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À la suite de ses deux messages, j'ouvre le débat sur le stalking, et ce que vous pensez que ça signifie à l'ère moderne. Considérez-vous la "recherche d'information" avant d'aborder quelqu'un comme étant du "stalking" ? Est-ce immoral, hypocrite, indiscrèt? Ou au contraire comme étant tout simplement une extension de nos outils modernes sur les relations interpersonnels? Pensez-vous que notre trace sur internet, celle publique, peut être comparé à notre image physique? Par exemple: nous choisissons nos styles vestimentaires afin de communiquer quelque chose en particulier, existe t-il une différence entre "j'ai vu comment cette personne s'habille, j'aime ça, je vais lui en parler" et "j'ai vu les vidéos publiques que cette personne poste sur son profil Facebook, je vais lui en parler" ? Sur l'échelle "je m'offre au destin" (donc, éviter d'aller chercher des informations volontairement) -> "je prend le contrôle" (donc je vais chercher des informations afin de pouvoir les utiliser), où vous situez-vous? Considérez-vous que cette échelle devrait être appliqué à nos relations interpersonnelles? Si quelqu'un avait été chercher des informations sur vous avant de vous aborder, préféreriez-vous le savoir? Trouveriez-vous ça creepy?
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Opération séduction et les malaises télévisuels
Purosangue a publié un sujet dans #0001 - MATIÈRES GÉNÉRALES
J'aimerai vous entendre déblatérer sur cette émission là. C'est comme un souper parfait, mais avec un narrateur médiocre et une thématique d'accouplement plutôt que gastronomique. http://vtele.ca/emissions/operation-seduction/ http://www.facebook.com/OperationSeduction?sk=wall ... mon appréciation -
Bon, à la demande de je ne me souviens plus quel membre, j'y vais d'un sujet sur la fameuse friend zone. Celle où probablement chacun d'entre-vous fut déjà placé à un moment ou à un autre et dans laquelle vous avez possiblement placé des gens du sexe opposé. Racontez-nous votre expérience, afin de nous faire comprendre à tous comment cela fonctionne et comment l'éviter, mais surtout comment éviter d'en souffrir. Pour ma part, je crois que, quand une personne qu'on estime et qui nous attire (et qu'on voudrait plus avec elle, bien entendu) nous catégorise ainsi, il vaut alors mieux de prendre ses distances, afin de n'en pas trop souffrir. À moins qu'on se sente à l'aise de n'être pour cette personne que son ami(e). Le point important, c'est que les choses soient claires. Car ce sont les choses floues et ambigües qui nous font alors espérer plus de cette personne et finalement qui nous font ressentir le plus de tristesse. Note aux personnes qui considèrent des ami(e)s du sexe opposé comme de simples ami(e)s et qui sentent un intérêt univoque: Même si c'est bien plaisant d'être désiré et que vous voulez garder l'amitié de l'autre, faites votre possible pour être claires. Ne laissez pas d'espoir s'il n'y en a pas. Ainsi, si cette personne est toujours intéressée à être votre amie tout en sachant qu'elle ne sera pas plus, vous même vous sentirez mieux dans cette histoire et vous viendrez de vous faire un(e) véritable ami(e). Cela dit, c'est si l'amitié gars-filles est possible, mais il s'agit d'un autre sujet...
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Très cher hommes et femmes du dépotoir. Mon postulat est simple: Personne n'aime la routine dans les relations de couple. On s'entendra pour dire que la routine peut tuer lentement un couple si celui ci n'est pas correctement organisé pour casser ses propres habitudes. N'avez vous jamais remarqué que dans les relations de couple, cette problématique, souvent annonciatrice de la tragédie à venir, surgit quasiment toujours au terme d'un certain temps passé ensemble ? ( saluez donc mon incroyable logique de sophiste) La routine est ce qui fait que le temps devient similaire à un disque qui tourne en boucle et dont on se lasserait lentement de l'air suranné, ceci qu'on soit seul ou en couple d'ailleurs. La différence c'est qu'à deux, l'affaire implique un ressenti simultané qui, malheureusement, est rarement égal. On prends des habitudes qui finissent par lasser les deux partenaires, mais souvent l'un plus que l'autre et c'est là qu'une certaine représentation des réactions homme/ femme peut être intéressante à observer et à analyser. (Permettez moi maintenant de souligner une observation empirique que j'ai fait à de nombreuses reprises, observation qu'il convient donc de situer dans le champ de mes expériences sociales personnelles et rien de plus) Chaque fois que j'ai énoncé ce problème de routine, que j'en ai discuté, j'ai toujours remarqué que dans les couples ou gens en couple à qui je tenais mes réflexions, j'apprenais quasiment toujours que des deux partenaires qui supportait le moins le temps qui passe et qui lasse, c'était la femme qui s'en plaignait le plus et qui adhérait le plus à ce constat pénible. Dans la même logique, beaucoup d'hommes m'ont expliqué avoir gâché des relations passées par leur manque d'initiative au sein du couple; souvent j'ai observé que malgré eux, il y avait une tendance à considérer pour "acquis" la femme