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  1. Aujourd'hui
  2. L’idée des versements de dividendes DOGE n’est pas venue d’Elon Musk lui-même, mais de James Fishback, PDG d’Azoria, une société d’investissement américaine. Le 18 février, Fishback a téléchargé un document de quatre pages sur X expliquant pourquoi il pensait que le peuple américain devrait recevoir un paiement de dividendes du Department of Government Efficiency (DOGE). « DOGE réalisant apparemment 1 milliard de dollars d’économies par jour, le président Trump a l’occasion de travailler avec le Congrès pour faire passer DOGE à l’étape suivante et offrir ce que nous appelons chez Azoria le « dividende DOGE », un remboursement d’impôt à envoyer après l’expiration du DOGE en juillet 2026, financé exclusivement par une partie des économies totales générées par DOGE », a écrit Fishback. MSN WWW.MSN.COM
  3. Hier
  4. Plaisantant sur l’attention dont DOGE est l’objet, il dit subir l’équivalent d’un « examen de proctologie chaque jour ». 

  5. Chanson 23 / 37 : l'Allemagne La chanteuse est nulle (mais mimi), la chanson est nulle (mais rentre dans la tête), casser des instruments, c'est nul (mais inattendu). Au final, c'est nul, mais j'aime bien. Même Conchita Wurst a l'air de kiffer.
  6. C’est une tronçonneuse pour la bureaucratie, a lancé Elon Musk, en brandissant une scie à chaîne (non actionnée) devant des militants conservateurs réunis en banlieue de Washington la semaine dernière. L’engin était un cadeau offert par le président argentin, un autre libertarien. Dans l’Argentine de Javier Milei, l’outil est aussi le symbole d’un ambitieux régime minceur pour la fonction publique. #LivingtheMeme Cela fait une quarantaine de jours qu’Elon Musk applique sa méthode choc au sein du gouvernement américain. L’inventaire de ce qui a été brisé commence à apparaître. Des dizaines de milliers d'employés fédéraux en probation ont été renvoyés. Ces mises à pied ont été effectuées très rapidement, sans vraiment vérifier la pertinence des fonctions abolies. Parmi ceux qui ont perdu leur emploi figurent des fonctionnaires chargés de la réponse à l’épidémie de grippe aviaire qui sévit présentement aux États-Unis. Il y a aussi des contrôleurs aériens et des gens chargés de la sûreté des installations nucléaires, 90 personnes de la General Services Administration (GSA), tous des techniciens fédéraux dont le rôle était de moderniser le gouvernement par le biais de logiciels. Dans certains cas, les supérieurs s’affairent maintenant à convaincre les gens remerciés de revenir au travail. Elon Musk a fait une sorte de mea-culpa cette semaine. Quand on fera des erreurs, on les réparera rapidement, a-t-il dit. Le milliardaire parlait d’un cas précis : la fin de subventions pour lutter contre la maladie à virus Ebola en Afrique. Il semble cependant que la correction soit arrivée trop tard pour épargner des populations vulnérables. À la Maison-Blanche, M. Musk a comparé le DOGE à un soutien technique pour le gouvernement, employant un euphémisme pour parler des mises à pied et des compressions budgétaires. Sa véritable mission reflète l’une des ambitions principales des conservateurs américains. Ces derniers estiment qu’il y a trop de fonctionnaires fédéraux, trop de règlements à suivre et, surtout, trop de dépenses. La méthode rappelle la maxime des jeunes pousses américaines : move fast and break things (agissez rapidement et brisez tout sur votre passage). Dans l’ensemble, les républicains semblent dire oui au principe de réduire la taille de l’État, mais demandent à ce qu’on utilise un scalpel plutôt que la scie à chaîne. ... En regardant le soi-disant « Département de l’efficacité gouvernementale (DOGE) écraser les institutions gouvernementales , je ne peux m’empêcher de penser au Groupe central de la révolution culturelle (CCRG), une organisation pivot des premières années de la Révolution culturelle chinoise de 1966 à 1976. Créé en mai 1966 par Mao, le CCRG a dépassé le Politburo du Parti communiste chinois et est devenu un instrument féroce du programme politique de Mao visant à purger les éléments « bourgeois », à remodeler le gouvernement