Classement

T'es proche. C'est un iris versicolore, notre fameux emblème.

Fortune de France, ça se passe en 1565. Les femmes sont aussi appelées des garces. Non-péjorativement.

J'ai lu ca comme un poème

IL FAIT CHIER CEUX QUE J'AIME PAS

Les xNFPs, on a parfois le goût de les étripper. Eux et leurs câlisses d'émotions sauvages. Les introvertis d'entre eux vont s'auto-flageller, renvoyer contre eux-mêmes cette intensité, ce qui blesse ceux qui les aiment car évidemment, ça nous fait mal de les voir se faire mal. Les extrovertis, eux, vont te la crisser dans la face. Cette intensité émotionnelle semble provenir d'une forte connexion à leur propre subjectivité, ce qui vient, comme n'importe quoi, avec des avantages et des inconvénients. Cette subjectivité glorifiée est une source inouïe de créativité, qui pour les plus rationnels d'entre nous, en tout cas pour moi, nous apparait simplement formidable. Un peu alien, surtout fascinant. Cette toute puissance du sujet entraîne aussi une coloration très vive du regard et affecte les relations pour le meilleur et pour le pire. Le pire, c'est quand cette coloration rend le monde opaque lorsqu'il y a une charge émotionnelle très vive. Le meilleur, c'est que cette opacité peut aussi être positive, et cette capacité d'aimer est enivrante pour celui qui a la chance d'en être l'objet. Ça en fait du monde irrésistiblement attachants et à l'occasion très, très frustrants. Ce sont ultimement des créatures indomptables. Si tu es un control freak, oublie. Tu n'auras jamais le dessus. Ce que j'admire le plus cependant, c'est ce caractère unapologetic de leur soi. Parle-moi d'idées, je peux argumenter longtemps, mais dès qu'il s'agit de situations qui concernent des relations (et donc le soi), je prends mon trou. Je peux défendre haut et fort ma classe à l'université contre un prof qui essaie de leur en passer une petite vite quand vient le temps de signer l'entente d'évaluation, mais j'aurai beaucoup plus de mal à me défendre moi-même. Dans ce temps-là, j'aimerais avoir la force des convictions des ENFPs (le INFP risque plus de lâcher le cours du prof que de s'insurger ouvertement). Dans ce temps-là, on se souhaite tous un ou une amie ENFP pour nous défendre ou nous pousser dans le cul pour faire valoir nos droits, pour nous encourager, pour nous donner de leur force. Je pourrais continuer longtemps sur le sujet, quoique j'ai surtout eu des INFPs dans ma vie. La subjectivité qui s'exhibe sans complexe des ENFPs m'a toujours un peu intimidée, et je sais que ça a à voir avec ma propre pudeur par rapport à la mienne. Comme eux, je crois être hypersensible. Sauf que je ravale tout ça, jusqu'à ce que ça me rende malade et que mon cérébral n'y puisse plus rien. J'ignore mes émotions, et c'est ce qui me rend mal à l'aise devant celles des autres : je ne gère déjà pas les miennes! Pourquoi j'ai dit tout ça? Parce que je suis crevée, en décalage horaire, un peu délirante, et je ne sais pas quoi faire avec mes émotions. Faque c'est ça. Y a pas grand chose à dire à ça, mais les personnes concernées peuvent bien me dire dans quelle mesure je suis dans le champs.

Première fois que j'entends ça. ... Le retour à la vie d'avant est vraiment épuisant. On passe du temps avec tous les gens qu'on n'a pas vu depuis un an, ceux auxquels on n'a même pas encore présenté le bébé. Oui, ok, ça fait du bien, mais c'est un peu trop de vie sociale d'un coup, je sais plus depuis quand j'ai pas eu une demi-heure rien qu'à moi. J'imagine que je vis un peu la galère de toutes les femmes qui viennent d'accoucher, sauf que je l'ai repoussée de quelques mois et que j'ai échappé au défilé à la maternité. Le mieux, c'est qu'on a loué une maison pour partir en vacances avec d'autres couples qui ont des enfants en bas âge. Je ne me reconnais tellement pas là-dedans que je me demande où je suis passée.

Honnêtement, ça ou bien un post de remise en question de tes opinions sur l'astrologie ;)

Gars... garce...

Ta pas tord que le systême actuel est pas particulièrement vert non plus car ca exige beaucoup d'humains pour fonctionner mais je ne crois pas qu'il est pertinent de faire du whataboutism sur cette question.

Mon gros Russe a voulu me faire plaisir, il a téléchargé tous les jeux que j'aimais de mon enfance sur son Rasberry Pi :') J'espère qu'il pourra résoudre en revenant le problème du bouton Z à programmer sur la manette de PS3, parce que c'est difficile de jouer à Army Men quand tu peux pas tirer, lol... Pis j'ai commencé GTA V. J'avais vraiment aimé GTA IV, on verra s'il le surpasse à mes yeux. La radio est déjà moins intéressante, c'est le premier point inférieur que je note.

