Daniel31ans 22 août 2009 Partager 22 août 2009 Alors pour toi les meilleurs ce sont ceux qui on les moyens de se payer des études couteuses ? Dans quel monde tu vis champion ? Depuis quand quelqu'un qui peut se payer des études est forcément destiné à être un super cinéaste ? Les plus grands cinéastes sont tous issus de familles riches ? Hé bien, dans ce cas, je n'irais plus au cinéma depuis longtemps. Pour toi le prix est juste une manière de dire "c'est cher pour dissuader les cons de ne pas venir", plutôt réducteur. Quelqu'un qui va dans école ne doit pas y aller parce que ses parents on un compte en banque qui avoisine le PIB du Burkina Faso : mais parce qu'il passionné, qu'il a des connaissances et les motivations de le faire, l'argent ne doit être qu'un détail la dedans c'est pas : "Ah bah j'ai pas les moyens de payer alors ce n'est pas destiné à moi ni à ma classe sociale". En tant que société de 7 millions d'habitants, est-ce vraiment une priorité de former 200 ostis de cinéastes par année?!? Tous les ostis de films sont subventionnés à l'os, enfin, les 5 ou 6 qui sortent à chaque année. C'est peut-être intéressant, mais réveille! ça sert à rien. Les vrais passionnés et ceux qui ont un vrai talent (et d'après moi c'est inné, contrairement à d'autres domaines) réussiront. Tu n'as pas besoin d'une famille riche pour aller à l'école (encore moins d'avoir des parents avec un revenu équivalent au PIB d'un petit pays). Les meilleurs, les VRAIS très bons étudiants peuvent facilement avoir des bourses. Dans le pire des cas, les étudiants peuvent avoir des prêts. Quand ils savent où ils s'en vont, ils sont capables de rembourser. Ceci dit, j'ai connu un gars qui a traîné sa maîtrise en histoire de la noblesse canadienne-française pendant 5 ans et malgré les frais de scolarité pratiquement inexistants et des bourses, il faisait des choix idiots (surtout quant à ses emplois) et était financièrement dans la marde. Même si les études sont gratuites, il faut travailler un moment donné. Ça m'écoeure vraiment qu'on insiste tant sur les études universitaires. Les universités sont à moitié remplies d'étudiants qui n'ont pas vraiment d'avenir devant eux (typiquement littérature, philosophie, sociologie...) Ce sont des domaines intéressants pour la culture personnelle et le façonnement de la pensée, mais ça ne met pas de pain sur la table. Tout ces gens devraient aller au cégep faire des techniques et apprendre des métiers manuels dont on a besoin. On instruit trop d'intellectuels pédants et pas assez de vrais travailleurs. Parfait Monsieur Caire. Dans ce cas, sortez moi vos frais de scolarité de l'époque, indexez les aux coûts d'aujourd'hui, multipliez par 4 et PAYEZ LA DIFFÉRENCE MAINTENANT !!!! Vous nous devez de l'argent... Je serait prêt à faire ça avec plaisir. En échange, on doit me rembourser les impôts équivalents que j'ai payés depuis que j'ai gradué. Je dois 25,000$ Le gouvernement me doit 40,000$ 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Milie Vanilli 22 août 2009 Partager 22 août 2009 Comment tu fais pour calculer que tu as payé 40 000$ D'impôts juste pour l'éducation? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Daniel31ans 22 août 2009 Partager 22 août 2009 Comment tu fais pour calculer que tu as payé 40 000$ D'impôts juste pour l'éducation?J'ai pris un chiffre très bas qui est sûrement inférieur à la réalité. C'est malheureusement à peu près impossible à calculer. Le gouvernement ne nous donne pas assez de visibilité sur l'utilisation qu'il fait de notre argent. Je n'ai pas trouvé de données avec les détails.Considère que :- Je suis plus vieux que la majorité des gens ici et j'ai donc plusieurs années d'expérience sur le marché du travail.- Mon salaire n'a jamais été inférieur à 50k$ depuis ma graduation et avoisine aujourd'hui les 100k$- À part les REER, je n'ai pas vraiment de façon d'éviter l'impôt, donc j'en paie un max.Je calcule avoir déjà payé entre 1/4 et 1/3 de million de dollars en impôts. Il y a sûrement au moins 40k$ qui a servi à financer les études universitaires en sciences humaines pas de math de plusieurs personnes ici. