Teuehikan 8 août 2012 Partager 8 août 2012 Défi à tous, qui permettra de contribuer à notre culture cinématographique.Faite une liste de 10 films à voir absolument selon un critère bien spécifique.Ex : - Film X car il est le parfait exemple du type X de cinéma...- Film X car c'est le film le plus repris ou référé dans d'autres films- Film X car il a été marquant à sa sortie pour X ou X raison- etcVoyez un peu le genre. Vous pouvez rester dans le général (vos raisons sont superficielles - film pop, classique de genre, etc) ou aller dans le spécifique (technique cinématographique, style de scénario, etc). 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Humbert Humbert 8 août 2012 C’est un message populaire. Partager 8 août 2012 Bon je vais me lancer...12 Angry Men de Sidney LumetParce que c'est le meilleur huis-clos de l'histoire du cinéma. Les relations entre les personnages sont réelles et poignantes, la réalisation est efficace mais effacée, et c'est peut-être la plus impressionnante brochette d'acteurs réunis sur un même projet. Ne pas se laisser intimider par le fait que tout se passe dans la même pièce, parce qu'il n'y a aucune longueur et le film est très fluide.Les Quatre Cents Coups de François TruffautÀ mon sens le meilleur film de la Nouvelle Vague. Le film respire la liberté, tant au niveau du récit que de la réalisation et ne s'appuie pas sur des artifices techniques agaçants. Un film à la fois personnel et universel, ce qui est plutôt difficile à mettre en oeuvre. De plus, une des meilleures performances ever de la part d'un très jeune acteur.Casablanca de Michael CurtizJe peux difficilement être plus obvious que ça, mais je ne pouvais pas passer à côté. Un film iconique, cité, parodié et ré-écrit plus de fois qu'il n'est possible de compter. Possiblement la chimie de couple la plus parfaite de l'histoire du septième art. Humphrey Bogart est au sommet de sa forme. Et le plus important: c'est surtout une très belle histoire d'amour, et un film captivant du début à la fin.The Conformist de Bernardo BertolucciJe ne suis pas particulièrement fan du scénario, ni du jeu d'acteur un peu stérile de Trintignant, mais la direction artistique/photo est juste à coupe le souffle. Chaque plan est une photographie digne des plus grandes expositions. Je crois que c'est le plus beau film qu'il m'ait été donné de voir sur un plan purement esthétique.Fanny et Alexandre de Ingmar BergmanCe qui devait être le dernier film de ce monument du cinéma s'étend sur un titanesque 312 minutes, divisé en quatre épisodes. En partant, ça pourrait en décourager plus d'un, mais la division en épisodes aide grandement à faire passer la pilule. C'est le meilleur film de Bergman, extrêmement profond, réalisé d'une main de maître et s'appuyant sur un scénario original digne des plus grands classiques de la littérature. Halloween de John CarpenterEncore pas mal obvious, mais c'est le père de tous les slashers modernes et l'origine de l'un des tueurs les plus marquants du genre. À le voir aujourd'hui, le film paraît daté et prévisible, mais à sa sortie c'était une toute autre chose. Au-delà du contexte, ça demeure une oeuvre à part entière, qui a carrément créé un sous-genre et terrifié des générations.High and Low de Akira KurosawaKurosawa est surtout connu pour ses films de samouraïs, mais ce petit bijou est à mon avis son meilleur. Une histoire de kidnapping très captivante, menée avec un grand réalisme et pleine de rebondissements. Un film très stylisé, contenant plusieurs scènes aussi impressionnantes sur un plan technique que palpitantes au niveau de l'action. Les performances sont mémorables et toutes les questions d'honneur et les dilemmes moraux font réfléchir.M de Fritz LangPremier film sonore de Lang, premier film à utiliser le son pour faire des raccords entre les scènes, pionnier du film d'enquête policière, père du film noir américain, bref, un monument. Sujet très troublant encore aujourd'hui (le meurtre d'enfants). Peter Lorre est très convaincant et le film soulève des questions intemporelles sur la responsabilité. Tourné il y a 80 ans et toujours d'actualité (il faut le faire). La Règle du jeu de Jean RenoirLongtemps relégué aux oubliettes, ce classique du cinéma français s'impose aujourd'hui