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90% des rêves que nous faisons sont sans la moindre importance. Nous nous en souvenons rarement et leur contenu reste toujours presque strictement manifeste. Nous mangeons, avons des relations sexuelles etc. Cependant il arrive qu'un rêve marque particulièrement une personne. Le contenu de ce rêve, dit latent, nous intéresse dans le mesure ou nous pouvons arriver à extirper de cette apparente mer surréaliste une peur refoulée ou un désir submergé dans l'inconscient.
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Il y a toujours un jouet que nos parents nous refusaient. Pour des raisons qui, pour un enfant ne compte pas. -Trop cher. -Trop Facile. -Ne représente pas les valeurs des parents. -Où d'autre raisons "d'adulte" Moi c'était un Bug Maker un peu comme celui là. http://www.youtube.com/watch?v=O-K0j2vrWDs&feature=related Ils ne m'ont jamais vraiment expliquer pourquoi je ne pouvais pas l'avoir. Mais c'est le prochain cadeau de mon filleul.
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Une histoire pas comme les autres
Chicken of the infinite a publié un sujet dans #0420 - MATIÈRES PSYCHIQUES
Je vous averti; rien de tout ce qui va suivre ne fait de sens. Le 15 décembre j'avais marre de cette société et je me sentais prise au piège. Mentalement c'était le bordel; je souhaitais fuir ma vie et repartir à nouveau. J'ai créé une scène de crime dans mon appartement. J'ai étampé mes bobettes dans le mur avec un tournevisse et j'ai écrit des obscénités sur le mur. J'ai foutu un peu de sang; un peu partout (je me suis fait une entaille); et j'ai coupé très court ma belle chevelure dorée. Je me suis fait une fausse barbe avec de la peinture et je me suis rendue à Montréal dans le but d'aller vivre dans un refuge pour sans-abris. On s'entend que tout cela ne fait pas de sens; mais pour moi en ce temps ça le faisait. J'étais en route pour l'aventure. Je me suis rendue dans un mcdonald à la gare centrale où j'ai versé moultes larmes et puis je voulais un taxi. J'avais tellement l'air chippée que tous les taxi me fuyaient. J'ai piqué une crise et je me suis mise à smasher mon ipod sur une colonne. Un garde de sécurité est venu me voir pour me dire: -Madame! Vous n'avez pas le droit d'attaquer les colonnes. J'étais comme: -Elle a rien la colonne! Puis.. faute de taxi qui voulaient de moi j'ai aperçu des cônes oranges et j'ai décidé de bloquer la gauchetière pour avoir un transport. Tempête de neige plein le ciel. Le garde de sécurité est revenu me voir: -Madame! Vous n'avez pas le droit de bloquer la rue avec des cônes oranges. Finalement, il a appelé la police qui sont venu me parler alors que j'étais en larmes, déguisée en mec, à côté de mes effets personnels. Ils ont confisqué mon x-acto et mon tournevisse que j'avais emmené pour ma sécurité personnelle. Ce fut long avant que l'ambulance arrive parce que la tempête faisait rage. Voulaient évidemment m'emmener chez les fous. J'ai dit à la policière: -J'ai faim et ne m'enfermez pas dans une pièce barrée. Arrivé à l'hôpital St-Luc; ils ont refusé de me nourrir et m'ont enfermé dans une salle d'isolement grande comme ma gueule et m'ont privé des chiottes. J'ai pissé partout pour protester (si j'avais eu un pénis j'aurais pissé au plafond) et puis un nègre est entré dans la pièce et je lui ai dit à moitié désolée: -Monsieur vous marchez sur l'eau! Puis, ils voulaient me faire un piss test. J'ai fait exprès de renverser de l'eau sur ma jaquette et de mouiller mes mains pour toucher le préposé et lui faire croire que j'étais pleine de pisse pour le dégoûter. Passé ensuite quelques heures à chanter des chansons cochonnes et à parler avec mon gobelet de stiromousse pour simuler que j'étais dingue et écarter les soupçons. Ceci ne fait évidemment aucun sens et je m'amusait à traiter les infirmiers de bleuets en raison de la couleur de leur uniforme et pour les emmerder. Ils m'ont déplacé jusqu'à l'hôpital Notre-Dame avant de me ramener à l'hôpital de ma ville natale. J'ai voulu refuser tout traitement et eux voulaient me garder alors.. lorsque je suis descendue pour fumer une cloppe.. je me suis sauvée et j'ai été me cacher chez ma pote. Finalement, nous avons manqué de cigarettes et dans l'ampleur de mon délire je voulais aller chez moi chercher une cagoule pour faire un dépanneur avec une banane. J'ai demandé à un gars que je connaissais de m'aider à défoncer chez moi (j'avais pas mes clefs) pour que je puisse ramasser ma cagoule. Évidemment rien de ceci ne fait de sens et lorsque je suis rentrée dans mon appartement que je venais de défoncer la police est arrivée! J'étais comme FUCK. J'étais apparemment recherchée. J'ai courru vite, sauté une clôture, parcouru une bonne distance à la course et finalement un policier m'a attrappé par le bras. Je lui ai dit: -Je m'apelle Amanda (??)