C’est un message populaire. 1984 31 mai 2012 C’est un message populaire. Partager 31 mai 2012 Hello chers amis.J'en créé des sujets en ce moment, mais celui ci est le plus problématique car il a trait à un problème global que nous connaissons tous.Le travail, où le droit d'exister au sein de la société, de faire partie de cette chaine de fourmis que nous représentons, devient de plus en plus difficile. Nous le savons, et vous autant que moi en ce moment, le monde va mal et les structures établies montrent des faiblesses bien trop grandes pour nous autres, pourtant l'avenir reste avant tout de travailler pour son pays.Cet été, je lisais ce livre: Le principe du petit pinguouin, par un psychologue quebecois, Denis Doucet.J'allais mal, mon ami venait de perdre sa maman, et je venais de terminer une production d'un mois, où j'étais "en lead" comme on dit dans le jargon d'entreprise. Je crois que mon energie physique et mentale a été rondement malmenée durant ce mois pénible, avec un taux de production par jour insoutenable et des dossiers à tenir à jour sur tous les fronts.Par la suite, j'ai pensé à aller voir un psychologue car je pleurais tous les jours. Un rien m'achevait, mes collegues que je devais driver sur le projet étaient exténuées, personne n'arrivait à relativiser assez pour prendre ça à la légère. Les resultats ont été probants, mais par la suite j'ai constaté (6 mois après lors de ma prime de fin d'année) que mes efforts avaient été complètement oubliés. C'est comme si tout ce que j'avais fait avait été "mangé". Dans les mémoires, c'était même "digéré".J'en reviens à ce livre. Il raconte l'histoire de Little Boy."Little Boy est un petit pingouin qui veut bien faire; il cherche à s’adapter à tout prix à son environnement et répond toujours présent lorsqu’on exploite sa bonne volonté. Seulement voilà, il en arrive peu à peu à ne plus pouvoir suivre sa propre cadence: il se sent mal dans sa peau, il souffre. Un jour – après bien des tourments –, il comprend qu’il lui faut s’occuper de ce qui compte vraiment à ses yeux. Pourquoi tant d’angoisse dans notre vie ? Notre esprit est-il déréglé ? Sommes-nous en train de devenir incapables de bonheur ? Le psychologue Denis Doucet s’interroge: « Souffrons-nous d’une incapacité à nous adapter à notre milieu et aux autres? Peut-être pas, répond-il. Peut-être que ce qui nous est demandé est absurde. Peut-être que nous sommes captifs d’une logique insensée. Peut-être que nous perdons notre temps à nous ajuster à ce qui nous entoure, alors qu’il vaudrait mieux agir pour changer les choses". Une fable pour apprendre à lâcher prise, à mettre de côté ce qui n’a plus lieu d’être dans votre vie et vous retrouverez votre vitalité en accomplissant vos satisfactions profondes. "Certains trouveront la logique facile. Pour des gens comme moi, c'est une éducation à refaire, sur le rapport aux autres, sur l'apprentissage du travail, sur la prise de recul. Je ne suis pas 1984 pour rien, je ressens la pression extérieure chaque jour, l'impression d'être une machine qui ne doit pas avoir de sentiments.Au travail, quand tu pleures, on dit que "tu craques". Qu'il ne faut pas craquer au travail, il faut avoir prise sur ses emotions. Comment ? Pourquoi ? Ou est le mal ?J'ai compris que l'intérêt de mes managers est que je travaille sans faire de vague = sans poser de souci = sans enrailler la machine bien huilée que je dois représenter. Il faut savoir que je suis photographe salariée, et que chaque jour de travail pour ma boite lui rapporte 420€ de bénéfice (comparé à un photographe externe qui est payé 500€ / jour). A la fin du mois, j'ai donc rapporté 10000€ à moi seule.Mais je suis quelqu'un qui m'exprime, je parle fort, je ne garde pas les secrets, et quand quelqu'un me nuit je fais chier mes managers pour qu'ils m'aident à résoudre le problème. Malgré donc l'argent que je rapporte, j'ai un statut de junior dont l'image me collera aux basques pour