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Juin.


Déchet(s) recommandé(s)

Tu pourrais faire une comparaison moins pédante, s'il te plait ?

Ils sont jolis tes ronds.

Parle nous de ton concept.

Pourquoi 800$ ?

Faut bien être photographe pour passé à coté de la comparaison entre la peinture et le baiser.

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Faut bien être photographe pour passé à coté de la comparaison entre la peinture et le baiser.

Considérant l'acte du pinceau sur la toile j'aurais plutôt comparé peinture et léchage.

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Faut bien être photographe pour passé à coté de la comparaison entre la peinture et le baiser.

Faut bien être Cheval pour passer à côté d'un verbe à l'infinitif.

Easy.

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Tu vois bien qu'il n'en parle pas parce qu'il n'y a rien à dire.

Surtout à ceux qui ont pas le cash ou l'intention d'acheter.

Bienvenue sur le marché de l'art contemporain.

C'est pas l'inverse généralement avec l'art contemporain. y'en a plus à dire qu'à voir?

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Tu vois bien qu'il n'en parle pas parce qu'il n'y a rien à dire.

Surtout à ceux qui ont pas le cash ou l'intention d'acheter.

Bienvenue sur le marché de l'art contemporain.

Taaaaa gueule.

Ça fait plus que trois ans que je débite tout mon vocabulaire à défendre l'art ici.

Je commence juste à en avoir mon voyage de piocher dans la même merde coup après coup.

Faites-vous vos propres idées, vous avez surement raison.

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Ca vient ce concept, oui ou merde ?

En fait, t'es vraiment venu seulement pour nous montrer que tu pouvais vendre. T'es revenu avec ton petit égo tout boursouflé par la fierté pour nous montrer que tu réussissais dans la vie. Oh que oui Cheval, on a surement raison.

T'es aussi creux qu'un coquillage. Tu fais de jolies spirales, mais quand on tends l'oreille pour mieux écouter le bruit des vagues, on se rends compte que tout ce qu'on entends, c'est le vide à l'intérieur.

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Alors pour répondre à toute vos questions, voilà ma démarche artistique :

Je travaille en peinture avec la signification de présence. Au travers d’espace profond, je structure avec une économie d’action l’apparition d’un être. Je fonde ma recherche sur le geste circulaire qui impose un dévoilement en vidant l’espace au nom d’une chose invisible.

À ce moment, la planification plus particulière de l’image se résume à l’anticipation de l’organisation chromatique par la préparation des surfaces. Chacun de mes gestes est un moment que je saisi pour adopté une attitude méditative et critique. L’ensemble des actions se déroule alors sur de très longues périodes ou la contemplation anime l’errance. Je peins en quelques sortes en réaction aux êtres. Qu’il soit dans mes gestes ou dans mon expérience esthétique comme intellectuel, j’agis toujours dans la réponse à quelques choses de précédent. C’est une prise de position, qu’on pourrait distingué comme une forme d’opinion. Ma réponse demeure un modus operandi au travers de mon processus comme de mes sujets. Autrement dit, j’intègre un sens voué à la subversion dans une attitude qui se teint d’arrogance.

Mon travail relève également d’inquiétude partagé entre des questionnements propres à la phénoménologie comme l’ontologie fondamentale, toutes orientées sur l’observation de l’univers. Les oeuvres qui en découlent sont alors connotées d’une quête spirituel modeste qui se refuse à toute association ésotérique.

C'est une image faite pour être jolie. C'est un agencement de formes, de couleurs et de jeux d'espace. Un design.

On ne peut rien dire, mais on peut apprécier.

Je trouve ça bien calibré.

Est-ce que tu saignes souvent du nez dans les musées?

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