comme l'un des meilleurs films de tous les temps. Une comédie franche et désopilante que l'on déguste sans trop se casser la tête. Sur un plan technique, Renoir enchaîne les prises de vue splendides. Un tableau indémodable de la bourgeoisie de l'époque, dépeinte avec un amusement qui ne tombe jamais dans le cynisme et la facilité. C'est surtout un excellent film, et très drôle.Touch of Evil de Orson WellesOn se rappelle surtout de Welles pour Citizen Kane, mais à mon sens c'est avec Touch of Evil qu'il frappe le plus fort. Welles y a beaucoup souffert sur le plan artistique suite aux incessantes demandes et modifications du studio, mais des années plus tard sa version définitive est enfin disponible. Un grand film noir, au scénario un peu décousu, ayant même quelque chose de presque parodique (très subtil) mais aussi une leçon de réalisation. Welles a toujours été un génie sur le plan technique et dès la première scène son génie est en action. Les interprétations sont cultes, surtout celle de Welles qui est plus grand (et gros) que nature. 20 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Humbert Humbert 8 août 2012 Partager 8 août 2012 Ça serait tu possible pour les calice d'épais d'arrêter de scrapper le sujet?Aucun moyen d'avoir un bon thread sur ce forum. 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
unforgiven 8 août 2012 Partager 8 août 2012 Ce n'est pas mon problème si vous partez des sujets relatant une chose qui ne pogne pas...Ok salut. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. MattIsGoD 9 août 2012 C’est un message populaire. Partager 9 août 2012 Ma liste ne sera pas aussi grandiose que celle de mon ami Humbert, mais j'ai essayé de laisser de côté les grandes évidences et de plutôt présenter 10 films qui ont été des incontournables de mon apprentissage du 7e art. Il s'agit des films qui soit touchent à mes intérêts directs soit m'ont appris des trucs importants sur le cinéma ou sur autres choses. Bref, ce sont 10 incontournables de mon parcours cinématographique (j'ai quand même essayé de varier les genres, les époques et les pays). En espérant vous faire découvrir quelques bijoux. ----- Le jour se lève de Marcel Carné - 1939/France (http://www.imdb.com/title/tt0031514/): Humbert note (avec raison) que M peut être considéré comme le père du film noir, cependant, Le jour se lève est un bon exemple de l'influence européenne sur les cinéastes américains dans la fin des années 1940. Bien qu'il s'agisse d'un très bon film présentant un Jean Gabin en pleine possession de ses moyens, je classe ce film comme un incontournable (et c'est en lien avec mon prochain choix) puisqu'il s'agit d'un exemple parfait d'un "pré-noir" européen tout comme M peut l'être. Le jour se lève est beaucoup plus méconnu du grand public et tout bon cinéphile se doit de le visionner question de bien comprendre les origines du film noir. -------- The Long Night de Anatole Litvak - 1947/États-Unis (http://www.imdb.com/title/tt0039581/): Bien qu'il s'agit d'un bon film, je ne le classe pas comme incontournable pour ses qualités cinématographiques, ni pour le divertissement qu'il procure. Il s'agit pour moi d'un incontournable puisqu'il s'agit de l'exemple parfait prouvant que les films noirs hollywoodiens n'étaient pas si noirs que ça. Contrairement à la version originale citée plus haut, ce film renferme beaucoup d'espoir et il est construit de façon typiquement américaine. C'est un exemple parfait des contraintes imposées par les studios. Il s'agit à mon avis de l'exemple parfait de l'américanisation d'un mouvement plus global. Parce qu'après tout, même si le film noir est typiquement américain, il tire ses racines dans les romans pessimistes européens ainsi que dans l'expressionnisme allemand (disons que l'immigration de plusieurs cinéastes allemands aux États-Unis suite à l'avènement du régime nazi y est pour quelque chose). -------- The Pride of the Yankees de Sam Wood - 1942/États-Unis (http://www.imdb.com/title/tt0035211/): Ce n'est pas une surprise pour personne, je suis un grand fan de sport et un grand amateur des Yankees de New York. Ce film relate la vie et la carrière de l'ULTIME Yankee, Lou Gehrig. Avant d'être une maladie dégénérative, Lou Gehrig était le joueur de premier but