toujours dans cette boite. J'imagine donc que mon comportement d'être humain me nuira pour mes primes annuelles. Chaque chose que j'aurai réussi sera toujours eclipsée par un echec moindre (ou pas).Mon constat c'est: la société est grandement malade. Nous tombons tous psychologiquement malades. Le bonheur mondialisé deviendra l'horreur d'un monde asservi au travail comme la machine. Nous apprendrons alors que nos émotions sont des freins, qu'il faut toujours être plus ci, moins ça. Qu'il faut changer, qu'il faut travailler sur ses faiblesses, qu'il faut améliorer chaque déficience de notre corps ou de notre esprit pour ne plus garder que la recherche de la performance devant la concurrence. On comprends que si les psychologues viennent soupirer à nos chevets, c'est parce que notre monde est tombé malade dans sa course effrenée de la croissance, et que nous deviendront des zombies malheureux, profondément.Premièrement parce que le monde de l'entreprise vise à ce que chacun soit à sa place, et cette logique insidieuse transforme les gens en "faiseurs d'étiquettes": Les gens au travail se partageront toujours les mêmes images les uns des autres, en s'accordant sur une définition commune de chaque individu. Je ne dis pas que tout le monde pense la même chose, mais que l'effet de groupe est insidieux également sur les repères humains, où même là nous voyons les autres avec un oeil bionique à la Terminator ( "Vous êtes Sarah Connor ?") et où les différences DOIVENT a tout prix s'effacer pour rentrer dans le moule. Sinon, c'est le rejet inévitable.Il y a certainement un genre d'hypocrisie a la française, dans tout cela, mais il me semble bien quand à moi que l'hypocrisie est polyglote. Donc, ce système est merveilleux pour l'entreprise, qui a créé une nouvelle norme sans réellement le faire, car les gens finissent par éprouver des tas de sentiments idéals pour les managers dont le travail en est grandement facilité: la peur par exemple des horaires, ou la crainte de prendre des libertés non autorisées, comme des enfants sous la surveillance de leurs parents. Pour l'exemple, il arrive souvent que les managers encouragent l'autonomie, le fait de trouver des solutions soi même ( et délester ainsi la moindre préoccupation superflue pour eux ) donc une certaine manière de reponsabiliser les gens me direz-vous. Un autre manager vous demandera pourtant des comptes: s'il n'arrive pas vous joindre (les batteries out ça existe, même les machines ont besoin de repos) ou si vous ne l'avez pas prevenu en bonne et dûe forme, là vous recoltez un mail tout ce qu'il y a de plus infantilisant sur ce que vous auriez du faire et sur le fait que c'est "pas bien" du tout. Vous pourrez expliquer alors que vous vous étiez organisé de manière vous dégager assez de temps pour gérer les missions où sans quoi il aurait fallu se dupliquer, vous n'aurez pas le dernier mot, on ne voudra pas vous entendre. Comme un parent qui vous dirait "Non non, je veux pas savoir va dans ta chambre".L'entreprise peut agir sur vous dans ce faux format familial: infantilisation, responsabilisation, recherche de la performance, du toujours mieux.C'est :"Insane", insensé, malsain.Dans mon entreprise, on utilise désormais les puces RFID, un système très intelligent de tracabilité des echantillons, et nous aurons bientôt ces traceurs sur nos badges ce qui permettra de pointer sur les horaires.J'attends qu'on me propose un tatouage sur la nuque.Triste, bien triste monde. J'imagine que vu votre situation au quebec vous avez d'autres chats à fouetter, mais j'avais besoin de m'exprimer sur ce problème qui pour moi est immense.Vous pourrez me dire de me mettre a mon compte que ce serait pareil ou pire. 21 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
John X 31 mai 2012 Partager 31 mai 2012 Dis-moi pas que t'as compris que la science ne guérira pas le cancer? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
