Récemment je me suis regardé Calvary, un film Irlandais qui vient me confirmer une chose: je veux Brendan Gleeson pour papa.
Cette fois-ci y joue un prête au bon coeur (sans pour autant être chiant) qui doit dealer avec les moeurs relaxés de ses contemporains, leurs sombres sentiments et pour la plupart leur haine sans distinction de la prêtrise et son église; responsable de millier d'enfances (et vies) brisées puis dissimulées sur le tapis un temps. En ressort un film franc, à l'humour noir, le drame acerbe et les prises de vues sublimes.
Si comme moi vous êtes sans foi ni loi, cliquez ici.