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Saviez-vous que ? Le simple fait de se laver les mains avant de passer à table ou en sortant des toilettes réduit de 20 % les infections respiratoires et digestives. Rabattre le couvercle avant de tirer la chasse d’eau des toilettes évite l’effet aérosol grâce auquel les germes se retrouvent dans les poumons. Changer son oreiller régulièrement est important, parce qu’au bout de deux ans, 10 % de son poids correspond à des acariens morts ou des déjections d’acariens. Laver son réfrigérateur deux fois par mois est élémentaire en raison du risque de développement microbien – comme la redoutable Listeria – qui se développe justement dans des atmosphères froides et humides à 4 degrés. Congeler le poisson quand on désire le consommer cru élimine l’anisakis, un parasite qui peut être à l’origine de perforation intestinale ; faire de même avec la viande de bœuf préparée en tartare évite de contracter le ver solitaire, comme 100 000 Français par an. Rappelez-vous que ce qui sert à nettoyer peut s’avérer un redoutable vecteur de saleté. L’éponge peut ainsi devenir un repère de microbes si on ne la passe pas à l’eau de Javel régulièrement avant de la faire sécher. Les torchons doivent être lavés le plus souvent possible à 60 degrés, et ne doivent jamais être réutilisés s’ils sont humides On ne partage pas sa serviette éponge avec toute la famille : en se passant la serviette éponge, on se passe en même temps les microbes. De même, vous veillerez à ce que votre serviette soit sèche avant de l’utiliser. Si elle est encore humide, mettez-la sans hésiter du côté du linge sale. En effet, une serviette humide est un parfait milieu de culture pour le développement des microbes. En vingt-quatre heures, ils ont largement le temps de se multiplier. Résultat, une fois la toilette faite, vous aurez étalé sur vous des colonies de microbes qui se développeront avec une nette préférence au niveau des plis, favorisant ensuite rougeurs et infections. Le gant de toilette n’est à utiliser qu’une fois, puis à laver. Autrement, au deuxième usage, il servira à répandre la crasse sur le corps. Je recommande de laver les draps de lit au moins une fois par semaine. Pensez aussi à changer régulièrement de brosse à dents, surtout après une grippe ou une angine, pour éviter de se réensemencer et de traîner des infections qui n’en finissent pas. Pour faire des économies de brosse à dents, je conseille de la mettre régulièrement tout simplement dans le lave-vaisselle avec le détergent habituel. Une étude scientifique a montré que cette méthode faisait disparaître la totalité des microbes présents. Après tout, on lave bien son assiette chaque jour, pourquoi ne pas laver aussi sa brosse à dents ? Concernant les assiettes qui ne vont pas tout de suite au lave-vaisselle, rincez-les avec une solution légèrement javellisée, pour faire barrage aux bouillons de culture qui ne demandent qu’à se développer dans la cuisine. Pensez aussi à contrôler, au moyen d’une éponge et d’eau de Javel, les joints en caoutchouc de votre lave-vaisselle qui sont souvent contaminés par des moisissures.Vous n’oublierez évidemment pas de pratiquer une petite toilette régulière sur les objets du quotidien tels que les télécommandes de télévision, les interrupteurs de lampe de chevet, le téléphone portable, les lunettes, le dessous de montre… Quand on sait que 92 % des mobiles sont recouverts de microbes dont 16 % de bactéries fécales, cela motive pour les nettoyer et, en tous les cas, pour éviter de les prêter pour échanger des microbes… et peut-être aussi pour alléger sa note de téléphone. Pour bien se laver, il faut toujours commencer en allant