1984 31 mai 2012 Auteur Partager 31 mai 2012 Je comprends surtout que tu vas perdre des points.Tu ne comprends pas mon ami, l'heure est GRAVE. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
John X 31 mai 2012 Partager 31 mai 2012 Je comprends surtout que tu vas perdre des points.Tu ne comprends pas mon ami, l'heure est GRAVE.Ca sert a rien de te dire qui je suis et mon role sur la terre? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
1984 31 mai 2012 Auteur Partager 31 mai 2012 Je t'écoute alors. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
el_picador 31 mai 2012 Partager 31 mai 2012 Tu travailles à PARIS dans une boite qui fait de la COM, tu t'attendais à quoi ?Viens faire le LEAD dans la campagne au milieu des vaches avec moi, ils te prendront pour un demi dieu, ton travail sera extremement valorisé et tu feras ce que tu veux puisque peut être 3 personnes dans ma boite comprenne grosso modo ce que je fais.Sérieusement si tu pleure tout les soirs, change juste de boite quoi .... c'est pas compliqué la vie. Tu devrais prendre plus de recul à propos de ton travail et te demander si ça vaut vraiment la peine de faire autant de sacrifice pour ta boite de KAPOS.T'enfonce des portes ouvertes là. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
John X 31 mai 2012 Partager 31 mai 2012 Je t'écoute alors.Une race extraterrestre a modifié ma vie pour sauver l'humanité Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
el_picador 31 mai 2012 Partager 31 mai 2012 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
1984 31 mai 2012 Auteur Partager 31 mai 2012 El picador, je tiens juste à signaler qu'au moins 4 des points verts que j'ai reçu en écrivant ce post concernait des personnes qui avaient l'air de se sentir concernés par la pression, le stress de leur travail.Il me semble notamment que tu enfonces des portes ouvertes tous les jours lorsque tu discutes avec tes collègues ( en revanche si tes vaches sont le modèle exemple je doute qu'ils te posent beaucoup de problèmes). Ensuite, j'imagine aussi que ton statut d'agriculteur ne te permet pas d'envisager la possibilité d'une éventuelle crise financière, et donc salariale dans les autres contrées du monde. Sache donc que ton puits ne peut pas abreuver toutes les vaches avoisinantes ( on va dire que les places sont chères).Ce sujet est un sujet d'expression sur le travail, cela m'a donc appris le tien et informée que tu as l'air heureux de l'air de la campagne,J'en suis ravie pour toi. C'est pas le cas de tout le mondeJ'ai jamais dit que je pleurais tous les soirs au fait. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Иди и смотри 31 mai 2012 Partager 31 mai 2012 C'est poche de poster une vidéo et ne rien dire, mais c'est ce que je vais faire... A mon taff on m'appelle l'indienToujours bourré dans la réserve Tu seras gentil, fous moi la paix pour que mon calumet serve J'envoie des signaux de fumée super faciles à décrypter Vu qu'ils veulent tous dire la même chose : Evitez de me parler Ici personne ne s'est choisi comme dans un mariage arrangé On fait semblant moi plus que d'autres, je ne fais ça que pour manger Dans les couloirs ils disent de moi qu'au début j'étais plus sympa C'est vrai, bien obligé, c'était la période d'essai A la cantine toujours un con pour m'inviter à sa table Mais je n'ai rien à y foutre moi comme un coq dans une étable Le principe d'une réu' est d'enfermer des trous du cul Dans une petite pièce sans fenêtre, forcément c'est vite puant Le vendredi c'est décontract' ils portent leurs mocassins en daim Avec leurs têtes de types qui prennent leur pied à la fête des voisins Je les écoute déblatérer dans cette réunion sans fin Calons un point pour le débrief' du point que nous ferons demain Putain, on t'as pas dit à quel point tu n'sers à rien Si t'étais dans un groupe bah tu jouerais du tambourin Mater ma montre fout le cafard, il est peut être Cancer moins l'quart Et si je n'cotise pas pour rien, encore deux