Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'dépression'.
10 résultats trouvés
-
Parce que la vie est absurde... Parce que mon passé me hante encore. Parce que mon cœur est une cour à scrap. Parce que mon âme est encrassée et outragée. Voici la 3e partie d'une quadrilogie, Musique Sinistre. Nous voulons entendre ici de la musique noire, qui ne saurait être plus noire... Ténèbres colorées : L'Hiver de force : Grave et solennel :
- 5 réponses
-
- dépravation
- dépression
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Le suicide ou sa tentative
Le chasseur de stupidités a publié un sujet dans #0420 - MATIÈRES PSYCHIQUES
Je propose ce sujet parce que j'ai déjà essayé. Avant je croyais que je serais capable de tout supporter et que je ne commetterais jamais un tel acte. Ben je me trompais... Le 1er février 2010, je me sentais "décrissé" comme je l'ai jamais été, dû entre autre à mon état de santé qui comporte douleurs et fatigue chroniques. Comme on me l'a si souvent répété dans ma jeunesse, j'ai donc été chercher de l'aide... à l'hôpital. Quand j'ai passé au triage, mentionnant mon état suicidaire, l'infirmière me demanda si je savais quel méthode j'emploierais, à laquelle j'ai répondu par l'affirmative en précisant un possible abus de médicaments. Suite à cela, j'ai demandé combien de temps ça prendrait avant de voir un médecin. Sa réponse... beaucoup de monde avant moi(ça je comprenais) et qu'il y en avait des bien pires que moi (mauvais choix de réponse). Je suis pas d'un naturel braillard, mais là, ce fut plus fort que moi tellement j'étais découragé. L'infirmière s'est poussée et n'est jamais revenu. Le pire dans tout ça est que j'ai appris plus tard qu'elle avait omit d'inscrire dans son rapport la méthode que j'emploierais(que j'ai mentionné et ai employé) et qu'elle n'avait pas suivi la procédure. La Quand je suis revenu chez moi, j'ai fait ce que j'avais en tête. 45 minutes plus tard, avec une et un en plus des , j'ai appellé une ligne d'écoute pour me vider le coeur. Ils m'ont finalement convaicu de leur laisser mon adresse. Hop, retour à l'hôpital. Non seulement j'ai manqué mon coup d'aplomb, mais j'ai eu droit à un bon trip qui m'a remonté le moral et m'a laissé avec un petit mal de tête. Ils m'ont laissé sortir de l'hôpital le lendemain après un entretien avec le psy. Ça a aussi inquiété parents et amis en plus de leur faire prendre conscience de l'impact de mes symptômes sur ma qualité de vie. L'avantage de toucher le fond du baril est que ça nous permet parfois de se donner un élan pour s'en sortir. P.S. Si les armes ne seraient pas aussi réglementés, c'est cette méthode que j'aurais prévu. -
La fatigue devient plus présente, moins de soleil, la peau qui sèche, les examens qui arrivent, le froid qui te claque la face, le linge à ressortir de l'année passé, les soirées passées à l'intérieur, le sucre de l'halloween qui commence à te gaver avant même que ça se fête, etc. Tout ça contribue de près ou de loin à m'influencer et à me convaincre de me transformer en une larve qui devrait dormir toute sa vie plutôt que se lever. C'est comme ça à chaque année. C'est moi ou tout le monde vit ça? Vous faites quoi pour garder la forme? Qu'est-ce qui vous fatigue?
-
(Standing Bear qui ne se connecte que lorsqu'elle a un problème) Je crois que mon chum fait une dépression. Je n'ai pas les compétence pour établir un diagnostique mais me basant sur ce que j'ai vu en cours de psycho et d'expériences personnes, ça colle. Ma question est "y a t'il quelque chose que je puisse faire pour l'aide à s'en sortir". Une question tout nu de même, c'est pas évident donc, en gros, ce qui me fait penser à une dépression c'est qu'il dors mal, à souvent des maux de coeur, nausées, il ne joue plus du tout de guitare et de toute façon, plus rien ne l'intéresse. Lui qui a toujours aimé les plaisirs charnels ne cuisine plus, ne mange presque plus et n'est plus intéresse à faire l'amour. Ça fait déjà plusieurs fois qu'il me dit qu'il a envie de pleurer sans raison et se sens toujours mal. Je suppose que c'est peut-être causé par le stress et l'inactivité. Il à lâché le Cegep en janvier et comptait se trouver une job d'ici à ce qu'on parte vivre ensemble en appartement, à Rimouski (on est dans le coin de Gaspé). Le problème c'est qu'il n'a pas trouvé de job et depuis, il passe ses journées à jouer à des jeux sur PS3. Comme il est loin du Cegep, il ne voit pratiquement personne et ne sort pas. J'aimerai qu'il voit un psychologue ou quelqu'un du genre pour l'aider mais je sais qu'il n'y ira pas par lui-même mais comme je ne le vois que la fin de semaine, je ne peux pas m'occuper de ça. J'aimerai savoir si il y a quelque chose que je puisse faire, je ne peux pas juste attendre que ça passe.
-
Je ne fais pas ce sujet pour que vous veniez partager les états d'âmes par lesquels vous vous complétez. Votre quête de sens, de personnalité ou d'attention en montrant comment vous êtes endoloris n'a pas sa place ici. Sous cet avertissement agressif, voire désagréable, je commence : Selon vous, quels sont les effets de la dépression d'une personne X sur une autre personne de son entourage? Est-ce qu'il existe un malaise ou encore, une certaine culpabilité dans le fait même de ne pas pouvoir aider cette personne? Qu'est-ce que l'on peut sentir quand quelqu'un qui nous est cher est down? Partagez vos expériences en tant que cette autre personne, aux côtés d'une personne qui ne va pas. D'après mon expérience, on ressent un sentiment d'impuissance. On voudrait arranger les problèmes de la personne mais on ne sait pas nécessairement comment s'y prendre et lorsque l'on croit que oui, la situation se retourne et on réalise qu'on ne voit que la pointe de l'iceberg.