du haut vers le bas. La raison est simple. Il vaut mieux commencer par les zones les plus propres pour finir par les plus sales comme les pieds pour éviter de véhiculer des germes sur le savon des pieds et des fesses vers le visage. Cet ordre donne aussi un sens plus logique à l’écoulement de l’eau. Pour traiter de détails plus intimes, de nombreuses vaginites pourraient être évitées avec un essuyage des fesses non pas dans le sens anus vers le vagin en va-et-vient, mais de l’anus vers le dos pour éviter la migration des microbes de la marge anale vers le vagin. es baisers en début de relation amoureuse, par l’échange de salive entre les amoureux, permettent d’éviter que la future maman ne transmette un jour une maladie virale redoutable à son bébé. Par les baisers, elle s’immunise en fait contre les cytomégalovirus. Ce virus s’attrape à l’occasion d’un baiser. La plupart du temps, la maladie passe inaperçue et guérit spontanément et sans séquelles. Tout au plus, la personne ressent une fatigue, quelques courbatures et une légère fièvre qu’elle mettra sur le compte d’une grippe passagère. En revanche, grâce à ce contact viral, la femme s’immunise à vie contre les cytomégalovirus. Il est important d’acquérir une bonne protection car cette maladie, bénigne pour l’adulte, est redoutable pour le fœtus avec la possibilité de retards mentaux sévères, une surdité et des atteintes du foie. L’immunité optimale se situe environ six mois après le premier baiser mais il y a un petit bémol. Il existe différentes souches de ce virus, ce qui fait que la femme ne sera protégée que contre une seule, celle que son partenaire initial lui a transmise. En résumé, chaque homme présente une souche spécifique de virus. Cette constatation invite à la monogamie dans les six mois qui précèdent la conception d’un bébé. Il faut toutefois noter qu’une jeune fille qui aura pratiqué de nombreux baisers avec de multiples partenaires sera immunisée contre de très nombreuses souches de ce virus. Ces constatations médicales montrent le pouvoir des baisers en tant que boosters de l’immunité, par les échanges de salive entre les partenaires. Une étude dans les pubs de Grande-Bretagne a par exemple révélé qu'on trouvait 14 sortes d'urines différentes dans les bols de cacahuètes!
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Hey tout le monde j'ai trouver ce que je pensais etre des punaises de lit dans mon lit et jai décider de conserver l'insecte pour le montrer à la propriétaire ou a l'exterminateur pour identification... en mourant dans l'eau, l'insecte a dévoiler ses ailes alors je crois que c'est pas une punaise de lit car elles n'ont pas d'ailes.. quelqu'un sait quel insecte sa pourrait etre? http://postimg.org/image/xlirurnw5/ http://postimg.org/image/h0b5f3ws5/ http://postimg.org/image/i1be48drp/
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81% des Taïwanais de 15 ans sont myopes.
Purosangue a publié un sujet dans #0001 - MATIÈRES GÉNÉRALES
Au cours des deux dernières années, une grande partie des travaux consacrés à la myopie s’est concentrée sur un objectif bien précis: prouver, quantifier et expliquer le lien existant entre le temps passé à l’extérieur et le bon développement oculaire. Des dizaines d’études ont été publiées, en Asie pour la plupart. L’année dernière, un travail de recherche privilégiant l’approche systématique a regroupé les résultats de précédentes études. Conclusion: chaque semaine, chaque heure que l’enfant passe à l'extérieur réduit de 2% ses risques de développer une myopie. http://www.slate.fr/life/81391/myopes-enfants ALLEZ JOUER DEHORS LES ENFANTS Êtes-vous myopes ? -
Le cauchemar de la piscine, c’est le baigneur.
