embarquement et le débarquement font en sorte que faire le trajet Chicoutimi - Québec - Rivière-du-Loup en auto prend le même temps et coûte le même prix en essence que le 50$ de prix du passage. C'est juste beaucoup plus agréable en bateau.

Remarque que je ne dis pas que le concept n'est pas bon. Je dis qu'il est prometteur mais que je ne suis pas aussi convaincu que le narrateur de la vidéo de promotion. Je ne sais simplement pas si c'est viable ou non. En fait, je ne sais même pas s'il y a un marché suffisant pour le rendre viable. Au surplus, c'est un concept innovateur qui n'est donc forcément pas encore techniquement au point. Enfin, la vidéo passe sous silence les infrastructures d'accueil des passagers et des nacelles qui devront être des cours de triages et des gares souterraines si le système pénètre les périmètres urbains. Ces infrastructures pourraient se révéler plus coûteuses à elles seules, que le reste du réseau.

J'imagine que pour ça, il doit y avoir moyen de faire 4-5 quais débarcadères et de "dispactcher" les navettes entrantes sur un quai non occupé. Comme ça, 2 navettes qui se suivent à quelques minutes d'intervalle ne créeront pas de bouchon rendu à destination. Pour repartir, la navette pourrait repartir du quai et rembarquer sur le réseau principal. C'est n'est qu'une idée, reste à voir si c'est possible.

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