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Contenu populaire
Contenu le plus populaire depuis 2012-10-06 (Partout)
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Si jamais je deviens aussi mêlé que Louïc, j'arrête de boire. Rendu là t'as pu de fun et tu risques de crisser le feu partout. Je me mets à sa place et me semble que revoir ma performance lamentable me sonnerait une cloche. Un wake up call que t'es proche du fond du baril. J'imagine que son boss ne sera plus aussi patient à l'avenir, quand Loulou va caller malade 4 jours de suite pour une gastro ou quand il va lui scrapper des mètres carré de pellicules à vitres teintées.2 points
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Doupette: une chatonne marine qui a enduré de la grosse mer et a vu beaucoup de pays!1 point
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C'est ma nouvelle psychiatre qui m'a dit ça. Elle est hot, intelligente et bien informée. I like her.1 point
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Par amour hausse-toi À cette vision où tout se dissout Pour ne plus former qu'une seule chose. Prie afin qu'un rayon Venu de cette sphère, Te guide et te rachète. Emerson, L'évangile d'Emerson.1 point
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Non. D'abord, tu réduis toujours la droite aux libertariens, qui ne sont qu'une petite clique de radicaux pas représentative du tout. Le pire c'est que tu l'as reconnu à de multiples occasions: d'accord, arrête donc de le faire alors! Ensuite, même d'un point de vue libertarien, ''tu as le choix'' d'aller ou non à l'université, si tu décides d'y aller, tu paies ta formation, sinon, tu ne la paies pas. Il ne s'agit pas dans cette optique d'une hausse des prélèvements ''obligatoires'' sur les individus mais d'une hausse des coûts ''volontairement'' assumés sur la formation par les gens qui ''ont choisi'' d'aller aux études. En fait, la position libertarienne cohérente est celle-ci: dérèglementer totalement les frais de scolarité et laisser les universités gérer l'argent qu'ils dégagent de la collecte des frais(au lieu de l'envoyer au ministère pour qu'il le distribue dans le réseau). Si les universités(lire: les recteurs, comme les libertariens ne font pas la distinction) ''veulent'' continuer à assumer une grande partie des coûts de la formation étudiante, alors qu'ils en assument les conséquences, sinon, qu'ils haussent les frais. Or, comme nous pouvons le conclure des positions unanimes de la CRÉPUQ, les recteurs ne se gèneraient pas pour augmenter (massivement) les frais de scolarité si on dérèglementait. Ce qui implique qu'une augmentation des frais de scolarité nous rapproche de la situation désirée par les administrations universitaires si on les ''laissait faire'', autrement dit des ''prix de marché'' de la formation universitaire(puisqu'encore une fois les libertariens ne font pas la distinction entre prix de marché et prix désirés par les administrations d'entreprises ou d'organisations). On peut également le constater en comparant nos frais à ceux des universités privées(américaines, par ex.). Un autre problème avec toi c'est que tu vois tout dans la synchronie: au lieu d'observer l'évolution d'un système et ses conséquences probables(diachronie), tu observes l'état immédiat du système et tu en conclus, à l'aune d'une intransigeance typiquement libertarienne, que telle mesure devrait être rejettée radicalement(hausser les frais de scolarité), du moins tant qu'une autre mesure n'est pas envisagée(baisser les impôts). Pourtant, les conséquences de la hausse des frais de scolarité(et des frais afférents) sur les futurs budgets québécois sont ''claires'': faire assumer une plus grande partie de la formation aux étudiants(évolution récente qu'on constate facilement dans les statistiques du ministère). L'argent que prennent les universités dans les poches des étudiants(via le ministère qui redistribue les fonds, il est vrai, mais l'entièrté de ces fonds), il ne sera plus(pas) budgeté dans la colonne des dépenses au ministère des finances. Par conséquent, les gouvernements arriveront plus ''vite'' au déficit zéro, voire à un surplus budgétaire qu'ils seront ensuite tentés de redistribuer sous forme de baisse d'impôts, ou tentés d'utiliser pour