-
L'influence des saisons sur votre humeur
vlad_drac a publié un sujet dans #0420 - MATIÈRES PSYCHIQUES
Je réalise que les saisons ont un impact considérable sur mon état d'esprit. L'automne est pour moi la saison la plus romantique. Mes pensées se mettent à vaguer dans un état contemplatif et je suis plus sensible aux détails qui me semblent banals lors d'une autre saison. Le plus grand défaut de l'automne c'est le mois de novembre, qui année après année me surprend par son ambiance funeste et que me donne une humeur de merde. L'hiver, l'esprit prend une tangente nocturne avec les journées qui deviennent ridiculement courtes. Par les longues soirées à rien faire à la maison, je commence à divaguer sur le sens de mon existence sans trouver de réponse. C'est également une saison de nostalgie à se rappeler les balades glaciales en buvant du thé. Le printemps devient une sorte de renaissance pour la pensée, se libérant du lourd poids du questionnement hivernal incessant. La redécouverte de l'extérieur donne une vitalité et semble symboliser le véritable début d'année. L'été devient alors une suite d'activités globalement agréables. C'est la saison pendant laquelle j'ai globalement le mood le plus égal, c'est à dire paisible et comblé, sans tomber dans les ups and down de l'automne et de l'hiver. L'esprit quitte le monde de la rêverie pour davantage s'attacher au présent. -
Comment dire. Ces derniers temps, depuis longtemps en fait, j'ai un malaise avec la réalité de mon humanité. J'accepte pas ce que je suis. Quand je vois quelqu'un, je vois une pauvre âme coincée dans une carcasse vieillissante et imparfaite. Un organisme qui pue que l'on surnomme corps humain, qui des fois sourit, des fois pleure, prend des selfies, puis meurt. Des poches d'excréments sur deux pattes qui poussent leur panier dans les rangées du fucking Walmart. Quelle déprimante absurdité. Le sourire offre une vue sur la mécanique intérieure. Ça m'écoeure. L'affaire c'est que cette bête répugnante est partout. Dans ma famille, mon réseau, mon travail, mon épicerie, ma télévision, mon ordinateur, dans mon miroir. Réaliser que j'en suis une ajoute à l'horreur. Je m'en sors pas. Tout un système de valeurs, de lois, de réglementations, toutes ces méga industries, ces passes-temps inventés pour nous faire oublier notre animalité. Nous faire oublier qu'au fond on sert à rien. Qu'on pourrait crever, tous autant que nous sommes, et que la Terre continuerait de tourner. Je suis sorti du pénis de mon père tabarnak.
-
Vivre avec une personne dépressive.
Hitler Was Here a publié un sujet dans #0420 - MATIÈRES PSYCHIQUES
Ma blonde a eu une mignifique fille par césarienne. Cependant, elle a pris plus de temps à s'en remettre qu'à mon fils.... Césarienne oblige. Un rendez vous chez le médecin et elle lui annonce un baby blues. Bon c'est sérieux mais surmontable. Mon fils de 4 1/2 ans ne fait rien pour nous aider et n'écoute rien, je me débat comme je peux mais je dois concilier travail et famille... Mais ma blonde s'enfonce. Deux elle me pète des coches de manière assez violente et me traumatise. Facile, j'ai eu une mère alcoolique qui en boisson me traumatisait. Bref, elle pėte des coches et je descend au sous sol, et je prépare un nœud de pendu... Mais, je suis encore là... Aujourd'hui elle me pète encore une coche, je n'ai pas un moral a tout épreuve, pour m'aider en plus j'ai une 3ème grippe (depuis le début de l'hiver )et je travaille souvent de nuit. Ma blonde doit aller voir son docteur mais la docteur attend les résultats des prises de sang avant de la revoir... Avez vous des conseilles, ceux qui vivez avec des personnes dépressives, s.v.p., j'en mène pas large. Pas de conneries j'ai pas vraiment besoins de ça... En passant j'ai une superbe fille que j'adore... Elle est mon rayon de soleil dans ma vie. Désolé de la longueur du texte mais fallait que je le fasse. -
Que pensez-vous des antidépresseurs?
La voisine d'à côté a publié un sujet dans #0420 - MATIÈRES PSYCHIQUES
Je suis sous médication, jtrouve ça intense pour mon âge, mais j'ai pas le choix que jme dis. Et vous, qu'est-ce que vous pensez des antidépresseurs? Y'a t-il un âge qui devait être minimal selon vous pour prendre ces trucs, ou bien si vous en prenez aussi, depuis quand, est ce que ca a vraiment changé quelquechose à long terme? Que pensez vous en général de ça. Beaucoup me disent de pas prendre cette merde... Car dans mon cas, bon ça fait depuis Novembre, et honnêtement, J'trouve que ça changé que dalle pour moi...- 62 réponses
-
- médication
- antidépresseurs
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Voilà depuis maintenant 2 semaines, pour diverses raisons j'ai un profond mal de vivre, j’ai de la difficulté à gérer mes émotions, mon cœur me fait mal, mon âme me tourmente pour des futilités, j'ai comme l'impression d'avoir de la difficulté a me forgé une identité, je suis incappable de me définir en tant qu'individu...et ce dure depuis des années, je ne sais tout simplement plus ou donné la tête, aurais-je un problème de polarité ?