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La chefferie du PQ


  

41 membres ont voté

  1. 1. Advenant la démission de Pauline Marois, qui serait le plus apte à diriger le PQ ?

    • Bernard Drainville
      6
    • Pierre Curzi
      6
    • Gilles Duceppe
      20
    • Agnès Maltais
      0
    • Autres...
      9


Déchet(s) recommandé(s)

Moi je verrais bien Drainville la remplacer. Il est jeune, intelligent et posé. Curzi est un émotif qui ne se contrôle pas, pire que Labeaume. Duceppe est un has been qui n'a jamais dirigé quelque chose. J'ai mis Maltais parce qu'elle a de l'expérience, mais je ne crois pas qu'elle serait bien placée. Sinon... Legault ? Mais il ne voudrait jamais.

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Le PQ est un vieux parti avec des vieilles idées et aucun des chefs potentiels peut changer cela, malgré que les propositions de Drainville en rapport avec la démocratie étaient très intéressantes.

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Question encore plus importante: Pourquoi Marois démissionnerait-elle?

Parce qu'elle n'a pas le charisme et le leadership nécessaires pour être chef d'un parti. Elle l'a encore moins pour réaliser l'indépendance d'une nation. Cela est sans compter le fait qu’elle n’a pas vigoureusement défendu les questions identitaires et linguistiques lors des débats qui concernaient la place que ces derniers doivent avoir en société. Les différents congrès du PQ se caractérisent bien souvent par l’émission de propositions aussi molles les unes que les autres. Ça prend quelqu’un de ferme et de rassembleur au Parti Québécois.

Malheureusement, j’en vois aucun présentement.

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Question encore plus importante: Pourquoi Marois démissionnerait-elle?

Comme Lucien Bouchard, elle se tannera des poignards dans le dos et de la pression de l'aile radicale de la souveraineté.

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Parce qu'elle n'a pas le charisme et le leadership nécessaires pour être chef d'un parti. Elle l'a encore moins pour réaliser l'indépendance d'une nation. Cela est sans compter le fait qu’elle n’a pas vigoureusement défendu les questions identitaires et linguistiques lors des débats qui concernaient la place que ces derniers doivent avoir en société. Les différents congrès du PQ se caractérisent bien souvent par l’émission de propositions aussi molles les unes que les autres. Ça prend quelqu’un de ferme et de rassembleur au Parti Québécois.

Malheureusement, j’en vois aucun présentement.

Je n'ai pas dit que je la trouvais bonne, j'ai juste dit "Pourquoi démissionnerait-elle?" Que pourrait-il arriver de PIRE qui puisse la pousser à quitter son poste?

C'est bien beau spéculer, mais Madame Marois ne démissionnera pas tant qu'elle aura la confiance du parti et aux dernières nouvelles, malgré quelques départs de gens de l'aile radicale du parti, elle a encore la cote chez les militants.

Faudrait pas laisser quelques hurluberlus affecter votre lecture de l'unité du parti. Oui, il y a des mécontents, mais c'est la même frange qui répète les mêmes choses. Rien de nouveau sous le soleil.

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Est-ce qu'une course à la chefferie serait vraiment une bonne chose pour le PQ ? Est-ce qu'ils ont vraiment dans leurs rang une personne qui ferait vraiment une différence ?

Personnelement, quand je vois le PQ j'ai l'image de vieux politiciens complètement déconnecté des nouvelles réalités du Québec et j'ai justement l'impression que si Marois s'enva le partie va ce retrouver avec Gilles Duceppe comme chef et je ne vois pas ce qu'il apporterait de bien outre d'autre conflit dans ce partie déjà entredéchiré.

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Malheureusement, je ne crois pas que Pauline va partir. Il faut se rappeler qu'elle est en politique avant tout pour devenir la première femme premier ministre du Québec et non pour la souveraineté. Lâcher maintenant, même si cela permettrait de faire avancer la cause qu'elle prétend défendre (la souveraineté), serait pour elle la fin de son ambition première.

C'est bien beau spéculer, mais Madame Marois ne démissionnera pas tant qu'elle aura la confiance du parti et aux dernières nouvelles, malgré quelques départs de gens de l'aile radicale du parti, elle a encore la cote chez les militants.

Faudrait pas laisser quelques hurluberlus affecter votre lecture de l'unité du parti. Oui, il y a des mécontents, mais c'est la même frange qui répète les mêmes choses. Rien de nouveau sous le soleil.