rembourser la dette, ce qui revient à abaisser les impôts ''futurs''(des futurs riches). En fait, juste le fait d'abaisser le déficit de cette façon revient à faire moins payer les générations futures (de gens à revenu plus haut) pour faire davantage payer les générations présentes(de gens à revenu plus modeste). Appellons ça des ''redistributions régressives intertemporelles'' qui font payer les moins riches actuels pour que les plus riches futurs envoient moins d'argent au fisc. Les libertariens sont-ils pour ou contre une plus grande appropriation par les plus riches des différents revenus qu'ils tirent de leurs activités? Oui. Sont-ils pour que les plus pauvres paient pour les ''biens et services'' qu'ils reçoivent? Oui. Une autre conséquence moins perceptible est dans la ''culture'' des universités et du gouvernement face aux universités: les universités ont de plus en plus tendance à chercher des revenus dans des sources de financement privé. Les gouvernements pavent la voie en annoncant qu'ils seront désormais plus ouverts au financement privé et moins ouverts au financement public des universités et en mettant celles-ci en concurrence. Au lieu de demander au gouvernement de délier les cordons de la bourse, les universités demandent des hausses de tarif, elles réaménagent les activités de recherche pour avoir plus de financement des entreprises, elles ferment des facultés et elles se lancent dans des entreprises risquées de délocalisation de campus et d'acquisition de batiments pour attirer plus d'étudiants. Le terme de cette évolution est évident. C'est loin de n'être qu'une lubbie de gauchiste, c'est une évolution qu'on a déjà vu aux USA et en grande bretagne. C'est pour toutes ces raisons qu'on a vu à peu près tous les libertariens sauf éric duhaime(lol) se ranger derrière la position du gouvernement.1 point
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Ducharme aime rire de ses concurrents mais quand ce sont les concurrents qui se foutent de son émission ... il a pas l'air trop trop emballé. En tout cas, c'est l'impression qu'il me donne lorsqu'il réagit aux commentaires de Bruno. ''Biiiin oui ...'' ''Il dit vraiment n'importe quoi ...'' ''... messemble !'' ''ah ouais ... !'' Stfu Humpty Dumpty. -- Et ta face quand Sylvain arrive costumé vaut 100 piasses.1 point
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Juste le fait d'avoir le temps de penser à une réponse sur un forum, contrairement à "en vrai" où il faut être spontané, ça change tout. Et pour l'histoire de André Ducharme qui contredit les propos de Bruno, ça ne veut pas dire grand chose honnêtement. Probablement qu'il n'est même pas au courant de cette "règle". C'est le porte-parole de l'émission et à moins que des informations prouvent hors de tout doute que ce que dit Bruno est vrai (genre un enregistrement ou une shit du genre), il va le nier pour ne pas nuire à la crédibilité de l'émission et aux cotes d'écoute : C'est du PR ça.1 point
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Les trois dernières minutes, ça me donne le goût de les frapper. En veux tu de la mauvaise foie? En v'là!1 point
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Les médicaments pis les drogues c'est un semblant. Le travail faut qu'il se fasse dans ton cerveau. C'est par toi-même que tu vas le savoir. Pas avec des drogues... Dès que t'arrête c'est pire, parce que tu comprends pas encore. Tout dépendant pourquoi tu prends des médocs... ------------------------------------------------------------------------------------------------------- Ces temps-ci je me sens bizarre. Peut-être à cause du froid qui est là.-1 points
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Ton call de "ça dépend s'il a compté dans sa tête ou sur ses doigts. C'est un facteur important lors du décompte des verres". Tu m'as tué.-1 points
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Parlant d'inconscient, tu as répété comme une gourde grosso modo mot pour mot ce que t'ai écrit. Afin d'éviter le doublon, tâche donc de reprendre tes esprits et de te stabiliser un peu avant de me répliquer dorénavant. L'adressage au grand Esch fut pour toi un bouleversement quelque peu trop apparent pour nous.-1 points
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