qui partageait leur vie et ce simple regard de possession leur avait enlevé tout "réel désir physique spontané" pour leur femme. Cela se témoignait concrètement par une attitude désabusée vis à vis des certaines réjouissances de couple ( flegme ou manque d'enthousiasme) et aussi, surtout, un manque de volonté pour créer des interactions sociales, intellectuelles, ludiques, ou originales avec leur compagne (manque d'initiative générale pour le couple, projets, ect). Nombre de femmes ont de la volonté pour entreprendre des projets à deux, et nombre d'hommes ont cette caractéristique tendance de réagir à l'ennui par la passivité et surtout par l'habitude. Petit olà sur ce que je viens d'écrire, quand même, je vois déjà la quantité de bourses bien remplies qui vont rougir d'indignation à la lecture de ces lignes, mais rassurez vous je ne souhaite qu'une chose, que vous m'expliquiez que vous êtes tout le contraire et que vous réagissez autrement. Je tiens aussi à préciser que je parle de routine au bout de quelques années de relation, et même de vie de couple. On s'entends que les couples qui résistent à la tentation de vivre en concubinage ont plus de chance de gérer leur indépendance et leur vie de couple, ce qui aide foncièrement à garder un bon équilibre sentimental, sexuel et intellectuel ( je le crois). Je suis également impressionnée les gens qui arrivent à surpasser l'ennui que peut générer la vie de couple avec assez d'efforts, de volonté et d'accord mutuel pour transcender leurs mauvais réflexes et les couples dont l'un des partenaires se démène plus secouer l'autre ( bon courage, tout de même). Quoi qu'il en soit, Êtes vous sensible à la routine de couple, et à quel degré ? Avez vous l'impression d'être le moteur de votre couple pour éviter la routine ? Y avez vous déjà même été vécu cette routine, ou pas ? Allez, sur ces beaux mots,
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Chers amis d'Outre-Atlantique, Connaissez vous l'emission franco-belge culte Striptease ? Cette émission datant de 85 vise à produire des documentaires d'un genre nouveau dans lesquels les commentateurs s'effaceraient pour laisser parler les protagonistes. L’émission aborde essentiellement des passages de la vie de tous les jours (repas de famille, séance de vaisselle, la vie d’une fermière). Le spectateur peut ainsi se reconnaître dans son intimité quotidienne : « Strip-tease : l’émission qui vous déshabille ». Alors qu'elle avait disparu des écrans de télévision, l'émission revient le 2 juillet avec un épisode qui frappe très fort, voire trop fort. Attention, je vous préviens, c'est triste, et pathétique. http://www.youtube.com/watch?v=KzD6R3wfIQ4 Dans cet épisode réellement dramatique appelé "Recherche bergère desespérement", on peut découvrir Damien, un jeune éleveur de mouton qu'on pourrait qualifier d'handicapé, désespément à la recherche de l'amour. Ses grands parents, et sa mère, avec qui il vit, aimeraient beaucoup le voir enfin amoureux et heureux. Pour l'aider, ou l'enfoncer - c'est à votre libre appréciation -, ces derniers décident de faire appel à une agence matrimoniale d'un genre nouveau: moyennant la somme de 2000€, l'agence présente Roxana, une jeune roumaine sans aucun doute agée de moins de 18 ans, à Damien, sa maman et ses grands-parents. Malheureusement, la jeune fille, qui ne parle pas un mot de français, à l'air incroyablement mal à l'aise(12:05). Malgré les nombreuses tentatives de Damien de se rapprocher de la jeune femme ( 20:01), il arrive ce qui devait inévitablement arriver: elle finit par repartir chez elle. La famille accuse le coup, mais croit néanmoins que la jeune fille reviendra (26:00) car cette dernière à laissé Damien dans le désarroi le plus total (29:40). Il menace de massacrer sa mère et de se suicider dans un moment de désespoir (30:15). En effet, celle ci a parlé de l'agence matrimoniale autour d'elle, et l'un des amis de la famille s'oppose fermement à ces mariages arrangés (qui sont évidemment dans la limite de la légalité (32:45)). L'agence retourne voir Damien dans sa famille et tente de les rassurer en leur indiquant de rester discret sur leurs arrangements. Ils sortent le champagne.. Finalement, on apprends que Roxanna est partie en Italie avec un autre homme. La dirigeante de l'agence les aiguille vers l'idée d'un manipulateur qui aurait déjoué leur plan initial (43:00), et les hypothèses vont bon train en présence de ce pauvre Damien, impuissant et en larmes (48:30). -- L'histoire est entrecoupée - un peu sans raison, je trouve- par l'histoire d'une autre femme, plus mure que Roxanna, qui cherche également un bon parti par le biais de la même agence. Celle ci se voit proposer l'incroyable: Devenir la femme d'un homme, 54 ans, ayant 17 chats, vivant avec sa mère, ayant été amputé d'un bras suite à un accident de tracteur, avec des problèmes psychologiques et une face boursouflée. Elle refuse. -- L'emission est pas mal longue, sans musique, sans sous-titres, sans voix off. Juste un montage excellent qui fait la force tragico-comique de ce genre de reportage. J'ai donc noté les temps de chaque passage dans ma description, afin de faciliter la lecture et éviter le "too long to WATCH".