des Yankees de New York. Dans les années 20 et 30, il a fait la pluie et le beau temps dans les stades d'Amérique en compagnie du légendaire Babe Ruth. Ce film est considéré par plusieurs comme un des meilleurs drames sportifs de tous les temps. C'est un incontournable pour moi puisque ce film démontre qu'un biopic cheezy sur un joueur de baseball peut aussi être un grand film. Le film montre Gehrig sous son vrai jour et ne tombe pas dans la surglorification d'une légende. C'est ce qui en fait la force. Petit fait cocasse, le Babe y joue son propre rôle -------- Stardust Memories de Woody Allen - 1980/États-Unis (http://www.imdb.com/title/tt0081554/): Je suis un fan fini de Woody Allen et bien qu'il ne s'agisse pas de mon préféré de ses oeuvres (cette distinction revenant à Manhattan), je considère Stardust Memories comme étant l'oeuvre essentiel à voir pour saisir complètement l'univers de Woody Allen. En plus d'être un hommage à Federico Fellini (le film est essentiellement une parodie du célèbre 8½), le film est une réflexion sur la carrière de Woody Allen jusqu'à ce point dans le temps et surtout sur sa relation avec ses propres films et son public. De plus, il s'agit du film d'Allen qui est en mon sens le plus léché stylistiquement parlant. C'est sur que lorsque tu parodies Fellini, tu dois le faire avec style. -------- Les Ordres de Michel Breault - 1974/Québec (http://www.imdb.com/title/tt0071949/): Michel Breault, plus connu pour ses talents de cinématographe, nous présente ici l'histoire des quelques unes des arrestations arbitraires ayant eu lieues suite à la loi sur le mesure de guerre promulguée par P-E Trudeau pendant la Crise d'Octobre en 1970. Ce film porte à réflexion, surtout si on tient compte du climat actuel dans le monde, puisqu'il remet en question l'autorité et les décisions prises par celle-ci afin de conserver un ordre qui n'est même pas directement menacé. Les arrestations et les conditions de détention qui y sont présentées ne sont pas sans rappeler ce qui s'est passé à Toronto il y a quelques années ou encore l'ignoble loi 78. Comme quoi plus ça change, plus c'est pareil. -------- Juliet of the Spirits de Federico Fellini - 1965/Italie (http://www.imdb.com/title/tt0059229/): Négligé par rapport à son culte compagnon 8½, Juliet of the Spirit est la réponse de Fellini aux critiques l'ayant accusé de misogynie. Le grand maître italien nous présente ici une oeuvre qui s'attarde aux préoccupations d'une femme au foyer négligée par son mari bourgeois. Le réalisateur pénètre brillamment dans l'univers des fantasmes féminins et nous proposent un film haut en couleur et en émotions qui fait contraste avec le noir et blanc plus austère de 8½. À voir pour savourer tout le "range" de Fellini. -------- Sunrise: A Song of Two Humans de FW Murnau - 1927/Allemagne (http://www.imdb.com/title/tt0018455/): Sans aucun doute mon film muet favori. Il s'agit à mon sens, avec Metropolis, de l'apogée de l'expressionnisme allemand. Sunrise présente une histoire touchante, bien ficelé et surtout des images contrastantes (la grandeur de la ville vs les dangers du boisé par exemple) qui viennent rehausser les émotions véhiculées par le film. Avant de voir Sunrise, j'étais peu intéressé par le cinéma muet. Ce visionnement m'a ouvert les yeux sur ce que je manquais. Vraiment, un monument du cinéma muet. -------- Paths of Glory de Stanley Kubrick - 1957/États-Unis (http://www.imdb.com/title/tt0050825/): À mon sens, il s'agit du meilleur film de Stanley Kubrick. Il ne présente peut-être pas la maîtrise technique du 2001: A Space Odyssey ou encore l'histoire rocambolesque de A Clockwork Orange, mais il s'agit à mon avis du Kubrick qui allie le mieux qualités techniques (la scène de l'attaque ratée), scénario bien ficelé et puissant message social. Ce récit dénonçant l'hypocrisie derrière les grandes guerres est un must pour tous. La puissance du message véhiculé ici par Kubrick est à mon sens encore aujourd'hui inégalé. La performance de Kirk Douglas est aussi magnifique. -------- Die Blechtrommel de Volker Schlondorff - 1979/Allemagne (http://www.imdb.com/title/tt0078875/): Ce film à la prémisse bizarroïde nous présente une perspective unique de l'expérience allemande de la fin de la première