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pixel 22 août 2009 Auteur Partager 22 août 2009 (modifié) Je te ferais remarquer que dans les branches qui coûtent cher en formation et qui ne donnent pas nécesairement des emplois très bien rémunénés, y a aussi des domaines en sciences pures, pas juste en sciences humaines, En Chimie, en Physique, en Biologie par exemple.Moi je m'attends pas nécessairement à faire des gros salaires à la sortie de l'école (si je fais 32-35k durant les 5-10 premières années je vais être très content), mais écoute, je pourrais très bien crisser ça là et retourner à la shop, me prendre un poste de régulier, job syndiquée, 25$/H après 5-6 ans d'ancienneté. Mais à quelques part si moi j'aspire à faire quelque chose d'un peu plus valorisant que des jobs de bras, c'est un choix qu'il faut respecter, si on forme trop de cinéastes par exemple, peut-être qu'il serait juste de rendre le programme plus contingenté, mais je ne comprends pas comment on peut arriver à filtrer les étudiants en fonction de leur capacité de payer, ça ne marche pas de même.Ici on est dans une méritocratie, t'as ta chance comme tout le monde, si tu performes à l'école, sur le marché du travail, tu vas mériter ta place dans la société, si tu échoues, c'est too bad parce qu'on t'auras laissé ta chance. Modifié 22 août 2009 par Petrel Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Milie Vanilli 22 août 2009 Partager 22 août 2009 J'ai pris un chiffre très bas qui est sûrement inférieur à la réalité. C'est malheureusement à peu près impossible à calculer. Le gouvernement ne nous donne pas assez de visibilité sur l'utilisation qu'il fait de notre argent. Je n'ai pas trouvé de données avec les détails.Considère que :- Je suis plus vieux que la majorité des gens ici et j'ai donc plusieurs années d'expérience sur le marché du travail.- Mon salaire n'a jamais été inférieur à 50k$ depuis ma graduation et avoisine aujourd'hui les 100k$- À part les REER, je n'ai pas vraiment de façon d'éviter l'impôt, donc j'en paie un max.Je calcule avoir déjà payé entre 1/4 et 1/3 de million de dollars en impôts. Il y a sûrement au moins 40k$ qui a servi à financer les études universitaires en sciences humaines pas de math de plusieurs personnes ici.Et pourtant, mes sciences humaines sans math, c'est pas ça qui coûte le plus cher en formation! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Daniel31ans 22 août 2009 Partager 22 août 2009 (modifié) Et pourtant, mes sciences humaines sans math, c'est pas ça qui coûte le plus cher en formation!Non, et par conséquent l'augmentation des frais de scolarité n'aurait que très peu d'impacts sur toi.C'est un des domaines où le ratio coût-bénéfice est correct, comme la médecine:médecine: coût élevé, bonnes perspectives d'avenirsciences humaines pas de math: coût peu élevé, faibles perspectives d'avenirTu as l'intention de faire quoi dans la vie. Sur des horizons de 5 et 10 ans, mettons...Sans me dire exactement où tu vas travailler, peux-tu au moins me dire le métier que tu veux faire et les conditions s'y rattachant? Modifié 22 août 2009 par Daniel28ans Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Milie Vanilli 22 août 2009 Partager 22 août 2009 (modifié) Non, et par conséquent l'augmentation des frais de scolarité n'aurait que très peu d'impacts sur toi.C'est un des domaines où le ratio coût-bénéfice est correct, comme la médecine:médecine: coût élevé, bonnes perspectives d'avenirsciences humaines pas de math: coût peu élevé, faibles perspectives d'avenirTu as l'intention de faire quoi dans la vie. Sur des horizons de 5 et 10 ans, mettons...Sans me dire exactement où tu vas travailler, peux-tu au moins me dire le métier que tu veux faire et les conditions s'y rattachant?J'ai présentement un très bon emploi à temps plein, et je termine ma maîtrise en service social. Donc, cete hausse n'aura aucun impact sur moi personnellement. Mais je vois l'impact social et sur mes futurs enfants. MOI je vais être capable de leur payer ça je crois. Mais je trouve ça dommage pour ceux qui vont être grandement limités. Une idée de la gauche efficace que j'aimais bien, était que OUI les frais de scolarité pourraient être proportionnels aux frais réels et au salaire moyen relié à l'emploi. Je ne suis pas contre, pour certains programmes comme la médecine. Mais la facture devrait être envoyée une fois la personne en emploi. Ça financerait le système et au lieu que la personne paie 16 000$ par année TOUT DE SUITE, ce qui en découragerait plus d'un, la personne pourrait étudier gratuitement mais payer une fois le