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Puisque je livre un guerre sans merci sur FB contre les humoristes (ces penseurs de pacotilles) contre les féministes (ces victimes professionnelles), et contre les rappers (ces littérateurs dépravés), je me dois d'exciter mes neurones avec de la musique évoquant la violence, le meurtre, l'assassinat, et la trucidation. Voici donc 5 exemples de musique, que je considère comme guerrière, et dont seuls les japonais semblent avoir le secret : L'Intro de cette track là est fantastique et rappelle les coups d'une arme automatique. Et que dire de ce qui précède la réexposition à 1.26... Ce beat est sick. Quand j'entends ça, j'imagine une armée débarquer dans une ville avec avions de chasse, chars d’assaut, infanterie et tout le bataclan. Le secret c'est la bass. Cette track-là semble raconter une chasse à l'homme sadique et sanguinaire, dont le pinnacle se trouve à être à 1.47, où on assiste à une genre de forme improvisée, on sent bien que la chasseur à attraper sa PROIE. Le riff qu'on attend à 0.24, réexposer à 1.30 me semble particulièrement évocateur. D'Une impitoyable brutalité. Cette track là semble avoir conquis l'âme des mélomanes (plus de 500k de views), le climax du thème à 0.49 me fait headbanger intensément.
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L’histoire du Japon en accéléré avec une touche psychotronique. À la fois très drôle et instructif.
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Meiko Kaji, communément appelée 梶 芽衣子, aujourd'hui vielle de 71 ans, et par ailleurs assez bien conservée, mais passons, est surtout connue des japonais pour ses rôles dans Lady Snowblood, Elle s'appelait Scorpion et d'autres films dont je me fous. C'est de sa musique dont je veux ici vous parler, car elle transporte l'âme et le cœur dans un monde paisible quoique vibrant. Vous avez très certainement entendu sa voix dans l'un ou l'autre des Kill Bill. Tarantino est réputé mélomane de bon goût, et il a sélectionné selon moi ses deux meilleures pistes. Voici l'une d'elles, à écouter en sirotant un saké ou un thé matcha : Ça vous revient... et ça vous plaît? Parfait. Voici l'autre : Et enfin, une que vous entendrez pour la première fois : ~ les frissons vers 2:10 J'ignore de quoi traitent ses paroles. C'est romantique, scénique. Ça se prend juste bien. Je conseille à tous de mettre la main sur son disque de 2004, Zenkyoku Shu, semble-t-il un best of. Ne courrez pas les Vase Caravan, l'album est discontinué. Inutile également de visiter eBay; on ne le donne pas pour moins de 60 dollars. Vous savez donc où le trouver...
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Aokigahara est le lieu de la plupart des suicides se déroulant dans la préfecture de Yamanashi (370 en 2005, 376 en 2006, 342 en 2007, soit 1 % des suicides au Japon dans cette préfecture)1, d'où un grand nombre d'histoires de forêt hantée. En 1959, l'écrivain japonais Seichō Matsumoto a ainsi écrit une nouvelle, Nami no tō (波の塔?, littéralement « pagode de vagues »), dans laquelle il suggère qu'elle est un endroit idéal pour mourir en secret et sans que l'on puisse retrouver la dépouille du défunt. En 2004, Tomoyuki Takimoto (瀧本 智行, Takimoto Tomoyuki?) réalisa le film Ki no umi (樹の海?, lit. « Mer d'arbres ») sur ce lieu. Il raconta aux journalistes que durant les repérages pour le film, il trouva un portefeuille contenant 370 000 yens (environ 2 300 euros) laissant ainsi supposer qu'Aokigahara est un terrain propice pour la chasse aux trésors. D'autres ont affirmé avoir trouvé des cartes de crédit et des permis de conduire[