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Bon, après avoir analyser la position dans laquelle je dormais la nuit dernière, je me suis posé une question concernant le sommeil. Est-ce que la position que l'on prend pour dormir, l'orientation de notre corps par rapport au points cardinaux, le coté sur lequel on met notre tête. si on prend tout le lit ou juste une petite partie, si on bouge beaucoup ou non a quelque chose a révèlé sur nous, nos habitudes, notre personnalité, notre quotidiens ETC.. J'ai déja entendu parler que chaque individu a un point cardinal qui lui est favorable sur le sommeil, y a t-il d'autre croyance sur le sommeil? Sur ce, Bonne Nuit!

Alors voilà, je suis tombé sur ça aujourd'hui, je me demandais comment trouver le temps pour tout faire, sans être complètement épuisé. À ce qu'il paraît, il existe une autre méthode de sommeil qui consiste à dormir seulement par des siestes dans sa journée. Deux méthodes de sommeil polyphasique existent, la méthode Uberman et Everyman. La méthode Uberman consiste à dormir 6 tranches de 20-30 minutes dans sa journée. L'avantage de cette méthode c'est qu'on peut dormir seulement 2-3 heures dans la journée. Par contre, il faut être très discipliné pour ne pas retarder ses siestes. C'est pas très pratique quand on a un travail, des cours, une vie sociale, etc. La méthode Everyman consiste à dormir une sieste principale de 3 heures (2 cycles de sommeil), plus 3 siestes de 30 minutes dans la journée. L'avantage avec cette méthode c'est qu'on peut décaler plus facilement ses siestes (plus adapté à la réalité). En répartissant son sommeil sur des petites siestes, notre corps se dépêche pour rentrer dans le sommeil profond. Pourquoi je veux essayer ça? Parce que j'aimerais ça avoir 3-4h de plus dans ma journée pour faire autre chose. Actuellement, je dors peut-être 5h par nuit durant mes journées de cours, 9-10h la fin de semaine voir plus, 6h lorsque je travaille. Durant la période des fêtes je vais essayer de me mettre à la méthode Everyman, ainsi je vais dormir 3 heures entre 22h00 et 1h00, 30m entre 6h30 et 7h00, 30m entre 11h30 et 12h00 et 30m entre 16h00 et 17h00. Je crois pouvoir relever le défi, j'ai toujours eu le sommeil facile. Je vais laisser mes commentaires au fur et à mesure.

La paralysie du sommeil. C’est comme un film d’horreur dont vous êtes le héros. La peur est réelle et les visions sont troublantes. En parlant avec le copain de mon frère, je me suis mise à m’intéresser au phénomène qui m’avait jusque-là toujours semblé à la frontière de la fiction et de la dramatisation – en fait je sais pas pourquoi c’est juste maintenant que je trouve ça aussi fascinant, peut-être parce que je retombe doucement dans une phase où j’aime me faire des peurs. Il m’a raconté, donc, qu’il lui arrivait d’avoir des épisodes où il essayait de toutes ses forces de bouger, mais, qu’au mieux, il émettait un cri sourd et tiltait légèrement de la tête dans l’espoir de réveiller mon frère pour qu’il le sorte de son calvaire. Pendant ses états de paralysie, il est en proie à des expériences qui déclencherait sans aucun doute des cas d’énurésie même chez les spincters les plus avertis. Les témoignages tendent à converger vers des apparitions similaires, soient des silhouettes noires et brumeuse, des présences démoniaques, des aliens. Les variations sont généralement attribuables à la culture. Dans son cas à lui, c’est plus comme les PIRES MONSTRES DE FILM JAPONNAIS (Kanashibari) qui s’approchent lentement, allant même jusqu’à monter sur le lit et s’étendre face à lui pour le fixer longuement dans le blanc des yeux. Y’a gagné le gros lot des affaires épeurantes, finalement. Y s’en vient tard, y fait noir. Là je rédige ça pour vous pis ça me creep out. Un documentaire (documentaire... faut le dire vite, plutôt un regroupement de témoignages) présentement disponible sur Netfilx nous propose une reproduction visuelle des terreurs vécues et narrées par des gens qui ont accepté de partager leur expérience. Le film en tant que tel est so-so, mais ça fait une bonne job pour comprendre l'émotion absolument insoutenable qui accompagne la paralysie du sommeil. Personnellement, le fait de savoir que ça peut m'arriver à moéssi, ça a rendu le visionnement un peu plus freakant. Sur reddit on retrouve plein d'exemples : · - A little girl in the corner of my room staring at me. Then, without notice, she shrieks and runs up and starts choking me. · - A large dark figure, kind of a human silhouette, emerging from the foot of my bed and staring down at me. · Something banging and scraping on my bedroom door. I keep it locked at night because I have had ones where it opens by itself. EDIT: No, the door isn't open when I wake up. It only opens in the dream. · - My bedroom door opening by itself followed by dark figures coming into my room. · - A small child hand came out from under my bed followed by his head. No eyes, no nose, jut three weird slits for a mouth. He looked at me for a second then whispered "I can only see the scariest things". Osti han. Certains facteurs semblent rendre davantage vulnérable à l'appartion d'épisodes : le silence ambiant, la position de sommeil (dos et ventre), l’anxiété et de pauvres habitudes de sommeil. Avez-vous déjà vécu ce genre d'histoire? Si oui, comment faites-vous pour pas popper des speeds jusqu'à la fin des temps?

Hey la gang. Un sujet assez universel merci. C'est quoi votre position de sommeil ? Pour amorcer la discussion voici des statistiques: Svp: posez des questions sur le sommeil dans vos interventions.

Je suis présentement à la recherche de participants masculins (on a déjà assez de femmes dans notre échantillon) pour une étude de sommeil. Cette étude a pour sujet le rôle spécifique du sommeil non-REM dans l’apprentissage d’une tâche motrice. L’étude comporte aussi une composante olfactive; c’est-à-dire qu’une odeur pourra être diffusée pendant la nuit et pendant la tâche via une cannula. La participation à cette étude consiste à passer deux nuits dans notre laboratoire de sommeil à sept jours d’intervalle (à l’Institut Universitaire de Gériatrie de Montréal sur Queen Mary). Durant ces sept jours, le participant devra porter une petite montre (actigraphe) qui enregistre des données (amplitude de mouvement, luminosité). Une compensation financière sera remise au participant; 25$ pour la première nuit, qui est en fait une nuit d’habituation, et 125$ pour la seconde nuit. Si le sujet parvient à dormir relativement bien lors de cette nuit, il pourra revenir pour la nuit expérimentale pour laquelle on remet 125$. Si son sommeil est jugé insuffisant – ce qui est plutôt rare - le participant a l’option de recommencer la nuit d’habituation ou d’abandonner l’étude. Pour être éligible à l’étude, le participant doit idéalement: - Avoir un horaire de sommeil relativement régulier - Être en mesure de se coucher entre 23h – 1h et se lever entre 7h - 9h pendant une semaine - Être non fumeur - Être en bonne santé - Avoir un IMC (Indice de masse corporelle) en-dessous de 27 - Ne pas souffrir d’une pathologie du sommeil - Ne pas consommer de drogues - Ne pas prendre de médication - Ne pas être musicien - Ne pas être “expert” à Guitar Hero (ou tout autre jeu du même style) Je suis assistante, donc c’est moi qui accueille les sujets, qui fait le set-up d’électrodes, qui fait passer les tests, etc. Contactez-moi en privé pour plus de précisions. Merci!