salaire adéquat. Modifié 22 août 2009 par Milierock Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Daniel31ans 22 août 2009 Partager 22 août 2009 Ici on est dans une méritocratie, t'as ta chance comme tout le monde, si tu performes à l'école, sur le marché du travail, tu vas mériter ta place dans la société, si tu échoues, c'est too bad parce qu'on t'auras laissé ta chance.Sauf que l'échec n'existe presque plus! Tout le monde recommence autant de fois qu'il veut, tu as droit à autant de chances que tu veux.Ici on est dans une méritocratie, t'as ta chance comme tout le monde, si tu performes à l'école, sur le marché du travail, tu vas mériter ta place dans la société, si tu échoues, c'est too bad parce qu'on t'auras laissé ta chance.Sauf que l'échec n'existe presque plus! Tout le monde recommence autant de fois qu'il veut, tu as droit à autant de chances que tu veux.On est dans une médiocratie, on laisse croire à tout le monde qu'il peuvent faire n'importe quoi. Il y a trop d'emphase sur l'égalité et pas assez sur la performance. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Milie Vanilli 22 août 2009 Partager 22 août 2009 Sauf que l'échec n'existe presque plus! Tout le monde recommence autant de fois qu'il veut, tu as droit à autant de chances que tu veux.Ouais, mais en même temps, chaque personne est libre. Je comprends que le choix des études devrait être RÉFLÉCHI et décidé de façon éclairée et que les changements de programmes à tout bout de champ devraient être évités. Sauf que je trouverais ça dommage de limiter les gens à un seul choix.Personnellement, j'ai moi-même changé d'idée sauf que ça n'a pas eu d'impact vraiment sur mon temps de scolarité. J'ai fait un bac en psychologie et je me suis rendue compte que je ne voulais plus devenir psychologue. J'ai quand même terminé mon bac mais au lieu de continuer au doctorat, j'ai passé directement à la maîtrise en service social en faisant un stage à temps plein et quelques cours de supplément. En tout, j'ai perdu seulement un an. Mais je suis heureuse d'avoir pu le faire, car maintenant, je sais ce que je veux et je travaille dans ce que je voulais faire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Daniel31ans 22 août 2009 Partager 22 août 2009 Ouais, mais en même temps, chaque personne est libre. Je comprends que le choix des études devrait être RÉFLÉCHI et décidé de façon éclairée et que les changements de programmes à tout bout de champ devraient être évités. Sauf que je trouverais ça dommage de limiter les gens à un seul choix.Je ne propose pas de limiter les gens à un seul choix mais plutôt de les conscientiser face à ces choix. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Milie Vanilli 22 août 2009 Partager 22 août 2009 Je ne propose pas de limiter les gens à un seul choix mais plutôt de les conscientiser face à ces choix.Oui moi aussi. Mais on s'enend que les cours d'éducation au choix de carrière au secondaire, c'est pas fameux. Et pourtant ça pourrait être utile avec un peu de changements. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DreD 22 août 2009 Partager 22 août 2009 Je pense que la source du problème se trouve elle-même dans le système d'éducation actuelle (au niveau de la formation au secondaire surtout). Après tout, c'est à la fin de cette étape là qu'on choisi vraiment son cheminement. D'une part, le cours d'éducation en choix de carrière est franchement inutile et pourrait être carrément éliminé, car il ne remplit vraiment pas bien son mandat. Je pense que ce qui est manquant à ce stade, c'est l'intégration des connaissances (reliés les cours entre eux, les interactions et montrer des applications concrètes des connaissances dans des projets appliqués). J'ai cru comprendre que c'est une approche qu'on tente d'implanter, mais j'ai peur que ça soit fait tout croche... Il y aussi qu'à ces âges là (13-16 ans), certains jeunes ne sont pas très fort sur l'introspection. Ils ne se connaissent pas vraiment, ça reste superficiel, et leurs choix se font souvent sur un coup de tête.Au fond, j'en sais rien, je me base uniquement sur mon expérience personnel. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hyraelle 22 août 2009 Partager 22 août 2009 Messemble, les couts sont correct, Scuse, mais ceux qui font un bac en enseignement, passent 10 ans de leur vie a payer cte bac la...Moi jfait un DEP qui coute 400$, pis apres 1 ans et demi d'études jai une job a 10-11$ de l'heure au DÉBUT ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