guerre mondiale jusqu'à l'émergence du régime communiste en Allemagne de l'est. C'est à travers les yeux d'un enfant qui refuse de grandir que Schlondorff nous montre la métamorphose que le défaite de 1918, l'émergence du nazisme et l'humiliation de la conquête soviétique de 1945 a fait subir au peuple allemand. Il s'agit là du coeur du film et l'originalité avec laquelle cette thématique est abordée est ce qui m'a séduit. Alliant humour, drame et aventures rocambolesques, ce film saura passionné les amateurs d'histoire comme les fans de cinéma. -------- Oldboy de Chan-wook Park - 2003/Corée du Sud (http://www.imdb.com/title/tt0364569/): Divertissant, touchant, brillamment réalisé et violent à souhait, le deuxième opus de la trilogie de la vengeance de Chan-wook Park est à mon avis le mieux ficelé des trois. Évitant les longueurs que l'on retrouve dans Lady Vengeance, Oldboy plonge le spectateur dans un suspense qui le tiendra en halène jusqu'à la fin. Ce film est un incontournable pour tout amateur de cinéma qui veut se dépayser un peu tout en restant dans le film de genre. Une bonne porte d'entrée vers le cinéma coréen. 14 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Humbert Humbert 9 août 2012 Partager 9 août 2012 Ma liste ne sera pas aussi grandiose que celle de mon ami Humbert, mais j'ai essayé de laisser de côté les grandes évidenceHaha va chier!Avant d'être une maladie dégénérative, Lou Gehrig était le joueur de premier but des Yankees de New York. Il s'est transformé en sclérose en plaques? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Humbert Humbert 9 août 2012 Partager 9 août 2012 En fait, à relire ma liste, c'est vrai que j'ai peut-être été un peu trop obvious. Je vais donc refaire l'exercice avec en tête l'idée de proposer des films peut-être moins vus, mais accessibles et de grande qualité.Partie 1:À nos amours de Maurice PialatLe meilleur film (à mon avis) du mouton noir du cinéma français. Pialat est un très grand cinéaste et ce film en fait parfaitement la démonstration. Sandrine Bonnaire (dans son premier rôle) incarne une adolescente troublée qui grandit dans une famille de névrosés finis et enchaîne les amourettes sans profondeur. Une oeuvre d'une grande force qui explore avec beaucoup de fraîcheur le thème usé du passage à l'âge adulte.Edvard Munch de Peter WatkinsUn film biographique sur le célèbre peintre norvégien. Fidèle à lui-même, Watkins opte pour la forme du faux documentaire et réussit avec brio à transporter le spectateur 130 ans en arrière. Son style est très particulier, très à lui. L'image est "vieillie" artificiellement ce qui contribue grandement à l'immersion du spectateur. C'est plutôt long (3h30), mais c'est surtout très instructif et d'une rare beauté. Un film vraiment à part.F for Fake de Orson WellesUn autre "documentaire", portant cette fois sur le faux artistique et se penchant notamment sur le peintre de faux Elmyr de Hory. Welles s'amuse à mélanger fiction et réalité si bien que l'on ne sait plus où se situer. Il est plutôt difficile de départager le vrai du faux, mais le plaisir de Welles est contagieux. La construction du film est très inspirée et reflète à merveille le propos. Encore une fois, c'est le genre de film que l'on oublie pas parce qu'il innove tellement.The Face of Another de Hiroshi TeshigaharaLe film le plus angoissant au monde. Un businessman japonais se voit défiguré dans un accident de travail et se soumet à une greffe expérimentale de visage. Petit problème, il se perd peu à peu dans cette nouvelle identité et sa greffe semble prendre contrôle de son esprit. Une idée tordue, rendue avec un réalisme inquiétant par la caméra de Teshigahara. Les acteurs sont presque trop convaincants. L'ensemble de l'oeuvre est d'un badtrip pesant.In a Lonely Place de Nicholas RayDixon Steele est un auteur au tempérament bouillant. Violent et alcoolique, il blesse les gens qui lui veulent du bien et s'enlise dans une spirale de rage qui le conduit à être suspecté de meurtre. Un film noir très cru, où Humphrey Bogart livre une interprétation nuancée et d'une rare honnêteté. 