Ha! Le coeur. C'est un processus long que d'apprendre à lui faire confiance. J'ai grandi en voyant des adultes qui souffraient de leurs mauvaises décisions du passé, et surtout, l'émotionalité de ma mère fit de ma jeunesse un enfer. J'ai voulu m'identifier avec mon père, qui avec sa patience de saint, prenait ma défense contre ses excès de colère. Mais l'expérience fini par m'apprendre qu'on a pas le choix de composer avec les émotions, plus on les réprime et mieux elles nous hantent. Quant à cette mauvaise habitude qu'on a de proposer des solutions, ça a pris un boutte à mon ex INFP avait qu'il ne me fasse comprendre que lorsqu'il se vidait le coeur, valait mieux que je ferme ma yeule pis que je lui fasse un calîn. Maintenant, c'est à mon tour de l'apprendre à mon ISTJ. Heureusement, ce dernier est en mode "je comprends que je ne peux pas vivre mes relations dans l'Ouest comme on les vit dans l'Est" et il s'ouvre à ce genre d'apprentissages :')

Une nouvelle étude internationale menée par des scientifiques de Santé Canada [...] estime que près de neuf millions de personnes au monde meurent chaque année prématurément à cause de la pollution de l’air ambiant. C’est plus du double des estimations précédentes, ce qui fait de la pollution de l’air ambiant l’une des principales causes de mort prématurée au monde. Ses effets sur l’espérance de vie sont maintenant comparables à ceux d’une mauvaise alimentation et du tabagisme. À demain.

Des enfants. Des gosses.

Hier, on a bu comme des cochons et la biere était de la confiture. Life hack : commander beaucoup avant le lastcall et connaitre un peu le monde de la place. J'avais une entrevue tantôt à la même place. Notre ami que venait rejoindre connais un peu le monde de la place et leur a montrer son tattoo de mon nom qu'il a sur la cuisse(oui, pour vrai). J'aime croire que c'était 90% de la job de faite. Le chef cuisinier à l'air un peu diffus mais je sais qu'il fait des super bon trucs, beaucoup de lacto-fermentation et des trucs locaux. Ca faisait 6ans que j'avais pas passé une entrevue. Mais je passais le monde en entrevue à mon ancienne job. Je reste pourri pour me vendre et j'ai même pas dit le quart de ce que je faisais reellement à mon ancienne job. J'ai peur de revenir dans la vrai vie. Mes 5 dernieres années pré-covid avait des allures d'une grosse longue brosse au milieu d'un joyeux chaos. Rien ne sera aussi pire et drainant que ca, c'est ce que je me repete. Et je vais surement être bien mieux payé aussi. J'espere apprendre des choses, j'ai peur quand même de pas me sentir chez moi si je suis pas le boss des bécosses. On verra. En tout cas, j'ai pas besoin de monter la côte Sherbrooke pour me rendre à cette job et ils ont de la très bonne biere, et c'est dans un quartier pitoresque. Oh pis il y avait une fille qui avait l'air down sur moi hier. Mais c'est peut-être juste moi qui est fou. Oh pis on est retourner faire de la grosse glissade dont je vous parle tout le temps vert 1h30 du matin. Tourlou. Les terrases sont ouvertes et les interieurs réouvrent demain.

Fair enough. J'aimerais maintenant te poser une question, et je te la pose à toi parce que depuis ton inscription sur ce forum, ce n'est pas un secret pour personne si l'on dit que tu te colles bien à l'étiquette du féminisme intersectionnel et tout ce qu'il implique concernant l'acceptation des corps et, plus globalement, la bienveillance auprès des gens. Et une retenue toute particulière lorsqu'il s'agit de poser son regard sur l'autre. Et si je te disais que la modèle lit le Dépotoir, voire pourrait le lire ? Et si elle s'avérait être un genre de Carlos Crasseux un peu creep qui pourrait, un beau jour de septembre 2024, faire une recherche par image des photos reçues, curieuse de voir si elles ne seraient pas publiées en quelque part. Pis là, elle tombe sur cette page et tes commentaires peu glorieux par rapport à son corps : ''t'as fait ce que tu pouvais avec ce que t'avais''. T'assumes toujours ton commentaire ? Et si je te disais que cette maigreur est le résultat d'une récente perte de poids due à un événement psychologiquement éprouvant, maigreur dont elle tente de s'affranchir en ingérant davantage malgré son métabolisme déjà ben rapide en partant, et ce, en tentant simultanément d'apaiser les maux psychologiques qui en sont la cause ? Je ne te dis pas que c'est son histoire à elle, mais c'est précisément celle d'une modèle que j'ai shootée pour la seconde fois mercredi soir. Elle était mince en janvier dernier, pis là elle l'était davantage cette sous ma lentille cette semaine. Est-ce qu'on peut s'attarder davantage aux institutions si on le souhaite mais laisser les femmes maigres tranquilles ? Comme on tend à donner du répit (et une tribune publicitaire) aux femmes rondes ?

J'suis comme dans un mood de noir et blanc. J'suis descendu a Montréal, pour juste shooter avec des amies. Surtout tester comment j'allais réagir une journée a shooter sous le gros soleil, il parait que c'est un trigger pour la sclérose. Ca super bien été, une belle journée.