iEatGLass 22 août 2009 Partager 22 août 2009 Je crois que la capacité de payer de la majorité des étudiants est supérieure à ce qu'on leur demande actuellement. D'ailleurs, s'endetter pour 10 ans avec un bacc en enseignement c'est très mal gérer ses finances.Je crois qu'avec des coûts si bas, pour trop d'étudiants, ce ne sont pas les études que nous subventionnons, mais une voiture, un voyage à Cuba et un MAC.Je serais curieux de voir une étude sur les performances académiques des étudiants travaillant pendant leur étude et ceux ne travaillant pas.Vous irez voir dans les bars les jeudis, vendredis et samedis soir s'ils font si pitié nos étudiants.. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
PetQuiFermente 22 août 2009 Partager 22 août 2009 Je pense que la source du problème se trouve elle-même dans le système d'éducation actuelle (au niveau de la formation au secondaire surtout). Après tout, c'est à la fin de cette étape là qu'on choisi vraiment son cheminement. D'une part, le cours d'éducation en choix de carrière est franchement inutile et pourrait être carrément éliminé, car il ne remplit vraiment pas bien son mandat. Je pense que ce qui est manquant à ce stade, c'est l'intégration des connaissances (reliés les cours entre eux, les interactions et montrer des applications concrètes des connaissances dans des projets appliqués). J'ai cru comprendre que c'est une approche qu'on tente d'implanter, mais j'ai peur que ça soit fait tout croche... Il y aussi qu'à ces âges là (13-16 ans), certains jeunes ne sont pas très fort sur l'introspection. Ils ne se connaissent pas vraiment, ça reste superficiel, et leurs choix se font souvent sur un coup de tête.Au fond, j'en sais rien, je me base uniquement sur mon expérience personnel.Parfaitement d'accord, moi de mon côté avant la réforme ils nous faisaient chercher des emplois classés selon le code Holland (RIASEC), c'est à dire notre champs d'aptitudes/compétences, d'intérêts ainsi que de traits de personnalité, qu'il fallait trouver à l'aide de tests bidons, dont les résultats sont souvent biaisés par notre propre personne, soit avec l'objectif de confirmer nos envies/prédictions, ou encore, comme l'a souligné DreD, par une capacité d'introspection limitée. Le cours est souvent donné par un professeur frais sorti de l'université, sans formation en orientation, il n'occupe qu'une minuscule période sur l'horraire des élèves, et ces derniers le prennent rarement au sérieux (souvent l'occasion de barbouiller son agenda, jouer avec son cellulaire.etc).Au final, 80 % des élèves quittent le secondaire avec en tête de devenir medcin, infirmière, vétérinaire, méchanicien automobile, policier, pompier ou encore psychologue. L'ECC est essentiellement inutile, mais le problème réside dans la formation générale du secondaire elle-même; les cours d'introduction qu'on voit au Cégep ou aux DEP devraient être offerts en version simplifée dès la troisième année du secondaire, pour élargir la perspective d'avenir des étudiants (car à part les cours de Chimie/Physique, travaux manuels, arts plastiques, les suggestions de carrières se font prier). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mâle Alpha 22 août 2009 Partager 22 août 2009 Chacun va payer 30% de ses études. Ça va être beaucoup plus cher pour les médecins, les ingénieurs ou les avocats, mais ils auront les moyens de repayer avec leurs emplois. Ça va conscientiser les gens. On est presque moitié moins cher que dans les autres provinces.Pour les sociologues et autres de l'UQAM, ça ne devrait pas trop changer.Je dois avouer que je ne suis pas trop d'accord avec ça. L'objectif devrait être de rendre attrayante les professions où il y a un manque (comme la médecine ou certains DEP et DEC). Je préfère un système complètement opposé à celui qui est proposé: études complètement gratuites pour les professions en demande et dans les autres disciplines, on donne sous forme de bourse l'équivalent de la gratuité seulement aux meilleurs, selon les besoins. Par exemple, quiconque étudie en médecine (s'il a les notes pour) n'aurait rien à payer. Pour ceux en philosophie, seules les 2 meilleurs étudiants au Québec dans la discipline pourraient bénéficier d'une bourse d'exemption (je doute qu'on ait besoin de plus de 2 philosophes par année). Pour les 1000 autres étudiants, ils devraient débourser 100% des coûts, sans aucune contribution gouvernementale. Ce système aiderait à diriger les étudiants vers les domaines utiles et comblerait les besoins en main-d'oeuvre. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