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vlad_drac 10 août 2012 Partager 10 août 2012 Pourquoi mon message a été deleté ? Il n'était pas mauvais ou sarcastique, je me demandais simplement si Humbert et Matt postaient leur liste avec l'objectif de présenter leurs films favoris, où plutôt des films qu'ils considéraient comme essentiels. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Humbert Humbert 10 août 2012 Partager 10 août 2012 Pourquoi mon message a été deleté ? Il n'était pas mauvais ou sarcastique, je me demandais simplement si Humbert et Matt postaient leur liste avec l'objectif de présenter leurs films favoris, où plutôt des films qu'ils considéraient comme essentiels.Dans mon cas, les deux.Aussi, ce serait pas pire si Teuehikan participait à son propre thread au lieu de juste récolter des points pour l'idée... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MattIsGoD 10 août 2012 Partager 10 août 2012 Pourquoi mon message a été deleté ? Il n'était pas mauvais ou sarcastique, je me demandais simplement si Humbert et Matt postaient leur liste avec l'objectif de présenter leurs films favoris, où plutôt des films qu'ils considéraient comme essentiels. Un peu des deux. Si j'avais été seulement à l'essentiel, ça aurait été encore plus obvious que la première liste de Humbert. J'ai essayé de varier mes choix en tenant compte du côté "découverte" de la chose. Haha va chier! Il s'est transformé en sclérose en plaques? Ils ont donné son nom à la maladie qui l'a tué: sclérose latérale amyotrophique. Tu connaîtras sans doute mieux cette maladie dégénérative sous le nom de "maladie de Lou Gehrig". Content que mon gag ne soit pas complètement passé dans le beurre Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sikaneba 10 août 2012 Partager 10 août 2012 Ce n'est pas un sujet facile à répondre. J'aime le cinéma mais je n'ai aucune connaissance technique, je ne connais pas la réputation des réalisateurs ou des cinéastes. Au mieux, je pourrais simplement mettre une liste de dix films que j'ai beaucoup appréciés. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Humbert Humbert 10 août 2012 Partager 10 août 2012 Ce n'est pas un sujet facile à répondre. J'aime le cinéma mais je n'ai aucune connaissance technique, je ne connais pas la réputation des réalisateurs ou des cinéastes. Au mieux, je pourrais simplement mettre une liste de dix films que j'ai beaucoup appréciés.Ce serait déjà un très bon début.Personne n'est ici pour faire le snob. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Esch 10 août 2012 Partager 10 août 2012 Là ça tire vraiment de tous les côtés.Il faut faire un top 10 de films obscurs, un top 10 de films-phare ou un top 10 de nos films préférés? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sikaneba 10 août 2012 Partager 10 août 2012 Eh bien moi je vais y aller avec des films dramatiques qui gravitent autour de la bêtise humaine et que j'ai grandement appréciés. Bref, selon moi, ces films sont des must.Je vais commencer avec cinq et je rallongerai ma liste à dix un peu plus tard.They shoot horses, don’t they? (Sidney Pollack 1969)Comment un marathon de danse dans la Californie de la grande dépression peut devenir un petit laboratoire de la condition humaine. Ou quand la magnificence de la réalisation, le talent indescriptible des acteurs, la beauté mélancolique de la musique, la justesse et la force du propos se rencontrent pour former un film. Un film qui explore avec acuité les contours flous qui séparent la vie de la survie, la survie de la mort. Un film qui marque l'âme.Angela’s Ashes (Alan Parker 2000)Le film brosse un portrait des plus dérangeants de l’Irlande, en levant le voile sur la misère ambiante de ces années là. Le film s’en prend à différents thèmes, dont celui de la religion, l’alcoolisme, ou encore la discrimination sociale. La famille McCourt, accumule les ennuis, les dettes, et les maladies, à force d’être parqué dans un ghetto humide et sale où il est impossible de trouver du travail. L’alcoolisme récurrent du père McCourt n’est qu’un des symptômes d’une Irlande malade et exsangue, qui ne parvient plus à se dépêtrer d’une situation socialement instable.La Rafle (Roselyne Bosch 2010)Avec ce film, Rose Bosch prend le parti de suivre presque pas à pas le parcours funèbre de la communauté juive de France, ces Juifs Français qui se croyaient à l'abri au pays des droits de l'Homme. En