et la société chinois et à consolider l’autorité de Mao. Bien qu’il puisse sembler exagéré de comparer le DOGE du président Trump et le CCRG du président Mao en raison de leurs fondements politiques très différents, ayant vécu dans les deux systèmes, je pense qu’il y a de précieuses leçons à tirer de cette comparaison pour préserver la démocratie constitutionnelle américaine. DOGE et le CCRG présentent des similitudes frappantes en tant qu’entités non conventionnelles exerçant un pouvoir immense, perturbant les systèmes établis et laissant des traces durables. Tous deux représentent des expériences populistes-autoritaires qui ont contourné les cadres juridiques formels, ont fonctionné avec un soutien public important et ont ciblé des bureaucraties bien ancrées. Ils sont tous deux apparus comme des outils pour les dirigeants autoritaires populistes qui cherchaient à remodeler le gouvernement et à consolider le pouvoir en dehors des cadres juridiques traditionnels. Elon Musk a défini la mission du DOGE comme une lutte contre « la tyrannie de la bureaucratie », trouvant un écho auprès des électeurs frustrés par l’inefficacité. De même, le CCRG de Mao a mobilisé des millions de personnes avec des slogans tels que « Brisez les quatre vieilleries » et « À bas les capitalistes au sein du parti », ciblant les intellectuels, les fonctionnaires et les élites traditionnelles perçus comme des obstacles au progrès révolutionnaire. Pendant cette période, toutes les décisions importantes nécessitaient l’approbation du CCRG. Il contrôlait l’accès aux directives de Mao et écartait les autres dirigeants du PCC qui s’opposaient ou remettaient en question son programme radical. Dans les deux cas, ces discours populistes ont d’abord recueilli un soutien public important. Les politiques radicales du CCRG ont conduit à des violences de masse, à l’effondrement économique et à des millions de morts pendant la Révolution culturelle. Si DOGE n’a pas causé de telles souffrances humaines, son action visant à affaiblir les agences fédérales risque de nuire à long terme à la gouvernance américaine en affaiblissant les cadres réglementaires et en favorisant le copinage. Malgré les excès de DOGE, les États-Unis disposent d’un système juridique efficace, capable d’imposer des limites aux actions d’Elon Musk. Les enquêtes du Congrès et l’attention des médias ont suscité des inquiétudes quant à la légalité et aux implications éthiques de DOGE. En revanche, la Chine de Mao manquait de telles garanties institutionnelles ; la dissidence était brutalement réprimée par l’emprisonnement et les meurtres, ce qui a permis un radicalisme incontrôlé. Lorsque le CCRG eut achevé sa tâche consistant à tirer les marrons du feu pour Mao, à savoir abattre ses ennemis politiques et punir les bureaucrates déloyaux, il perdit toute valeur à ses yeux. Le chaos politique qu'il créa, ainsi que la corruption et la persécution féroce de ses membres, provoquèrent le ressentiment de l'opinion publique et des bureaucrates, menaçant finalement l'autorité de Mao. Le CCRG tomba rapidement en disgrâce ; la plupart de ses membres devinrent tôt ou tard victimes des luttes politiques et furent emprisonnés, même en tant qu'ennemis méprisés du peuple. Jusqu’où ira Elon Musk? ICI.RADIO-CANADA.CA Opinion | DOGE’s rampage through institutions has parallels in China’s Cultural Revolution WWW-MSNBC-COM.TRANSLATE.GOOG DOGE Killed a Government-Efficiency Team - The Atlantic WWW.THEATLANTIC.COM
  7. Drox, on est en 2025. Hé ho, braves gens ! Vous avez vu ça ? Accrochez-vous bien à vos illusions : les industriels… tenez-vous bien… font des PROFITS sur ce qu’ils vendent ! Incroyable, non ? Un vrai scandale ET LES ELITES N'EN PARLEEEENT PAAAAAAAAAAAAAAAS
  8. C'est la Force qui à engendrée Rome, à travers le meurtre de Romulus. Vous me voyez heureux Daleko, de partager avec vous les délices de la lente et mélancolique contemplation de Rome; sa Gloire, son Empire mais surtout sa chute... Les ruines qui ont jadis accueilli de si grands Hommes... Des Héros forgés dans la brutalité à jamais marqué au Marbre de l'Histoire. Per aspera ad astra Des sentiers battus jusqu’aux étoiles.