iEatGLass 22 août 2009 Partager 22 août 2009 Le problème Allah, c'est le financement pas le nombre d'inscriptions.Ce qui explique le manque de médecin en ce moment c'est les limites budgétaires du gouvernement, pas celle des étudiants ou l'intérêt de ceux-ci envers la profession. C'est déjà pratiquement gratuit d'étudier la médecine, enlève 1000$ de coûts par année, le nombre de médecins n'augmentera pas. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mâle Alpha 23 août 2009 Partager 23 août 2009 Le problème Allah, c'est le financement pas le nombre d'inscriptions.Ce qui explique le manque de médecin en ce moment c'est les limites budgétaires du gouvernement, pas celle des étudiants ou l'intérêt de ceux-ci envers la profession. C'est déjà pratiquement gratuit d'étudier la médecine, enlève 1000$ de coûts par année, le nombre de médecins n'augmentera pas.Oui, mais avec un système du genre, le gouvernement sauverait sans doute beaucoup et n'avant pas à payer pour les étudiants inutiles ou stupides et pourrait réinvestir l'argent sauvé dans les domaines importants. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Le_Pervers 23 août 2009 Partager 23 août 2009 En Chimie, en Physique, en Biologie par exemple.You, good sir, fail. Certaines branches de ces disciplines ne rapportent rien (par exemple, l'astronomie a très peu de débouchés... ou les écologistes en bio, selon ce qu'on me dit), mais chacune de ces disciplines en moyenne permet un bon taux de placement à de relativement bons salaires. En Physique, on a acotte facilement les ingénieurs en terme de salaires. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pixel 23 août 2009 Auteur Partager 23 août 2009 (modifié) Je dois avouer que je ne suis pas trop d'accord avec ça. L'objectif devrait être de rendre attrayante les professions où il y a un manque (comme la médecine ou certains DEP et DEC). Je préfère un système complètement opposé à celui qui est proposé: études complètement gratuites pour les professions en demande et dans les autres disciplines, on donne sous forme de bourse l'équivalent de la gratuité seulement aux meilleurs, selon les besoins. Par exemple, quiconque étudie en médecine (s'il a les notes pour) n'aurait rien à payer. Pour ceux en philosophie, seules les 2 meilleurs étudiants au Québec dans la discipline pourraient bénéficier d'une bourse d'exemption (je doute qu'on ait besoin de plus de 2 philosophes par année). Pour les 1000 autres étudiants, ils devraient débourser 100% des coûts, sans aucune contribution gouvernementale. Ce système aiderait à diriger les étudiants vers les domaines utiles et comblerait les besoins en main-d'oeuvre.C'est déjà mieux que ce que propose Daniel28ans. Il me semble qu'ils fonctionnent un peu comme ça en Allemagne (Est-ce que je me trompe?) Pourtant y a des "universités du peuple" comme l'UQAM qui n'ont pas ce mandat, qui se doivent d'accepter tout le monde, et ça finit par faire fuir les meilleurs étudiants et les meilleurs profs. Le problème avec ce système c'est que ça risque de faire comme avec les écoles privées au secondaires, des écoles privées sélectives qui vont avoir les fonds publics et les meilleurs étudiants, et d'un autre bord le réseau des universités "d'État" qui vont receuillir tout le reste. C'est déjà un peu ça mais ça risque juste de s'accentuer si on commence à faire ce qu'Allah est gland souhaite.You, good sir, fail. Certaines branches de ces disciplines ne rapportent rien (par exemple, l'astronomie a très peu de débouchés... ou les écologistes en bio, selon ce qu'on me dit), mais chacune de ces disciplines en moyenne permet un bon taux de placement à de relativement bons salaires. En Physique, on a acotte facilement les ingénieurs en terme de salaires.D'accord j'enlève la Physique, mais avec un bac en Biologie ou en Chimie je ne vois pas trop ce qu'on peut faire. Modifié 23 août 2009 par Petrel 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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