décrivant les différentes étapes de cette mécanique morbide orchestrée par les Nazis et en mettant en avant le rôle et la responsabilité des autorités françaises, la réalisatrice force notre pays à regarder son Histoire en face. Une autocritique bienvenue et un rappel d'utilité publique à la démarche presque pédagogique.Elle s’appelait Sarah (Gilles Paquet-Brenner 2010)Comme tant d'autres films, Elle s’appelait Sarah s'attaque à une période historique riche et inépuisable - la déportation des juifs lors de la Seconde Guerre mondiale - paradoxalement fascinante et banale, trop souvent traitée avec une sensiblerie presque dérangeante. Quelque part entre le cœur et la raison, la culpabilité historique et la réalité humaine, cette histoire conjuguée au passé et au présent surprend et frappe exactement là où il fallait. Sobrement placée à un niveau humain - notamment celui du regard de la jeune Sarah sur les évènements – À la manière de The Hours, les époques et les situations se font doucement écho, sans artifices autre que les émotions, laissant toute la place nécessaire aux histoires pour avancer parallèlement.The Magdalene Sisters (Peter Mullan 2002)Inspiré de faits réels, ce film dénonce les abus, sévices et abominations qu’ont subi des centaines voir, des milliers de jeunes femmes Irlandaises sous la tutelle de religieuses catholiques, qui ont fait vœu de pauvreté, de dévouement pour les démunis, de renoncement, d’amour et de justice au nom du Christ ! Une performance exceptionnelle ! Le scénario est bien étoffé : il relate les faits à travers la vie de trois jeunes femmes. « Les sœurs Madeleine » n’est pas un film à sensation. C’est un cinéma « vérité », un volet de vie bien réel qu’ont vécu des femmes. La caméra pénètre derrière les portes d’une institution charitable. Mais une fois derrière les portes closes, le spectateur sera le témoin d’un crime contre l’humanité. 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Esch 10 août 2012 Partager 10 août 2012 Whatever... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Humbert Humbert 10 août 2012 Partager 10 août 2012 Whatever...'Stu veux, fatigant?Y'a pas de règle stricte, fais-nous découvrir des bons films ou fais du vent. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Esch 10 août 2012 Partager 10 août 2012 'Stu veux, fatigant?Y'a pas de règle stricte, fais-nous découvrir des bons films ou fais du vent.C'est pas à toi que je demandais, ostie de chèvre cancéreuse. Si on avait besoin d'un autre crisse de top 10 de tes films préférés, pas la peine de te prier, j'en aurais pris 10 au hasard dans la filmographie de Lang et de Welles, okay?Sérieusement, si le destin de ce thread-là est de tourner en un énième inssipide top 10 de vos films préférés, je passe mon tour, ça vaut rien. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gamin 10 août 2012 Partager 10 août 2012 C'est pas à toi que je demandais, ostie de chèvre cancéreuse. Si on avait besoin d'un autre crisse de top 10 de tes films préférés, pas la peine de te prier, j'en aurais pris 10 au hasard dans la filmographie de Lang et de Welles, okay?Sérieusement, si le destin de ce thread-là est de tourner en un énième inssipide top 10 de vos films préférés, je passe mon tour, ça vaut rien.Top 10 des films que vous considérez qui doivent être vu absolument pour les raisons que vous voulez. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Humbert Humbert 10 août 2012 Partager 10 août 2012 C'est pas à toi que je demandais, ostie de chèvre cancéreuse. Si on avait besoin d'un autre crisse de top 10 de tes films préférés, pas la peine de te prier, j'en aurais pris 10 au hasard dans la filmographie de Lang et de Welles, okay?Sérieusement, si le destin de ce thread-là est de tourner en un énième inssipide top 10 de vos films préférés, je passe mon tour, ça vaut rien.Bin passe ton tour, innocent.J'ai nommé un Lang et deux Welles sur 15 films suggérés. C'est un peu gros ton affaire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Esch 10 août 2012 Partager 10 août 2012 Bin passe ton tour, innocent.T'inquiète, le bouffon, je vais essayer de gagner mes dix points verts autrement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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