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Je n'ai pas vraiment compris pourquoi le sujet d'Insomniaque avait été fermé, sans doute à sa demande. J'allais répondre à Moskva et à d'autres sur mon idée des rapports sentimentaux et de l'importance de l'héritage de nos parents sur notre façon d'aimer. Mon message était: "Et bien, ta dernière phrase est complètement vraie: des tas d'hommes dans la trentaine vivent dans l'ombre et le souvenir de leur chère maman car c'est la première source d'amour et de nourriture au monde. Cette femme dont l'élan nourricier constitue l'exemple parfait de la servitude quasi amoureuse d'une mère pour son cher fils, et qui vit au travers de lui comme un complément masculin: Elle l'a créé de ses entrailles. Nombres de fils ainsi éduqués tombent amoureux des reflets de leurs mères. Les exemples ne manquent pas. Le complexe d'Oeudipe prends encore son sens au XXIe siècle." Je suis d'accord que tous les problèmes ne viennent pas toujours que de là, c'est une nuance que je ne pensais pas avoir besoin de préciser. En revanche, j'aimerai savoir en quoi certains trouvent l'idée aussi simpliste: est-ce parce qu'on avance l'argument oeudipien à toutes les sauces, depuis des décennies ? Notre cher ami qui a décidé de fermer son sujet était le premier à dire à quel point sa situation est liée a sa relation maternelle, et pourtant, on avance malgré tout que cette conception - qui pour moi est fondamentale - est d'une simplicité à faire rire un consanguin (sic). Donc, chers membres, que pensez vous de cette idée en apparence bête et méchante ? N'avez vous donc jamais remarqué le nombre d'hommes qui se choisissent des femmes ressemblant à leurs mères ? N'avez vous donc jamais remarqué certaines attitudes maternelles tellement possessives qu'elles impactent le caractère de leur fils pour toujours ? Et si vous ne croyez pas en ce conditionnement ci, alors que croyez-vous ? Quelles sont les nuances que vous auriez à apporter sur cette réflexion ? Merci (:
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J'hésitais à placer ce sujet ici ou dans le Cinéma 99¢, vu l'angle de la discussion que j'aimerais susciter. Pour ceux qui ne connaissent pas cette "théorie", elle est très bien présentée dans le film Up in the Air (2009), mettant en vedette George Clooney. C'est un film que j'ai vraiment adoré, non seulement parce qu'il est esthétiquement et techniquement bien fait, mais parce que le propos m'était très pertinent au moment où je l'ai vu. Je vous le suggère fortement. C'est également une adaptation du roman de Walter Kirn du même nom. Le personnage principal, Ryan Bingham, est un homme qui voyage beaucoup dans le cadre de son travail et qui a décidé d'adopter tout un mode de vie autour de ça, un mode de vie nomade. Il offre également des séminaires à temps partiel et c'est ce qu'on voit dans la bande annonce présentée ci bas. Dans cet extrait, il expose sa théorie du "backpack" lors d'une de ses conférences. On pourrait comparer le concept à une simplicité volontaire poussée à l'extrême, qui est également appliquée aux relations interpersonnelles. Pour Ryan, plus vous avez de possessions et de liens avec des gens (intime ou pas), plus vous êtes contraints et avez de comptes à rendre, ce qui peut devenir lourd à la longue. L'idée consiste donc à minimiser le "poids de son sac à dos" afin d'être mobile et flexible, pour faciliter le succès de nos entreprises personnelles. Avant de commenter plus de mon côté, je voulais savoir si y avait des éboueurs qui se reconnaissent dans cette théorie. À l'inverse, est-ce qu'il y en a qui trouve l'idée absolument répugnante? En gros, vous en pensez quoi? Pour ceux qui ont vu le film, les commentaires/critiques sur ce dernier en particulier sont aussi les bienvenues.
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