heures et quarante piges Pause clope, comme tous ces cons je pars me griller une tige Leur raconte une blague pédophile, regarde leurs sourires qui se figent Comme mon salaire qui ne change pas malgré les jolies marges brutes Fins de mois difficiles, même plus assez pour me payer une pute Tu rêves qu'un type te fasse un môme, moi que tu partes en congé mat' Mais vu ton visage ingrat c'est pas gagné pour ta chatte Sur la même chaise en face de moi depuis 3 ans, ton cul en a assez De regarder passer les promotions canapé T'as l'air dégueu comme un plateau repas mais je dois faire avec Si t'étais pas célibataire tu nous verrais plus que ton mec Surinvesti comme tous ces gens qui à côté n'aiment pas leur vie La seule personne que tu vois le soir c'est le veilleur de nuit T'inquiètes, t'es pas la seule il y en a beaucoup des comme toi Qui se retrouvent pour boire des coups tous les soirs au bar d'en bas Moi à chaque fois c'est pareil, nouvelle excuse pour ne pas prendre un verre Alcoolique anonyme, je ne bois qu'en solitaire Comment vous dire ? Vos vies c'est nul comme une soirée d'entreprise T'étais bourré, t'es dégoûté tout le monde t'as vu serrer Denise Moi j'étais parti aux chiottes, avec la jeune Fanny Personne ne suce mieux qu'une stagiaire qui rêve d'avoir un CDI Ici c'est la pression tout le temps, concours de bites permanent On devrait tous bosser à poil, ça nous ferait gagner du temps Et c'est marrant, ceux qui s'écrasent le plus ont toujours des gamins Si Papa est au chômage, le Pere Noël n'apportera rien Je me rappelle quand j'ai rêvé que les heures sup' étaient payées Et puis que je me suis réveillé parce que l'accueil m'avait appelé Une pizza tiède est arrivée, 10 heures du soir toujours au taff En ce moment ça licencie, un bureau vide m'a dit "fais gaffe !" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
cadavre 31 mai 2012 Partager 31 mai 2012 (modifié) Faut les excuser, ici au Québec l'humour est devenu une maladie que l'on doit saupoudrer partout même quand quelqu'un ouvre son coeur et ne joue pas de game. Il y a beaucoup de poseurs ici, faut pas t'en faire. Laisse les braire, les chiens aboient et la caravane passe. Modifié 31 mai 2012 par cadavre Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DeviantVulture 31 mai 2012 Partager 31 mai 2012 Selon moi, la photographie est un art. Pour avoir vu une certaine partie de ton travail je sais que ce que tu fais est de l'art. Ce que tu vis est l'éternelle problématique de la rénumération de l'art. Si tu veux mon avis, si ca devient trop chiant tu pars avant que cela n'affecte ton produit final. Dans le fond, le plus important est de conserver le goût de créer avec ton appareil. Si le milieu gruge cette "drive", tu devrais partir. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
1984 31 mai 2012 Auteur Partager 31 mai 2012 Je ne pense pas, le rythme est trop soutenu mais j'apprends à me perfectionner sur tout type de chose. Il y a du bon mais aussi du mauvais lorsque tu es un consommable au yeux de certains de tes supérieurs. Je critique surtout l'aspect aliénant du travail dans le contexte de croissance, ce que je fais est instructif mais je me rends compte que je ne peux pas admettre ce conditionnement au stress. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
el_picador 31 mai 2012 Partager 31 mai 2012 Selon moi, la photographie est un art. Pour avoir vu une certaine partie de ton travail je sais que ce que tu fais est de l'art. Ce que tu vis est l'éternelle problématique de la rénumération de l'art. Si tu veux mon avis, si ca devient trop chiant tu pars avant que cela n'affecte ton produit final. Dans le fond, le plus important est de conserver le goût de créer avec ton appareil. Si le milieu gruge cette "drive", tu devrais partir.C'est pas de l'art qu'elle fait, elle aimerait mais non. Y suffit de la lire recracher ses cours de compo et de couleur dans la section dessin.C'est pas parce qu'une photo