Purosangue a publié un sujet dans #0001 - MATIÈRES GÉNÉRALES
Un nageur séjournant deux heures dans une piscine excrète entre 20 et 80 millilitres d’urine et produit entre 10 centilitres et 1 litre de sueur. Pour un chimiste, ce paquet-cadeau constitue un cocktail de carbone, d’azote et d’urée. Rien de très grave, tout se dégrade. Mais il faudra tout de même 7 grammes de chlore (dose moyenne versée par nageur) pour l’attaquer frontalement. Pour une piscine type de 25 mètres sur 15, comptez 4 000 heures d’ouverture et 130 000 personnes et faites l’addition… avant de vomir. Les molécules de chlore vont d’abord se combiner avec la matière organique apportée par les baigneurs et tenter de l’oxyder pour l’éliminer. Cette réaction forme de nouvelles molécules appelées «chloramines». Alors que le chlore est inodore, les chloramines, toxiques, puent. Ce sont les responsables de la mauvaise odeur qui vous saisit quand vous entrez dans le hall, serviette négligemment enroulée sur les reins. Tant que cette odeur persiste, c’est que la réaction chimique n’est pas achevée. Il reste encore de la matière à éliminer.«C’est un signe que la piscine n’a pas été désinfectée correctement. Il s’agit d’un déficit de chlore et non d’un excès, comme tout le monde l’imagine!» «Les baigneurs pensent qu’ils vont à la piscine pour se laver: c’est ancré dans nos représentations sociales et c’est une catastrophe», déplore Bernard Boullé-Giammatteï, qui rêve des pays nordiques où un agent est posté à la sortie des douches pour contrôler que le savonnage est réglo. Un milliard de virus cohabitent en effet dans un gramme de selle de votre voisin de cabine souffrant d’un début de gastroentérite. Le cercle est vicieux: plus les gens sont sales, plus il faut de chlore pour être certain que les agents pathogènes y passeront également, corps et biens. L’absence de rigueur corporelle n’a pas que des conséquences chimiques. Pour diluer cette soupe, il faut en effet ouvrir l’eau du robinet et faire couler entre 80 et 180 litres d’eau neuve par baigneur. Le fait même de s’immerger dans une eau dont la température est inférieure à celle du corps donne envie de faire pipi. Il y a d’ailleurs une explication scientifique à cela, le froid ressenti envoie un message à l'hypothalamus qui active les mécanisme de thermorégulation, c'est-à-dire un afflux de sang vers les organes vitaux dont les reins. Uriner dans la piscine est un plaisir coupable auxquels certains s’adonnent, même passé 3 ans. Voici un témoignage trouvé sur l’indispensable sitenageurs.com: Uriner dans l’eau est une sensation à part, une sorte de relaxation, ça permet de relâcher la pression et de communier avec l’élément qu’est l’eau! Et puis, par-dessus le marché, c’est presque jouissif d’uriner à l’improviste sans que personne à côté ne remarque quoi que ce soit ! Voici ce que déclarait Michael Phelps il y a deux ans: «Je pense que nous faisons tous pipi dans la piscine. C'est quelque chose de normal pour les nageurs. Vous savez, quand on est dans l'eau pendant deux heures, on ne sort pas vraiment pour aller uriner (...). Le chlore tue tout ça, donc ce n'est pas si grave.» Dernier argument en faveur de la douche et du pipi préventif, si ne le faites pas pour vous, pensez aux maîtres-nageurs. Ils respirent un air vicié toute la journée et ne savent plus quoi faire pour se protéger, comme en témoigne l’une d’entre eux, jointe à la piscine Jean-Taris à Paris: «On ouvre la fenêtre dès qu’il ne fait pas trop froid et à chaque changement de public (entre les scolaires et le public donc). Mais je ne suis pas sûre que ce soit suffisant. J’ai souffert d’éruptions cutanées toute l’année dernière. http://www.slate.fr/...iscine-microbes http://www.slate.fr/...as-vous-derange http://www.slate.fr/...-chlore-piscine Quelque chose à déclarer sur la piscine à part +1 ??? -
Un chouette calculateur http://gosset.wharto...l/CalcForm.html C'est essentiellement basé sur les tables de mortalité et c'est ajusté selon tes habitudes de vie, la génétique de ta famille, etc. Dans mon cas ça dis que j'ai 50% de chance de vivre au delà de 86 ans. Ça dit que je dois boire plus d'alcool pour augmenter mon espérance de vie d'une petite fraction d'année. Ce qui est plus ou moins vrai selon une plus récente étude: http://www.985fm.ca/...fiq-355441.html Aussi vu que je suis plus grand que la moyenne, mon espérance de vie est sûrement diminué: http://www.journalde...lus-longue-3607
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Un reportage de 52 minutes instructif sur pourquoi le gel douche contient des produits chimiques nocifs, alors que que la traditionnelle savonnette n'en contient pas. http://www.youtube.com/watch?v=1ctY5ttbTZE Question à Carlos: c'est quoi ton parfum favoris de gel douche