Il ne faut pas croire que les militants et politiciens disent aux médias. Tout le monde fait semblant de soutenir son chef en public, sauf le jour où ils décident de démissionner parce qu'ils en ont assez.

Et dis-moi que tu ne qualifies pas réellement Curzi, Beaudoin et les autres démissionnaires de "radicaux". Ça serait vraiment risible de la part d'un communiste!

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Malheureusement, je ne crois pas que Pauline va partir. Il faut se rappeler qu'elle est en politique avant tout pour devenir la première femme premier ministre du Québec et non pour la souveraineté. Lâcher maintenant, même si cela permettrait de faire avancer la cause qu'elle prétend défendre (la souveraineté), serait pour elle la fin de son ambition première.

Il ne faut pas croire que les militants et politiciens disent aux médias. Tout le monde fait semblant de soutenir son chef en public, sauf le jour où ils décident de démissionner parce qu'ils en ont assez.

Et dis-moi que tu ne qualifies pas réellement Curzi, Beaudoin et les autres démissionnaires de "radicaux". Ça serait vraiment risible de la part d'un communiste!

Radicaux du mouvement souverainiste, pas radicaux, radicaux. Mais bon, encore une fois, t'es incapable de faire la part des choses, GROSSE OSTI DE SURPRISE!

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Radicaux du mouvement souverainiste, pas radicaux, radicaux. Mais bon, encore une fois, t'es incapable de faire la part des choses, GROSSE OSTI DE SURPRISE!

C'est quoi un radical du mouvement souverainiste? Que je sache, Curzi et Beaudoin n'ont jamais proposé de prendre les armes. Le terme est un peu fort. Je vois que le PLQ a bien réussi sa stratégie de qualifier toutes les propositions d'affirmations identitaires du PQ de "radicales", de manière à ce que ce terme soit repris dans la population en général pour discréditer l'option.

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Par rapport à son vote de confiance, je connais plusieurs personne qui en étaient et tous s'accordent pour dire qu'il y a eu un pushing ÉNORME pour obtenir ce résultat historique. Évidemment qu'elle va s'en servir pour s'accrocher au pouvoir mais entre vous et moi, ça ne vaut absolument rien.

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(modifié)

C'est quoi un radical du mouvement souverainiste? Que je sache, Curzi et Beaudoin n'ont jamais proposé de prendre les armes. Le terme est un peu fort. Je vois que le PLQ a bien réussi sa stratégie de qualifier toutes les propositions d'affirmations identitaires du PQ de "radicales", de manière à ce que ce terme soit repris dans la population en général pour discréditer l'option.

Moi je crois au contraire que de se faire traiter de "radical", ça serait flatteur, surtout de la part d'un communautariste vendu comme Jean Charest.

http://fr.wikipedia....al_%28France%29

Moi-même, je suis assez à gauche sur les questions économiques, mais contrairement au PLQ/PLC et même au NPD, je me considère plus près des idées des "radicaux" sur les questions identitaires. Fuck off le multiculturalisme, les histoires de discrimination positives c'est de la bullshit. Liberté, égalité, fraternité, voilà les trois mots que je veux entendre de la part de nos politiciens. Tu veux t'intégrer à ta société d'accueil, t'es un frère, on va te donner les outils pour y arriver, sinon et bien, c'est dommage, mais t'as p'être pas d'affaires ici, et ne vient pas te plaindre après si tu rencontres des embuches dans la vie, que t'as de la misère d'intégrer (te trouver un job par exemple).

Modifié par Pixel
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Euh personne?

Je pense que le résultat du vote de confiance démontre clairement que le PQ va couler ou va gagner avec Marois. Il n'y a personnes d'autres... sauf si Duceppe vient jouer le trouble fête. Drainville et Curzi n'ont aucunement le charisme nécessaire pour mener le bateau et Maltais.. come on, aussi bien garder Marois. Remarquez que la même critique peut se faire aux PLQ. Quand Charest va quitter cet automne, je ne sais même pas qui pourrait prendre sa place.