  9. La dernière semaine
  10. Le printemps le plus long, un documentaire de Radio-Canada. Présenté en trois parties de 45 minutes et (temporairement) disponible sur YouTube. Bien loin du documentaire choc auquel je m'attendais. Aucun mot à propos des profits de Pfizer et de ses actionnaires? Des circonstances épouvantables dans lesquelles des aînés sont morts de faim et de négligence dans les CHSLD en mal de personnel -- morts qu'on préférait attribuer à la COVID? Des impacts économiques et psychosociaux à moyen et long termes de cette gestion exagérément prudente? De la pertinence et légalité du passeport vaccinal? Du fait que le vaccin n'a pas rempli sa promesse en n'empêchant pas la transmission? De l'attitude méprisante et stigmatisante de certains chroniqueurs (Lagacé, Martineau et j'en passe) à l'endroit des non-vaccinés? Ni rien du tout à propos du rôle, pourtant admis, de la firme McKinsey? Et pour la forme, on repassera. Une palette de couleurs froides, un ton grave, une trame sonore anxiogène à la Oppenheimer, tout ça pour des anecdotes d'entrepreneurs à la course aux masques. Pire, les entrevues avec les principaux acteurs sont complaisantes et ont quasi le ton d'une revue de fin d'année. Le documentaire le plus long... pour rien du tout finalement.
  11. Sans Rome, il n'y aurait jamais eu de pizzaghetti. À mediter...
  12. Quand j'écoutais la série Rome, à chaque fois que je voyais l'annonceur publique donner les nouvelles dans la rue je me disais "Hey c'est le Bernard Derome de Rome!" Pis des fois j'y repense entre deux bouchées de spaghetti.
  13. Je pense juste à pompeii, à toué jour, quand je dois aller travailler et que je vomis dans une ruelle en chemin ou à l'abris bus.
  14. Oui, sa façon de danser y est aussi pour quelque chose. J’aime de plus en plus. Chanson 22 / 37 : l’Arménie Euh, des fois vaut mieux pas survivre ? C’est pas que la chanson est vraiment mauvaise, mais il manque d’entraînement, ça paraît.
  15. Le style me rappelle un peu Stromae. C'est une assez bonne chanson.
  16. C'est parce que nous sommes plus grand que lui que nous avons domestiqué le cheval...
  17. Chanson 21/ 37 : les Pays-Bas Certains passages me plaisent beaucoup.
  18. J’avais posé la question à mon mari quand elle buzzait et il m’avait répondu qu’il ne pensait quasiment jamais à Rome, mais tous les jours à la Chine impériale. Faut contextualiser. J’y pense souvent parce que je lis un livre là-dessus. C’est complètement frappant les similitudes entre les périodes décadentes de Rome et notre époque, mais les gars qui pensent à ça ne voient que sa grandeur.
  19. Non, je pense que ca plus rapport avec les antennes de 5G. Après tout, depuis que les nouilles de riz sont faite avec du plastique, plus rien ne m'étonne.
  20. On dit que les hommes pensent à Rome au moins une fois par jour... Rome... Les Nazis... c'était donc toi... belle Rome... Nous mourrons pour toi au Collisé. Et vous, combien de fois pensez-vous à Rome par jour?
  21. Les chênes gardent habituellement leurs feuilles l'hiver, et elles tombent au printemps. Parce que leur feuillage est marscecent.
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