... Laissez moi fuire! Il a refusé. Je lui ai fait une passe de kungfu et j'ai couru encore. En me poursuivant, le policier a pogné une débarque sur la glace, puis une autre voiture est arrivée... J'ai contourné un agent en faisant un feinte et puis finalement la poursuite s'est arrêté lorsqu'une policière a réussis à me faire une jambette. Ils m'ont crissé à terre dans la neige et m'ont passé les menottes pour ensuite me relever et m'épousseter. Moi de crier: -JMEN CALISSE JPAS UNE OSTIE DE TAPETTE. Puis la police de me demander ce que j'avais contre les tapettes. Bref, ils m'ont crissé sur le char, puis m'ont crissé dans le char où j'ai éclaté de rire quand le policier a mentionné sur leur chat de police: -J'ai tombé sur la glace. : ( Puis que le gars à l'autre bout lui réponde textuellement: -Kool Dans le bureau du médecin qui m'a accueillit à mon retour je parlais de me procurer un gun et je chialais sur l'économie. Finalement, suite à toute ces fresques, j'ai passé deux mois sans avoir le droit de mettre le nez dehors sur un étage de fous où je multipliais des paranoyas sans sens. J'ai passé en cours trois fois et ça s'est rendu devant la cours du Canada où même le juge riait tellement que cette histoire n'avait pas d'osti de rapport. haha et le médecin m'a dit dans son bureau: -[mon nom] t'as pas le droit de tuer ton identité! J'tais morte de rire. Verdict: Psychose aigue -
J'ai connu la psychiatrie non par moi-même, mais pour des proches qui y sont passé rapidement. Ça fait trois fois que ma mère entre à l'urgence psy depuis 2008. J'ai passé la journée hier (accompagnée de mon frère et de ma soeur, je suis l'ainée) a appelé différents intervenants afin de voir comment mettre fin au délire auto-destructeur de ma mère (elle est alcoolo ET sous anti-dépresseurs, tout le monde dans la famille soupçonne qu'elle a des bibittes... elle a des idées fixes, persécution.. tu ne peux pas ne pas te nourrir pendant cinq ans sans que le manque de minéraux affectent ton cerveau, m'semble). Et quand je lui en parle, elle ne nie pas disparaitre lentement mais surement... Bref. Au cours des dernières semaines : élément déclencheur, situation de crise, aggravation de l'état de ma mère, médecin en vacances, super. Hier, il fallait mettre un frein à ça. Ce fut un merveilleux après-midi, j'ai adoré **tousse tousse** caller la police pour ma mère. Comme elle ne va pas se tuer activement, ils n'ont pas jugé pertinent de l'amener. Les ambulancières ont diagnostiqué autrement la situation. Elles ont été exceptionnelles, elles ont rappelé la police. Ma mère est rentrée à l'hôpital à la fin de journée/semaine. Le hic : Le psychiatre ne veut pas nous écouter. Il veut seulement parler à ma mère, qui était directrice des finances. Elle sait parler aux hommes à cravate, aux gens en uniforme. Elle sait comment être professionnelle. Tout porte à croire qu'encore une fois, elle sera 'libérée' dans quelques heures. Elle va être toute orgueilleuse, nous regarder d'un air fier (délirant) : 'regardez comme je n'ai rien, regardez comment mes réactions sont normales'. Vous comprendrez que pour que j'envoie ma mère contre son gré à l'hôpital, il doit y avoir quelque chose. Ça fait faire PLUSIEURS FOIS que je contacte ces ressources : travailleuse sociale, médecin de famille (qui lui dit qu'elle ressemble à un cadavre, mais la laisse partir sans rien faire - good job girl), la psychiatrie, le centre de crise, le centre de prévention du suicide, la boussole, les AA, les ambulanciers, les policiers, le CRUV, la Villa Saint-Léonard... Là, ma tante en a plein son casque, elle va quitté le bateau. Il va rester moi pour gérer cette situation. ... Si le psychiatre la fait sortir aujourd'hui, j'ai pu d'ressources. Elle va crever. J'sais pas quoi faire. On m'a donné les coordonnées d'une religieuse qui travaille avec les jeunes de la rue. Si cette soeur fait de la meilleure job que TOUT le système de santé depuis huit ans, vous allez en entendre parler en mautadine. Le système de services sociaux ne peut pas fonctionner : c'est pas humain. Ceux qui y travaillent sont, bien malgré eux, réduits à des pièces d'un système. Si la personne à traiter n'entre dans aucune catégorie précise, elle n'est pas prise en charge. Et les p'tits intervenants de 22 ans qui sortent de leur technique en travail social, ils sont gentils et pleins de bonne volonté, mais sont'pas crédibles pentoute (sauf l'ambulancière d'hier qui été exceptionnelle). J'pas contente.
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J'aimerais que ce sujet serve a exposé vos plus grand traumatismes et la façon dont vous vous en êtes sorti ,sinon la façon dont vous croyez vous en sortir . Pour ma part , Brûlure 3ieme degré a l'adolescence au niveau du visage sa dois avoir pris quelque chose comme 5-7 ans avant que je ne sois de nouveau en paix avec moi-même . J'ai décidé d'affronter ma peur du public ,du rejet de la manière dûre c'est-à-dire recommencer les sorties en public faire ce que j'ai envie de faire ,me regardé dans le miroir et me dire: je suis beau a toutes les fois que sa ce présente. Soutenir le regard des gens a la place de baissé la tête A vous
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Venez y pondre vos incohérences et inepties issues d'un état de conscience altéré! Il faut bien gagner son ciel!
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