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René Lévesque:1968-1985 (17 ans)

Pierre Marc Johnson: 1985-1987 (2 ans)

Jacques Parizeau: 1988-1996 (8 ans)

Lucien Bouchard: 1996-2001 (5 ans)

Bernard Landry: 2001-2005 (4 ans)

André Boisclair: 2005-2007 (2 ans)

Pauline Marois: Depuis 2007 (4 ans)

Vous remarquez le temps décroissant accordé à chaque chef su PQ depuis Lévesque (ne comptant pas Pierre Marc Johnson) jusqu'à Pauline Marois. C'est un peu con de changer aussi rapidement de chef dans une "tempête" créée par le PARTI LUI-MÊME dans les médias. Marois devrait rester. On est passé d'un record d'approbation historique à une chicane intestine. Mais dans le fond, ceux qui mettent de l'eau au moulin, se sont les démissionnaires. Peut-être que parmi les députés et les militants, y'a pas tant de discorde. Les médias donnent de l'encre et du temps à ceux qui envoient des communiqués, tsé. Au niveau de la population en général par contre, ça les fait passer pour des clowns. Surtout Curzi qui dit qu'il reviendrait au PQ, juste si Marois s'en va, parce qu'il voudrait briguer la chefferie. Quel connard. Et le parti serait prêt à l'accueillir! HA! Moi, il mangerait son pain noir sur un esti de temps!

Le meilleur choix serait Duceppe (même si moi je n'en voudrais pas), juste parce que les Québécois votent tellement n'importe comment qu'après l'avoir sorti d'Ottawa, ils le mettraient Premier ministre ici.

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C'est quoi un PQ?

Sérieusement c'est pas mal cute de les voir laver leur linge sale en publique, avec des amis comme ça on a pas besoin du parti libéral...

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Je ne souhaite pas le départ de Marois, mais advenant le cas où ses adversaires au sein du parti arrivaient à la faire tomber, je souhaiterais que ce soit Gilles Duceppe le chef.

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Pour gérer un parti politique comme le PQ, ça prend quelqu'un qui à un charisme extraordinaire ou une paire de couille gigantesque. Malheureusement y a pas un politicien de cette carrure parmi toute la classe politique actuelle.

Le seul politicien capable de créer de l'engouement autour d'un projet commun, dans les 25 dernières années, n'était pas dans le bon camp, et il est mort la semaine dernière.

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Ça me fait rire de voir les gens chercher une solution pour réanimer le mouvement souverainiste au Québec. On pense que le problème vient de la tête dirigeante du Parti Québécois : de la petite madame plus préoccupée à devenir la première femme première ministre que première ministre tout court. Devant un tel constat, on croit que l’avenir du parti et de la souveraineté réside dans un changement à la chefferie. On est déjà en train de spéculer sur le successeur de Marois, et ça, on le fait avant même d’avoir penser au fait qu’elle n’a jamais parlé de démissionner.

Mais qu’elle reste à la tête du parti ou qu’elle soit remplacée par l’honorable Gilles, le problème va rester le même : la population va rester autant déconnectée devant l’enjeu de la souveraineté. On dirait que le parti essaye encore de servir la cause des militants des années 80 qui se sont battus à cette époque pour une nation québécoise. Les personnes les plus susceptibles d’être rejointes par ce que défend le PQ sont les vieux de la vieille, les gens qui ont oublié les réels motifs de cette lutte menée pour la souveraineté, ceux qui appuient le parti par tradition.

Que le parti change de chef, et que celui-ci aille plus d’aplomb que sa prédécesseur, qu’il aille le cran pour finalement parler de souveraineté : pour inviter la population à venir voter pour un référendum, rien ne changera le fait que l’engouement qui fut jadis créé ne réapparaîtra pas. Résultat : un beau gros NON majoritaire pour venir fermer la trappe de ceux qui ne décrochent pas. Nous vivons aujourd’hui dans un contexte historique bien différent, la menace anglaise n’est maintenant plus un argument vendeur. On pourrait bien essayer de créer un sentiment de peur devant l’invasion immigrante, mais un pays dirigé par le PQ serait probablement plus slack sur la pédale de l’immigration que le Canada actuel. Les enjeux ont changé, et les symboles représentant un Québec libre sont différents.

Si les gens veulent un jour voir le Québec devenir un pays, ils doivent comprendre que les choses ont changé, que l’électorat est jeune et déconnecté de l’ancien monde souverainiste. Ils doivent comprendre que le mouvement souverainiste doit subir une actualisation, un renouveau total. Il faut recréer la fièvre des années 70, et ça, ce n’est pas les vieillards dépéris et mélancoliques carburant aux souvenirs d’une population qui a déjà cru qui pourront être les moteurs de la création d’un tel sentiment. Si les gens veulent un jour voir le Québec devenir un pays, ils ne peuvent souhaiter rien de mieux que la mort du PQ. La mort de l’ancienne pensée démodée. En d’autres mots, il faut que le mouvement renaisse avec une âme plus jeune, plus dynamique et surtout connecté avec la réalité actuelle.

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