est belle qu'elle est artistique, c'est juste de la manipulation, lart de manipuler qu'on apprend aux gobelins ou autre école supérieure d'image. L'art d'emmener le regard ou l'on veut et y faire passer une émotion à l'aide de différents outils, ça s'apelle de la semiologie, ça n'a rien d'artistique. Tout est calculé et calibré.Quand ya pas de ligne de force dans les dessins de mothafucka on voit tout de suite 1984 paniquer car ça sort des régles et contraintes qu'on lui a inculqué, pour moi l'art ne subit pas les contraintes.Et là ou elle travaille ils auraient certainement pas embauché une "artiste" pour faire du marketing. Ils ont besoin d'un creatif qui sait ou il va.Après c'est pas parce que son travail n'est pas artistique qu'il n'est pas esthétique et maîtrisé Mais faut arrêter de voir de l'art partout. Est ce que vous considerez un pixar ou un disney comme de l'art ? Non. Pourtant ils travaillent de la même manière que 1984. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
1984 31 mai 2012 Auteur Partager 31 mai 2012 mhh, sauf que j'ai pas pris de cours purement sémiologiques comme tu dis (et que recracher c'est pas bien - message subliminal). Mais bon, je respecte cette gentille façon d'expliquer les faits. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
el_picador 31 mai 2012 Partager 31 mai 2012 Je trouve que c'est une étape cruciale chez un bon créa de se dire qu'il n'est pas un artiste. Quand tu accepte ça, tu vas à l'essentiel et tu fais ce que tu dois faire sans divaguer, et c'est là que tu es le plus efficace et cohérent.Et une fois que t'es devenu un ouf qui n'a plus rien à prouver sur ses compétences et que c'est à ton tour de donner les ordres, là tu peux éventuellement te transformer en artiste.Mais faut tjrs se rappeler que c'est pas notre boulot à la base.Tout ça pour dire que quand on te dis que tu fais de l'art tu ne répond jamais par la négative et ça me gène. Et je pense que ça t'aide pas à avancer. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MattIsGoD 31 mai 2012 Partager 31 mai 2012 T'as l'air obsédé par "l'artiste". Pourquoi? La fille parle essentiellement d'un malaise au boulot, d'une non-reconnaissance de ses efforts et ça, ça s'applique dans n'importe quel domaine. Je ne vois pas pourquoi tu focalises sur le fait qu'elle se considère ou non comme une artiste. C'est loin d'être au coeur de la problématique qu'elle soulève. Je pense pas que quelqu'un en relation d'aide ou en gestion de personnel, qui ressent EXACTEMENT le même malaise que 1984, se considère comme un artiste...Ce qu'elle soulève est somme toute assez pertinent même si j'aurais envie de répondre: "Welcome to capitalism, my friend." Mais bon, ce serait banaliser un sentiment qui n'a rien de banal ou de risible. 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
John X 31 mai 2012 Partager 31 mai 2012 C'est dans la meme branche que faire augmenter la moyenne intellectuel Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
cadavre 31 mai 2012 Partager 31 mai 2012 C'est dans la meme branche que faire augmenter la moyenne intellectuelHeu ???? Passons !Bravo à MattIsGoD pour son intervention, j'aurais voulu faire +1 mais mon stock, pour l'instant, est vide. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
e028182 1 juin 2012 Partager 1 juin 2012 (modifié) Je ne suis pas sûr de comment je dois prendre ton texte, comme une critique du travail qui mènerait à une sorte de déformation de l'humain ou comme le fait plus spécifique d'une personne dont la personnalité ne concorde pas avec son milieu de travail.Tk,j'aurai deux questions,Est-ce que tu as une vision du travail parmi le "groupe" qui se rapproche du chacun pour soi ou du travail d'équipe?Est-ce que tu te sens responsable des autres et penses-tu qu'ils sont responsables de toi? Modifié 1 juin 2012 par e028182 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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